En cause, le trop grand nombre de vols et de détériorations subies sur les vélos de la société Gobee.bike. En France, l'entreprise a enregistré un millier de vols, 3 400 vélos endommagés ou encore 6 500 réparations effectuées. "Depuis la mi-décembre, c’est un effet domino de dégradations qui s’est abattu sur notre flotte de vélos, partout où notre service existait en France", a indiqué, via un communiqué, l'entreprise Gobee.bike.
La décision était "difficile à prendre" pour la société, qui a déjà dû par le passé se retirer d'autres pays, comme la Belgique ou l'Italie. La direction de Gobee.bike informe que 60% de son parc en Europe a été endommagé ou volé. Avant de partir, la société a toutefois remboursé la caution restante à chaque utilisateur, d'un montant de 15 euros.
Sans parler de vol ou de vandalisme, et pour les avoir observé, je note que ces vélos sont (étaient) de véritables camelotes, inadaptés à une utilisation en ville, de surcroît en mode "partagé".
Signaler RépondrePlastique bas de gamme, selle trop lâche, rayons pas assez solides : ces vélos sont inutilisables en ville, où il faut souvent rouler sur des pavés, des rails de tramways, descendre des trottoirs.
De plus l'absence de changement de vitesse est rédhibitoire !
Le vélo'v, plus solide, plus fiable, est plus adapté, c'est certain.
Pour info : cout de fabrication d'un vélo'v : 619 €
Coût de fabrication d'un GoBee : 75€ !!
Tout est dit...
Et ne parlons pas du prix de l'utilisation.
Vélo'v : 25€ par an pour une utilisation illimitée.
GoBee : 1€... de l'heure !
Cherchez l'erreur.
Je ne connais pas les motivations des dirigeants de GobeeBike, mais c'était perdu d'avance.
Bonjour
Signaler RépondreA vendre vélo vert, quasi neuf, pas cher...
On leur a volé 1 000 vélos sur les 400 000 qui se volent chaque année en France.
Signaler RépondreEt comme tout le monde trouve ça bien...
Et après on parle de gens civilisés et de citoyens responsables,mdrrrrrr.
Signaler RépondreCette entreprise a mal calculé ses coûts.
Signaler RépondreElle plie bagage dans de nombreux pays.
Ses vélos en carton sont dégradés partout , y compris chez eux, en Chine.
Les limites du low-cost ont ici été atteintes.
Ah oui ? Lesquels ?
Signaler RépondreOn va attendre longtemps la réponse je pense.
Connaissant bien mon pays, je ne me faisais aucune illusion sur l'avenir d'un concept comme celui proposé par cette société.
Signaler RépondreD'autres services comme VeloV ou Bluely subissent des dégradations comparables et ne survivent que par l'injection d'argent public ou la présence de contrats publicitaires associés
Après, difficile de savoir si c'est pareil à l'étranger mais on peu se douter que le peloton France Italie Belgique n'est pas une population vraiment exemplaire.
Vu dans d'autres pays asiatiques où ca marche bien. Pays pourtant pas aussi riches que la France. Bien dommage autant de dégradations.
Signaler RépondreQue sont les vélos devenus ?
Signaler RépondreFigurez-vous que même des fonctionnaires s'en sont appropriés, si j'en juge par la présence de deux exemplaires dans la cour des personnels d'un collège villeurbannais. Bravo !
« Ce n’est pas un mal franco-français », observe Guillaume Monchambert, économiste des transports et maître de conférences à l’université Lyon-II.
Signaler RépondreEt vous vous êtes...?
Marianne et The Guardian relèvent que la Chine – où 16 millions de vélos partagés sont en circulation – est aussi concernée par de très nombreux cas de vols et dégradations de vélos partagés.
Et vous vous êtes...?
L’entreprise a subi des vols et dégradations dans tous les autres pays où elle s’est implantée. Elle a décidé de se retirer de trois villes italiennes (Florence, Turin et Rome)
Vous soutenez que Rome est en France ???
L'entreprise hongkongaise a annoncé ce samedi mettre fin à son service en France, seulement quatre mois après s'être implantée dans le secteur... comment dire l'article parle du sujet premier "son retrait de la France"...après à chacun d’apprécier le fait que le savoir vivre ensemble de la société française(pour les autres ..??) s'écroule emportée dans le tourbillon de la globalisation ...Chacun pour soi et ...
Signaler RépondrePauvre lecteur, il faut bien se renseigner avant de parler :
Signaler RépondreL’entreprise a subi des vols et dégradations dans tous les autres pays où elle s’est implantée. Elle a décidé de se retirer de trois villes italiennes (Florence, Turin et Rome) le 14 février dernier en invoquant également le vandalisme. Le 9 janvier, c’est Bruxelles qu’elle a décidé de déserter, toujours pour les mêmes raisons.
« En quatre mois, 60 % de notre flotte a été détruite, volée ou privatisée » en Europe, affirme la société sur son site. Le problème est universel. Marianne et The Guardian relèvent que la Chine – où 16 millions de vélos partagés sont en circulation – est aussi concernée par de très nombreux cas de vols et dégradations de vélos partagés. Au Royaume-Uni, des bicyclettes de location sont jetées sur les rails, à Hong Kong, elles sont balancées dans la rivière.
« Ce n’est pas un mal franco-français », observe Guillaume Monchambert, économiste des transports et maître de conférences à l’université Lyon-II. Ces comportements relèvent de ce que les économistes appellent « la tragédie des biens communs », une théorie selon laquelle les individus qui utilisent une ressource commune en libre accès agissent souvent selon leurs propres intérêts, au détriment de cette ressource.
source :
https://www.20minutes.fr/societe/2227371-20180225-velos-partages-cinq-questions-depart-france-gobeebike
Ils n'avaient pas bien étudié le comportement des hominoïdes français face à un objet en libre service !! Ils auraient pu s'en douter .. pauvre france
Signaler Répondrequel beau pays..
Signaler RépondreC'est facile de mettre tout sur le dos des utilisateurs...leur société bidon n'a eu que ce qu'elle méritait. Si le concept était honorable, sa réalisation était désastreuse et sa gestion plus que douteuse, avez-vous regardé leur CGV? Une honte...
Signaler RépondreSociété fantôme impossible à contacter, pas de SAV, vélo ridiculement fragile, appli inutilisable, utilisateur dénigré...voilà les causes de cet échec.
Bon débarras!