De fait, une petite centaine d’étudiants réunis en Assemblée Générale lundi dernier avait pris cette décision de blocage du site de Bron qui devait se dérouler mardi. La décision avait cependant été suspendue de manière à laisser aux enseignants et personnels la possibilité de tenir leur propre Assemblée Générale à 12h le même jour.
Ceci fait, la décision de blocage a été mise en place à Bron alors que sur les Quais l’amphithéâtre Fugier, qui devait être occupé par des étudiants mobilisés toute la semaine, était rendu à ses activités traditionnelles.
Les étudiants mobilisés à Bron sont donc intervenus très tôt ce mercredi matin, avant que la sécurité du site n’ouvre les nombreux portails du site, en les bloquant avec des barrières de chantier, des poubelles et des dispositifs habituels.
Mise à jour : Une nouvelle Assemblée Générale des étudiants se tenait plus tard dans la matinée. Emportés par le succès de leur opération de la matinée, les étudiants votent alors la poursuite du blocage jusqu'au retrait de la procédure d'affectation des lycéens "parcoursup".
Jeudi à 12h30, les enseignants mobilisés se réuniront sous les bureaux de la présidente de l’Université, Nathalie Dompnier, pour lui demander de prendre publiquement position contre la loi Orientation Réussite des Etudiants, loi adoptée en février dernier dans l’indifférence générale.
comment un article rédigé à 8h30 peut-il relater une AG qui a lieu dans la matinée ?
Signaler RépondreC’est sûr quand on veux on peut . Donc , c’est voulu et c’est certain. Cherchez à qui cela profite et vous trouverez.
Signaler RépondrePourquoi voient ont toujours des extrémistes de gauche cagoulés tout casser et brûler dans les manifs ? Croyez vous que les RG ne les connaissent pas ? Bien sûr ,mais comme comme pour ceux qui bloquent vos universités,anarchistes,zadistes ils votent à gauche ,la société qu’ils détestent tant et celle qui les défends. Ce Totalitarisme ,qui empêche la france d’avancer.
Signaler RépondreEntièrement d'accord avec Florence : Nous avons la chance de vivre dans un pays démocratique. La minorité grévistes "prennent en otage" la majorité non grévistes, qui pour certains viennent de loin chaque jour pour étudier, travaillent à chaque vacance pour se payer leurs études. C'est une honte
Signaler RépondreC’es la loose d’extreme Gauche ,style Corée du Nord. Des minorités qui empêchent la France de se porter BIEN.
Signaler Répondrepour info,les grévistes ont refusé l'octroi d'un grand amphi par la présidente de l'université pour se réunir en journée:
Signaler Répondreleur stratégie est d'empêcher que les cours se fassent à la barbe des étudiants non grévistes et des enseignants désabusés
Une université bloquée par une poignée de pseudo-étudiants, soutenus par des enseignants qui n'ont que faire de leur obligation première: permettre à ceux qui veulent travailler de le faire dans les meilleures conditions possibles. Après les sans-papiers hébergés cet hiver, ce sont eux qui prennent le relai pour couler l'Université.
Signaler RépondreIl y a plus de 16.000 étudiants à Bron. Comment les autorités permettent-elles à "une petite centaine d'étudiants" de bloquer l'université, au détriment des 15.900 qui veulent travailler ? Drôle de vision de la démocratie ! !
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