Tout accusait cette ancienne trésorière CGT, qui avait détourné entre 2015 et 2016 la bagatelle de 60 000 euros du Comité d'entreprise de Sillia VL, ancien repreneur de Bosch Vénissieux.
En reconnaissant les faits, la prévenue a bénéficié d'une procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité. Elle a alors écopé de 4 mois de prison avec sursis et 600 euros d'amende.
L'affaire n'est toutefois pas close puisque une centaine d'anciens salariés de Sillia ont récemment engagé une procédure pour obtenir chacun 800 euros de dommages et intérêts, estimant avoir été privés d'activités par le CE ponctionné.
Le fric, facteur de progrès et d'harmonie dans la société humaine.
Signaler RépondreIls sont beaux les sindiqués censés protéger les droits de travailleurs. Quand on peut piquer dans les sous prévus pour les salariés et se les mettre dans la poche, la y’a du monde au portail !!
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