Depuis l'élection présidentielle, le parti socialiste vit difficilement. Surtout dans le Rhône, un des berceaux de la République en Marche. Le nouveau secrétaire se donne donc pour première mission de remettre la fédération PS du Rhône au travail. D'une part en réunissant les instances et les parties puis en travaillant avec les militants.
Face aux sympathisants qui partent, pour certains, vers le nouveau mouvement de Benoit Hamon "Génération.s", le parti ne semble pas si inquiet.
Rassuré de son socle composé de 600 militants, le parti reste optimiste. Et pour recruter de nouveux ou récupérer leurs anciens militants, la solution est simple : "aller voir les citoyens". "Sans mentir on a eu une période un peu complexe maintenant le parti va travailler, faire savoir qu'il travaille et aller voir les gens. On va aller se confronter au citoyen", explique Yann Crombecque.
Une tâche pas simple, mais selon le secrétaire, le socialisme reste une belle idée qui n'est pas morte. "Les gens qui ont envie de faire une société plus solidaire n'ont pas disparu donc c'est à nous de leur montrer que, même si on les a déçus, on va travailler avec eux pour recréer un parti socialiste qui soit au cœur des mouvements sociaux et des préoccupations des français."
Pour Sylvie Guillaume, vice-présidente du parlement Européen, "le parti socialiste n'est pas mort mais il s'était un peu endormi". Le parti acquiert donc un nouveau secrétaire qui devient le visage du réveil du PS dans le Rhône.
Le parti a également souffert de perte de ses militants pour LREM et aujourd'hui encore certains ne savent pas quel parti choisir. Une éventuelle alliance possible entre les deux parties pour les prochaines élections ?
Une question qui n'est pas à l'ordre du jour pour le moment selon le secrétaire. "Les prochaines échéances d'abord pour nous, ce sont les Européennes. Après, la question des municipales, il n'y a pas de dogmatisme absolu. On est dans l'opposition à la République en Marche. Après au deuxième tour si on prend des territoires où on sent que la droite dure ou l'extrême droite peut être en situation de l'emporter, le sens des responsabilités voudra ou voudrait qu'on fasse une alliance et pas qu'avec LREM mais aussi avec les autres forces. Il vaut mieux faire une liste d'union avec l'ensemble des composants qui permettent de l'emporter face à la droite ou l'extrême droite plutôt que de dire on reste chacun de notre côté et faire gagner la droite dure ou l'extrême droite", ajoute Yann Crombecque.
Yann crombecque dit « Le MIRACULÉ « mdr. 600 pelerins l’ont vue d’ailleurs marché sur Le Rhône,après une rave partie.
Signaler RépondreAprès le regroupement familial,l’immigration de masse ,on a les clandestins déguisés en migrants,mdr. Sinon, tous vas bien ,le communautarisme se porte à merveille ainsi que la haine de notre société, grâce a l’aide de la descendance des collabos de vichy, rebaptisé,antifas et autres......
Signaler Répondreça sert à quoi au juste le PS? Faire entrer en France encore plus d'étrangers? Faudrait avoir un programme plus étoffé...
Signaler RépondreTu parles d’un nouveau visage avec cette bonne vieille tête de prof de philo encore un qui ne connaît rien à l’entreprise et à la vraie vie
Signaler RépondreCroire au réveil du PS alors qu'il est mort, c'est pire que croire que les chats ont neuf vies, çà ne peut venir que d'un esprit malade qui croit à ses propres hallucinations.
Signaler RépondreSi c'est pour recommencer dans la même langue de bois, les non dits populistes et les postures politiquement correctes, Basta !
Signaler RépondreLe PS ,c’était de là diversion pour un peuple de cretins .ils croient toujours se qui se dit dans les médias, alors que la vérité est ailleurs est bâillonnée.
Signaler RépondreQuel changement d'attitude.
Signaler RépondreIl y a quelques semaines le PS pour Crombecque n'était pas miscible avec LREM. Maintenant, il faut voir.....Demain on prend les mêmes et on recommence.
Il faut peut être arrêter de prendre les gens pour des cons. LREM, n'est ni de gauche, ni de gauche....
Mais quand il faut conserver des postes, nos chers politiques ont toujours la bonne excuse.