Alors que le parti a fait un point avec ses militants quant à son action, l'élu lyonnais explique qu'"il y a des chantiers, que ce soit sur l'énergie ou l'alimentation. Et oui, ça vaut le coup de se battre pour que les Lyonnais puissent se chauffer correctement avec une énergie le plus possible renouvelable et moins fossile. Ça vaut le coup de se battre pour que tous les Lyonnais, y compris les plus pauvres, puissent avoir accès à une nourriture de qualité, bio et que les paysans de l'autre côté puissent vivre de leur métier, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. Ça c'est un chantier qui commence, puisque la Métropole a une compétence sur l'agriculture que depuis deux ans."
Sur les résultats déjà obtenus par la Métropole en matière de développement durable, Bruno Charles assure que "Lyon fait partie des villes qui bougent. Entre 2000 et 2015, par exemple, la Métropole de Lyon a baissé ses émissions de gaz à effet de serre de 16 % alors même que la population augmentait de 13 %. (…) Il faut commençait à penser aux conditions de vie dans notre ville dans 50 ans. C'est pour ça qu'aujourd'hui on plante 2 000 nouveaux arbres par an et qu'on essaie de végétaliser les murs et les toits. On va vivre dans un climat beaucoup plus chaud et il faut adapter nos modes de vie et atténuer la chaleur. La meilleure manière, c'est d'augmenter la végétation et d'améliorer l'isolation naturelle des bâtiments."
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