A Touroparc, bon nombre d'enclos sont blanchis par le givre et désertés par les animaux. Les conditions climatiques obligent le parc à revoir son fonctionnement habituel, comme l'indique Thomas Gervais : "Tous les animaux doivent avoir la possibilité de se mettre à l'abri. On augmente les rations d'un tiers par rapport aux autres saisons et nous rentrons nos animaux toutes les nuits. (…) On a des protocoles par rapport aux animaux en fonction des températures. C'est en fonction de ces protocoles qu'on décide de les rentrer ou non" poursuit-t-il.
Si les 140 espèces du parc ont toutes leurs spécificités, certaines d'entre elles, en revanche, sont parées pour affronter l'hiver : "Le pelage des loups, des vigognes, et même des chameaux leur permet de supporter le froid. (…) Certes, nous sommes habitués à voir le chameau dans le désert mais avec son pelage épais il supporte parfaitement les basses températures" reprend-t-il, avant de citer d'autres animaux, moins résistants : "La tortue d'Afrique Centrale ne peut supporter qu'une seule saison. On lui installe donc une lampe chauffante qui lui permet de rester dans des conditions optimales, entre 20 et 30°C. (…) Les oiseaux sont eux aussi parmi les plus exposés au froid donc on tente de les rentrer dans des serres".
Les conditions polaires exposent le parc à d'autres problèmes que la préservation des animaux. Les enclos étant bordés de multiples cours d'eaux, le gel de ces derniers peut générer quelques ennuis. "Le gel des ruisseaux est problématique car, quand l'eau devient glace, les barrières deviennent des ponts (ndlr : les ruisseaux font office de barrière dans certains enclos) et certains animaux comme les lémuriens pourraient en profiter pour venir voir les visiteurs, même s'ils ne sont pas dangereux" tempère-t-il, avant de préciser que "le parc bénéficie de l'eau des nappes phréatiques qui est à 13°C", ce qui permet d'éviter ce genre de mésaventures.
Lorsque le thermomètre flirte avec les températures négatives, le personnel de Touroparc retrouve sa vocation protectrice, comme Thomas Gervais en atteste : "Dans notre cas, la main de l'homme est réparatrice pour les animaux et les 140 espèces que nous avons dans le parc".
On en parle aussi dans lyon mag, suffit de savoir ouvrir les forums, bonne chance si vous avez des difficultés c'est d'un opticien dont vous avez besoin
Signaler RépondrePromenez-vous un peu en France et en Europe, je pense que l'on est pas trop mal loti, même si bien sûr on peut toujours trouver mieux. Un climat océanique sera toujours plus doux qu'un climat continental, on vous l'apprend à l'école. Après le jugement de valeur est personnel. Tout le monde n'aime pas le climat océanique.
Signaler RépondreMaintenant si vous n'aimez pas Lyon, dites-le franchement.
Et rien ne vous empêche de déménager en Cantabrie.
Et comme d'habitude en Espagne (Cantabrie...) les température sont douces.
Signaler RépondreEt cet été quand il fera 40 degrés à Lyon, il fera 25 en Espagne.
La région lyonnaise a vraiment le pire climat de France, voire d'Europe. Mais ça on vous l'enseigne pas à l'école.
on se croirait en Alaska, dans seul face à l'alaska, ou Into the wild Alaska ou Aux frontieres de l'Alaska ou Alaska la dernière frontiere ou Alaska Nouveau départ ou Alaska les derniers trappeurs ou une de ces émission sur RMC découverte.
Signaler RépondreFroid polaire???? "Polaire"???? Vous êtes sérieux?
Signaler RépondreEt les SDF ? Vous savez, les humains !
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