Alors que le groupe a enregistré des résultats très encourageant avec près d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires, son directeur régional ne s'en cache pas. "Quand on pense mutuelle, on pense 'pas de profits ni de bénéfices'. Et c'est bien le contraire que nous devons faire. (…) Pour être capable de développer de la croissance, de développer l'entreprise et être au rendez-vous de nos engagements, il faut que l'on fasse des profits. Et ces profits, on les investit sur notre territoire. On est très attentif à ce qu'ils soient réinjectés (…). On crée de l'emploi et on continue à embaucher. On a un solde positif de près de 150 équivalent temps plein. On continue à ouvrir des agences. On est à contresens de tout ce que l'on peut entendre aujourd'hui. Notre modèle, c'est la proximité humaine", assure Francis Thomine.
Partenaire historique des agriculteurs, Groupama souffre des dérèglements climatiques qui compliquent l'activité de ces derniers. "Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Depuis plusieurs années maintenant, l'intensité s'accentue, la fréquence augmente. En 2017, c'est 71 millions d'euros de sinistres liés au climatique. On perd de l'argent sur cette branche que l'on n'arrive pas à équilibrer. (…) C'est un vrai sujet d'actualité sur lequel nous travaillons avec nos partenaires et les représentants du monde agricole. Pour essayer de faire en sorte que, au moins, on arrive à l'équilibre", déplore Francis Thomine.
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Mais bien sûr monsieur se la joue : le bon sens près de chez vous... Hommages aux vrais paysans français et surtout aux quelques centaines Qui se donne la mort tous les ans étranglée par les dettes et les délais de remboursement imposé par ce type de structure financière
Signaler RépondreLes lois françaises interdisent les boycotts, (devenez pourquoi ? A la fois parce que ça peut être l'objet de magouilles de concurrents mais surtout parce que ça gêne le commerce !)
Signaler RépondreMais chacun est libre de ne pas utiliser cette entreprise qui soutient le sportbizness, car grâce à l'argent des clients, des mecs en short peuvent être payés des centaines de milliers d'euros par an.
C'Est 150ha de terres agricoles artificialisées pour le stade et ses accès, il faut effectivement boycotter ce groupe,dont la seule raison d'être est le profit,son discours est celui d'un politique qui nous fait prendre des vessies pour des lanternes.
Signaler RépondreIl n'a pas honte ce monsieur ?
Signaler RépondreIl parle des agriculteurs en difficultés alors que Groupama soutient avec plus d' une dizaine de millions d'euros un stade qui a saccagé de par ses accès plus de 9 hectares de terres agricoles ?
Groupama s'offre de la pub et fait payer ses assurés qu'elle tient pour responsable des catastrophes !
Assurés de Groupama ouvrez les yeux, ils vous le font payer très cher !
Boycott....tout simplement !
Blablabla blablabla autant le personnage est sympa autant Groupama et les petits chefs qui travaillent la bas se prennent vraiment pour ce qu ils ne sont pas! Sans parler des tarifs excessifs.
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