Lorsqu’elle est allée porter plainte, elle avait reçu la bagatelle de 1600 appels et 650 SMS de la part de son ex. Dans certains messages menaçants, il lui promettait de "finir aux urgences". L’individu éconduit s’était également rendu à son domicile pour dégrader sa boite aux lettres.
L’homme était jugé en comparution immédiate vendredi, douze mois de prison avec sursis ont été requis contre lui.