Non pas que les dalles de la rue intérieure soient archaïques, puisqu'elles n'ont qu'une dizaine d'années. Mais un léger décalage de niveau donnait un résultat pas franchement à la hauteur du reste du travail du quartier du 6e arrondissement.
Selon le Progrès, la Métropole de Lyon vient d'obtenir gain de cause. Ce n'était pourtant pas gagné, puisque la collectivité avait saisi le tribunal administratif deux semaines avant la fin du délai de la garantie décennale.
Grâce à un avis favorable d'expert judiciaire, la Métropole a pu faire pression sur Renzo Piano, l'architecte des lieux. Ce dernier a réalisé un protocole d'accord, s'engageant à verser plus de 95 000 euros à la Métropole aux titres de la reprise du dallage, du remboursement des frais d'expertise et des frais de justice.
La réparation du dallage de la Cité Internationale va prochainement débuter, la maîtrise d'oeuvre sera assurée par Renzo Piano building workshop. Signe que la Métropole et l'architecte pourront retravailler ensemble à l'avenir ?
"Signe que la Métropole et l'architecte pourront retravailler ensemble à l'avenir ?"
Signaler RépondreBien sûr, on ne va pas se priver de tant de compétence...
Quand même , au temps des Romains on t’aurait donne manger aux Lions. La preuve que ce que tu dis est faux , on t’oblige a refaire... correctement .. donc c’est possible!
Signaler RépondreIl n'y avait pas de sous-sol au temps des romains !
Signaler RépondreDonc ces travaux ne coûteront "que dalle " à la Metopole...
Signaler RépondreEt la place des terreaux!!! Ce qui m’épate c’est que les romains ( ou les Grecs) quand ils posaient des dalles ça dirait des millénaires.... sans béton !
Signaler RépondreOn aurait peut être pu faire pareil avec la gare de Part Dieu (et les bâtiments d'à côté) qui tombaient en ruine bien avant la fin de garantie décennale...
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