Ce jour-là, un trentenaire et son complice avaient pris place dans une 205 et s’étaient rendus devant la station-service.
L’un d’eux était alors entré, cagoulé et armé d’un faux pistolet, dans le but de braquer le commerce. Mais la caissière et son mari avaient réussi à renvoyer le malfaiteur. Selon Le Progrès, 18 mois plus tard, le conducteur du véhicule le jour du braquage s’était présenté à la gendarmerie sous la pression du propriétaire de la 205.
Les deux hommes ont été respectivement condamnés à trente mois de prison et trois ans avec mandat d’arrêt. En effet, l’individu qui était entré pour tenter de braquer la station aurait oublié de répondre à sa convocation au tribunal.