C'est le SDMIS, propriétaire du bâtiment, qui avait saisi la justice, mettant en avant le risque d'incendie. Il faut dire qu'un feu s'était déjà déclaré le 25 février dernier au dernier étage de l'immeuble désaffecté.
Mais la justice, tenant compte des conditions climatiques et de la situation des squatteurs, a estimé qu'il n'y avait pas d'urgence à mener cette expulsion. 80 personnes, pour la plupart des familles de migrants avec enfants, vivent dans ce bâtiment situé en face d'une caserne de pompiers.
c est une très bonne idée!!!
Signaler Répondreon verrait alors si le temps est le même!!
et si une association du type DAL obtenait l adresse de ces maisons secondaires, et faisait ce qu elle fait d habitude aux gens modestes en envoyant des squatteurs s installer dans les pavillons... avec le mode d emploi pour être inexpulsable?
J'espère que tous ces juges se feront prochainement squatter leur résidence secondaire... ils comprendront les conséquences de leurs jugements "humanistes".
Signaler RépondreVous rêvez!
Signaler Répondretres bien, pas d expulsion a cause du froid (et pendant la trêve hivernale)
Signaler Répondreça veut donc dire que dès le retour des beaux jours, expulsions du bâtiments et des illégaux déboutés du droit d asile.... c est bien ça?
Les juges sont complices du Grand remplacement... sous couvert d’humanité
Signaler RépondreIncroyable de voir autant de laxisme et de complaisance vis à vis des squats d'extrême gauche et de clandestins en situation irrégulière ! !!!
Signaler RépondreBastion social = expulsion direct Immigrés = pas d’expulsion Incroyable quand même
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