La véracité des faits avancés reste à la charge de l'ancienne étudiante précise l'ONG. A travers ce témoignage, Lisa* "espère qu'ensemble nous parviendrons à informer le plus de gens possible, afin que mon témoignage "serve à quelque chose" ".
L'IUT cacherait-elle aux étudiants l'utilisation systématique de cobayes animaliers lors des travaux pratiques ?
Avant d'arriver à l'IUT Lyon 1 en 2015, Lisa avait pris le temps de s'informer sur le département Génie Biologique, et s'était rendue compte de l'existence d'une "option expérimentation animale". Selon Lisa, l'IUT avait alors certifié à l'époque à l'étudiante qu'elle ne serait "obligée à rien vis-à-vis de l'expérimentation". Lisa avait donc choisi d'entrer à l'IUT Lyon 1 avec cette idée là en tête. La réalité se révèlera être toute autre : "tous les travaux pratiques (TP) de pharmacologie sont en réalité des TP d'expérimentation animale", rapporte la jeune femme, auprès de l'ONG qui promeut des méthodes alternatives aux expérimentations animales.
L'IUT, quant à elle, nous certifie bel et bien que "cet enseignement n'est pas une "option" comme le laisse croire cette personne". L'université est claire : "En Génie Biologique option Analyse Biologique et Biochimique, les étudiants sont nécessairement formés à la physologie et à la pharmacologie, […] [ces] disciplines ayant recours à l'expérimentation animale et ce depuis la création des DUT Génie Biologique en 1967". De plus, l'IUT entend "informer systématiquement les candidats à [leurs] formations de cela, et leur conseille de se réorienter s'ils pensaient parvenir à réaliser des manipulations sur animaux et n'y parviennent finalement pas pour des raisons émotionnelles, qui sont bien sûr compréhensibles".
Des animaux seraient tués "sans aucune anesthésie" lors de certains travaux pratiques rapporte l'ancienne étudiante
L'utilisation de cobayes animaliers au sein de l'enseignement est totalement autorisée et réglementée par l'Etat. Selon ProAnima qui cite le point 2 de l'article R214-105 du code rural et de la pêche maritime : "seules sont licites les procédures expérimentales (qui) ont un caractère de stricte nécessité et ne peuvent pas être remplacées par d’autres méthodes expérimentales n’impliquant pas l’utilisation d’animaux vivants et susceptibles d’apporter le même niveau d’information. Les établissements sont tenus de respecter les principes de remplacements, de réduction et de raffinements.".
Malgré ces règlementations, le témoignage de Lisa fait état de l'utilisation d'animaux bel et bien vivants lors de certaines expériences : "ils nous ont fait décapiter une grenouille vivante, au ciseau, sans aucune anesthésie". Elle explique alors que lors de ces travaux pratiques "les animaux arrivent vivants des cages et sortent morts dans des sacs poubelles". Une fois les animaux réceptionnés, ceux-ci sont "la plupart du temps" plongés dans le coma afin de les opérer puis piqués une nouvelle fois afin d'être opérés.
Face à ces dires, l'université certifie que ses étudiants "sont formés à l'éthique, à la réglementation sur l'expérimentation animale, à l'anesthésie, à l'analgésie, à la santé animale et à la pratique de l'expérimentation dans le respect du bien-être de l'animal".
Des principes éthiques pointés du doigt par Lisa mais défendus par l'université
En plus de certains manquements au niveau du respect des réglementations par l'IUT, Lisa pointe du doigt les pratiques et les conditions d'opération des animaux. Lors d'un de ces travaux pratiques, elle explique avoir dû "extraire le cœur d'un cochon d'Inde de sa poitrine et le plonger, encore battant, dans un liquide de survie afin de tester différentes substances chimiques sur lui. On laissait le cobaye se vider de son sang dans sa propre cage thoracique".
A noter que, comme le précise Lisa, les travaux pratiques avaient lieux qu'une seule fois par semaine et c'était en moyenne dix animaux qui étaient utilisés "par TP, par classe, par semaine".
De son côté, l'université défend justement le fait d'être à cheval sur ces principes d'éthique. En plus de cela, elle maintient elle-même vouloir "améliorer ses pratiques et réduire le nombre d'animaux employés sans toutefois restreindre les objectifs pédagogiques de notre formation professionnalisante".
Forcés à opérer des animaux, des étudiants en pleurs et sous anxiolytiques ?
Lors de ces travaux pratiques, l'ancienne universitaire explique s'être fait prescrire à l'époque "des anxiolytiques par (son) médecin".
