Ces derniers avaient été écrits par un bagagiste de l'aéroport de Lyon Saint-Exupéry, employé par une société sous-traitante.
Selon le Progrès, il a été décidé de lui confisquer provisoirement son badge lui permettant d'accéder aux zones sécurisées de l'aéroport. Et ce, en attendant les conclusions de l'enquête, voire de la justice, ouverte par la PJ de Lyon suite à la plainte de plusieurs associations.