C’est en effet ce que propose une entreprise récemment lancée par trois Lyonnais : Carl – Move.com.
Sur cette plateforme internet, les futurs passagers demandent à se faire transporter par un élève ainsi qu’un accompagnateur sur un trajet de 20 kilomètres maximum. Chaque kilomètre parcouru coutera alors 35 centimes environ.
Cyprien Bardonnet, un Lyonnais âgé de 22 ans, est l’un des trois cofondateurs de l’entreprise. Selon lui, le but est "véritablement de pouvoir faire évoluer les mentalités progressivement : les parents qui accompagnent les enfants dans les auto-écoles pourront avoir la réflexion de se dire "ça fait 40 ans que je vais dans la même zone d’activités tous les jours, pourquoi pas faire du partage de place ce qui me permettrait de payer mon assurance tous les mois ou mon plein d’essence". Car il y a encore beaucoup de gens qui sont encore seuls dans les voitures et on se dit que s’il y avait une ou deux personnes en plus dans chaque voiture, ce serait des véhicules en moins devant nous sur les routes mais aussi moins de pollution pour les villes".
Concernant le retour financier, un modèle économique "stable" est encore à l'étude par les jeunes chefs d’entreprise. Cyprien Bardonnet affirme avoir développé "un retour financier limité pour les autoécoles pour ne pas dégrader la formation avec l’intérêt économique". Le moniteur va donc collecter des points à chaque trajet qui seront transformables en carte cadeau, dans la limite de 200 euros annuels. Pour le moment, une centaine d’auto-écoles seraient intéressées dans la région.
Encore des mecs qui veulent faire du fric avec rien et qui cherchent des Gogols et de l'argent public pour financer un projet qui n'en est même pas un.
Signaler RépondreC'est marrant que le seul métier qui n'est jamais attaqué, c'est politique alors que en plus ça ne devrait même pas être un métier !
bah oui comme les politiciens. Le pire c'est que les politiciens qui se font virer, retrouvent quand meme des places à la direction de grandes entreprises.
Signaler RépondreAlors oui les français sont dégoutés que les bons à rien s'accaparent toujours les meilleures places et les meilleurs salaires. Je ne jetterai donc pas la pierre à ces entrepreneurs.
n’importe quoi...j hallucine
Signaler RépondreNous sommes des écoles de conduite, pas des taxis ou VTC et là, le délégué à la sécurité routière devrait faire le ménage !! Qu'en est il en cas d'accident et de responsabilité? Quelle peut être la qualité de l'enseignement dispensé? On s'occupe de l'élève où du passager? Le trajet est il adapté à la compétence de l'élève?
Signaler RépondreEt pourquoi ne pas livrer des pizzas?
Bref, une bien mauvaise idée à mon avis qu'il faut absolument stopper...
bonne idee pour les restos. Ce concept s''appelera "restolib" ;)
Signaler RépondreVoilà encore ce qui va encore ce qui va rajouter de la mauvaise à une profession qui en a suffisamment. Une auto-école n’est pas un taxi et le Moniteur doit s’ocouper de former ses élèves et non des personnes à transporter pour avoir du profit.
Signaler RépondreEt si les chauffeurs des VTC commençaient à accompagner les les étudiants aux lycées en leurs apprennant à conduire ?!!
pourquoi quelle honte, cela va permettre à des gens qui n'ont pas les moyens de se payer un taxi ou un vtc de pouvoir se déplacer.. Si je ne me trompe, on vit bien dans une société ou l'on veut tout en dépensant le moins possible, donc tout les moyens sont bons..
Signaler RépondreQuel honte ! Une auto école n'est pas un taxi ! Pourquoi pas faire attendre les gens dans des restaurants où les tables ne sont pas occupé au lieu qu'ils attendent dehors ! On marche sur la tête
Signaler RépondreOK encore des mecs qui veulent faire du fric sans rien faire et en plus ils ne connaissent rien à une profession réglementée, ils confondent VTC et auto-écoles
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