Ne semblant pas avoir été la seule à mal réagir face à ces expériences, d'autres "élèves pleuraient ou tremblaient". Dès lors, Lisa raconte que dans ce genre de situation "la professeure venait leur prendre les mains pour les forcer à opérer". Certains "élèves ont commencé à ne plus venir" puis "l'IUT a mis en place des TP de rattrapages obligatoires les samedis matin. Toujours en menaçant de ne pas accorder le diplôme à ceux qui s'absentaient trop souvent", rapporte-t-elle ensuite.
Des accusations auxquelles l'IUT n'a pas réagi. Cependant, la direction assure que les départements de Génie Biologique des IUT ont "fait le choix de former leurs étudiants, dans un cadre éthique et réglementaire, pour leur permettre de travailler dans le plus grand respect du bien-être animal lorsqu'ils seront embauchés dans une entreprise".
*le nom a été modifié
- Je suis diplômée de l'IUT de génie biologique depuis 2 ans maintenant et je continue ma formation en physiologie car l'enseignement reçu en physiologie/pharmacologie m'a passionné - comme quoi, l'expérimentation animale peut susciter des vocations!
Signaler RépondreLorsqu’on entre à l‘IUT, on n’y entre pas pour voir y passer souris, rat, cobaye, grenouille… Cependant dans la formation ABB (quasi uniquement) et d’avantage en 2e année, nous sommes amenés à se spécialiser sur la pharmacologie et certaines techniques de mesure in vivo.
Il faut y savoir que l’enseignement est progressif dans les gestes invasifs. D’abord visite de l’animalerie, gestes de contention et seulement ensuite pose de cathéter et prélèvements plus délicats (les oreillettes et non pas le cœur battant dans un cuve à organe isolé…). Chaque geste est expliqué et justifié dans un protocole scientifiquement pré établi. Ne me dites pas que les étudiants n’ont pas le temps d’en parler aux enseignants avant que les TP plus lourds arrivent…. D’autant plus que l’équipe, compétente et sensible au bien-être des animaux est très à l’écoute, le dialogue est source de réponses qui permettent souvent de dépasser le traumatisme (c’est du vécu) !
Enfin, laissez-moi vous rappeler que les conditions en TP à l’IUT sont bien meilleures qu’à la fac et/u dans d’autres régions du monde – bruits, outils, paillasse et contention douce de l’animale pendant la chirurgie, cela fait de l’IUT de Lyon le dernier établissement à blâmer sur l’expérimentation animale à mon sens.
Beaucoup de choses ont été dite, je reviendrais seulement sur le fait que les protocoles au sein de l’IUT sont exceptionnellement à gros effectifs pour permettre à chacun, dans une vocation de technicien, de pouvoir manipuler, gérer l’anesthésie et atteindre en autonomie les objectifs de chaque TP – dressés avant avec l’enseignant au tableau. En bref, le comité d’éthique valide les TP sous le prisme de l’enseignement qui justifie le besoin.
Outre cela, il n’a jamais été question de forcer l’étudiant, il en va juste de la qualité de la formation qu’il souhaite recevoir et son ouverture d’esprit sur le pourquoi il assiste à ce cours.
Le modèle animal est encore très dur à remplacer par la complexité des organismes vivants et les diverses interactions qui s’exercent sur entre organes, entre cellules, entre molécules. Seuls les biologistes en ont l’air convaincus dans ce débat… De même que pour la vaccination. Que faits vous de la santé publique ?
Je finirai par regretter que Lisa n'est pas pu avoir un accompagnement plus personnalisé durant sa formation si elle avait eu le cran et la présence d'esprit d'en parler au corps enseignant de l'IUT - déjà fait peut être ?
Certes on peut avoir des opinons de tous horizons, mais à ce moment là on le dit haut et fort ! On attend pas autant de temps pour témoigner....
Le style change, mais bien sur... Je ne vois que des commentaires utilisant le vouvoiement pour s'adresser aux autres et des arguments (je comprends qu'il y ait des désaccords et des oppositions), qui forment des commentaires un peu plus longs et construits que les votres
Signaler RépondreJe n'ai en aucun parlé de vaccins.
Signaler RépondreA quoi bon faire des analyses ? J'espère pour vos que vous ne serez jamais malade, ni vos proches, sinon ça va vous faire tout drôle...
Figurez-vous que pour certains diagnostiques, on utilise le modèle animal
Comme par hasard le style change maintenant.
Signaler RépondreJe n'ai pas besoin de vos analyses ni de vos vaccins (gardez votre aluminium pour vous).
Signaler RépondreAucun vaccin pas même le tétanos et je me porte très bien, merci.
A quoi bon faire des analyses ? Et aviez vous vraiment besoin de torturer des animaux pour apprendre à faire des analyses ?
