Environ 500 églises du Rhône et du Roannais sont concernées. Le but de cette opération : faciliter le travail de la gendarmerie et de la police en cas de vol dans les lieux de culte catholiques.
"Ainsi, en cas de cambriolage, nous saurons ce qui a été volé et nous pourrons communiquer aux services de gendarmerie ou de police un descriptif précis avec photos à l’appui, au moment de porter plainte", explique la responsable de la commission d’art sacré et ex-conservateur délégué des Antiquités et objets d’art dans l’Ain, Violaine Savereux. En outre, cela devrait limiter les reventes de ces objets volés sur internet, grâce à un processus d’identification plus pointu. Parmi les objets recensés, des vêtements liturgiques, de l’orfèvrerie, mais aussi des oeuvres décoratives ou de dévotion comme les statues et tableaux.
Il y a dix ans, l’Eglise du Rhône et du Roannais avait amorcé un inventaire, qui n’avait finalement pas abouti face au manque de réponse d’une quinzaine de paroisses.
Enfin !
Signaler RépondreIl faut mieux securiser les eglises.Il y a trop de laisser aller dans la protection.Que fait le Mgr de Fourviere ?
Signaler RépondreVoler une eglise c est voler dieu ça ne se fais pas !!!!
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