A travers la lettre "Ni dindes, ni chiennes de garde", des journalistes de la rédaction du quotidien lyonnais estiment que "cette question de l’égalité n’est toujours pas prise au sérieux, que ce soit en termes de responsabilité, de salaires ou de représentation du monde".
Les journalistes précisent qu’au Progrès, "il y a deux femmes sur neuf chefs de service et chefs d’information ; à la tête des éditions départementales, une femme pour trois hommes".
"Nous constatons aussi un déséquilibre de traitement éditorial. Nous avons regardé la présence des femmes dans notre journal. Sur les photos de 400 pages examinées sur 18 jours, figurent 150 femmes et 439 hommes", poursuivent les signataires de la lettre qui réclament à leur direction "un traitement équitable, en termes de salaires et de responsabilités, ainsi que des choix rédactionnels sensibles aux attentes de tous".
"Ni dindes, ni chiennes de garde" !
— SNJ (@SNJ_national) 9 février 2018
Après Les Echos, le Parisien, L'Obs, La Provence et Ouest France, la rédaction du @Le_Progres dénonce dans une lettre ouverte les inégalité de traitement entre les femmes et les hommes au sein du quotidien régionalhttps://t.co/aCeSfhjn7K pic.twitter.com/zYnsmjkGPZ
Sakura serait-il à coté de la plaque ?
Signaler RépondreY a-t-il égalité de traitement entre celles et ceux qui maîtrisent le français et les autres, bien plus nombreux ?
Signaler Répondrecomplétement faux il y a eu de nombreux dossiers dans la presse nationale sur le harcèlement dans les autres milieux sociaux (France d'en bas comme vous dites)
Signaler RépondreHonte a ces journalistes qui critiquent une entreprise française qui réussit. C'est le gouvernement lui meme qui a dit qu'on avait pas le droit de critiquer les entreprises françaises qui réussissent.
Signaler RépondreÉgalité Hommes/femmes peut être mais par pour toutes les femmes, car a chaque fois on ne parle que de certaines catégories et que pour des postes à responsabilités..
Signaler RépondreAi rarement vu un article parlant de l'inégalité de traitement des vendeur(se)s, des serveur(se)s, des ouvrier(e)s, en clair des salariées de la France d'en bas si je puis dire et dont je fais partie..
C'est comme pour le harcèlement, les médias ne relatent les affaires que lorsque cela concernent des politiques, des sportifs, des acteurs et autres peoples mais ne relatent pas les histoires des femmes lambdas si je puis dire ..