Et si, des anciens étudiants commentent parce que nous tenons à défendre cette formation ! N'hésitez pas à faire un petit tour sur la page Facebook de Proanima, vous verrez des commentaires d'anciens élèves sous la publication qui relaie ce témoignage
Signaler RépondreNe culpabiliser pas ,le monde est peuplé de dr frankenstein ,qui s’adonne à toute sorte d’expériences. Le clonage d’animaux marche très bien ,et on veut nous faire croire qu’aucune expérience de clonage humain n’a été réalisé sur la planète. Les mentalités changent justement pour nous le faire accepter. D’ici à vingt ans ,nous pourrons presque tous choisir d’acheter un clone,qui coûtera sûrement,le prix d’une voiture. Se sont les prédictions de mr Attali ,le parrain des marchés financiers qui nous l’a Dit . Ce monsieur ne se trompe jamais, ils nous préparent tous simplement psychologiquement.
Signaler RépondreArretez de changer de pseudo à chaque commentaire, on sait que vous êtes la même personne. Tous ces commentaires sont écrits avec le même style, même longueur, commencent pareil etc
Signaler RépondreEt comme si les anciens étudiants allaient vraiment commenter cet article, pfffff !
Chacun peut bien prétendre qu'il est qui il prétend être. Moi, je suis la Reine d'Angleterre.
Signaler RépondreJe suis une ancienne étudiante de l’IUT. Comme l’ont bien expliqué certains de mes camarades, l’expérimentation animale est très réglementée et encore nécessaire aujourd’hui pour mener à bien la recherche notamment en santé humaine, et très fréquemment utilisée, c’est pourquoi il est indispensable que nous y soyons formés. C’est ce qui rend cette formation à l’IUT de très grande qualité, car nous y sommes presque systématiquement confrontés en milieu professionnel ou en stage, et pour le bien-être des animaux, il est important d’avoir appris à les manipuler et d’avoir appris les règles éthiques qui s’y rapportent ! Ces TP sont donc une bonne chose, d’un point de vue professionnel et mais aussi du bien-être animal, par conséquent des personnes n’étant pas prête à faire ce genre de TP devraient choisir une autre voie que celle de la biologie, ou du moins un autre IUT, plutôt que crier au scandale.
Signaler RépondreEnsuite, au moment de m’inscrire à l’IUT, toutes les informations concernant la formation citaient le fait qu’il y a de l’expérimentation en travaux pratiques, si « Lisa » l’a loupé, c’est qu’elle ne s’est pas bien renseigné. Si quelque chose l’a choquée, elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même, il suffisait de se renseigner correctement sur la formation avant de s'inscrire. D’autre part, à aucun moment ces TP n’ont été présentés comme une « option ».
Enfin, toutes les pratiques menées en TP respectent la réglementation éthique en expérimentation animale, et d’après mon expérience à aucun moment les professeurs n’ont forcé des élèves à opérer.
Et non, ils ne sont pas de la même personne, c'est un argument facile quand plusieurs personnes défendent un même point de vue qui est contraire au votre.
Signaler RépondreLes étudiants "glandeurs" de fac peut-être, mais pas les IUT Bio, qui font jusqu'à 40h de cours par semaine, et encore moins ceux qui ont trouvé un emploi après leur DUT ! (Je travaille à l'hôpital, vous êtes bien content que je réalise vos analyses, non ?)
Actuellement étudiant dans ce même IUT, je trouve ça simplement triste de lire un ramassi de bêtises pareil.
Signaler RépondreEn aucun cas, comme l’ont dit mes camarades, il est questions d’une option. Peut être que cette chère « Lisa » ne s’est pas très bien renseigné sur le cursus qu’elle allait suivre... c’est bien dommage. Puisque même un tract est distribué lors des chaînes d’inscriptions nous informant sur le fait que l’experimentation animal est pratiqué dans ce cursus.
De plus, un témoignage non-anonyme aurait été préférable, histoire de bien assumer ses propos. Il est bien triste de cracher sur une formation de qualité et qui fait la différence comparé à d’autres IUT.
Les professeurs de physiologie, ne forcent absolument personne à rien et sont même à l’ecoute des élèves les plus en difficulté.
La règle des 3 R et l’ethique misent en avant dans l’article sont tout à fait respect et enseigner puisqu’à la sortie de cette IUT nous pouvons obtenir le diplôme d’experimentation animal de niveau 2.
Alors oui, il est clair que l’experimentation animale n’est une partie de plaisir pour personne. Mais cette formation est nécessaire afin de travailler dans un milieu comme le nôtre car ce sont des techniques fréquemment utilisé. Preuve en est puisque ce sont des techniques que j’ai utilisé lors de mon stage de première année et que j’utilise à nouveau pour mon stage de fin d’etude.
Les moyens de remplacement des animaux n’étant pas encore totalement efficace et ne révélant pas encore la complexité d’un organisme vivant, il est impossible de supprimer l’experimentaion sur animaux.
Pour ma part je ne peux que remercier l’IUT de nous offrir une telle formation qualifiante.
Ancienne étudiante de l’IUT Lyon 1, je suis en partie d’accord avec ce qui est dénoncée par cette étudiante. Au cours des TP, certains étudiants pleuraient ou étaient mal à l’aise voir dégoutés par certains gestes mais les professeurs ne semblaient pas ou peu compréhensifs, car selon eux sans expé animale nous n’aurions pas de débouchés. Mais réduire les débouchées de ce diplôme à la seule pharmacologie c’est bien dommage. La biologie est un monde vaste et varié. Au cours des TP, les animaux (bien au nombre de 8 à 10 par TP) ont pu être sacrifiés de manière douteuse. En revanche il n’a jamais été question d’option concernant cette matière. La présentation de l’animalerie est effectuée aux portes ouvertes et nous somme clairement informés. Il est donc possible de s’orienter vers un autre IUT.
Signaler RépondreIl est tout de même légitime de se demander si ces TP doivent rester obligatoires. Travailler sur un animal n’est pas anodin. Il semble possible d’imaginer l’enseignement de cette matière autrement. Comme donner des cours théoriques et de proposer l’option expérimentation animale plus tard dans le cursus, ainsi seuls les étudiants intéressés et prêts y participeraient. Bien que dans la réglementation l’utilisation d’animaux pour l’enseignements est autorisée, proposer cette option serait certainement un moyen de réduire encore un peu les effectifs de rongeurs.
Ce qui est certain c’est que le modèle animal est utile en recherche et encore indispensable. L’expérimentation animale est entourée d’une réglementation très ferme pour protéger au maximum l’animal. Je ne pense pas qu’on puisse encore s’en passer mais ce n’est pas pour autant que tout étudiant de l’IUT ait l’obligation d’être acteur un jour. Il n’y a certes pas que du mauvais dans ces TP, mais il n’y a pas peut-être pas que du bon non plus.
Alors les étudiants en bio on a quelque chose à cacher ? Vous protestez un peu trop, c'est louche.
Signaler RépondreTous ces commentaires sont de la même personne. Et sûrement pas d'étudiants car tout le monde sait que les étudiants ne se lèvent pas avant midi donc ils ne peuvent pas avoir commenté ce matin !
Signaler RépondreÉtudiante dans cette filière, je pense savoir exactement de quoi il s'agit, Et surement mieux que la plus part qui valide cet article sans savoir de quoi il parle. Aujourd'hui l'expérimentation animale est vraiment indispensable dans de nombreux domaine. De plus si vous étiez un peu plus informé vous sauriez que la plus part des protocoles des tp expliqué ont été modifiée afin de garantir encore une fois le plus grand respect au bien être animal. De plus les personnes ne souhaitant pas manipuler sur les animaux ( alors même que cela fait entièrement partie de la formation ) ne sont en aucun cas forcées à le faire mais seulement de participer a la séance, car le but premier reste quand même d'acquérir des connaissances puisqu'apparement beaucoup semblerait l'avoir oublié...
Signaler RépondreDiplômée de l'IUT en 2016, je ne peux que confirmer ce que certains de mes camarades ont dit en commentaires !
Signaler RépondreIl n'a jamais été question d'option pour l'expérimentation animale. Lors des portes ouvertes, des salons de l'étudiant, etc, les étudiants et les professeurs présents le disent à chaque conversation avec un lycéen... Une impossibilité de se rendre à ces événements n'excuse pas la méconnaissance de cet enseignement. Ayant été au lycée assez loin de Lyon, j'étais parfaitement consciente de ce qui m'attendais en choisissant l'IUT Génie Biologique de Lyon.
"Lisa" devrait donc apprendre à se renseigner, cela lui servira plus tard dans la vie.
Quant au remplacement du modèle animal dans la recherche, il est déjà en place quand c'est possible, mais savez-vous que l'animal est également utilisé à des fins diagnostiques. J'utilise mes compétences acquises à l'IUT lors de ces TP pour une partie de mon travail, qui consiste à sauver le fœtus de femmes enceintes.
Mesurez donc vos propos et n'attaquez pas sans connaître les nombreuses applications de l'expérimentation animale qui, bien réalisée, peut sauver des vies.
Ancien étudiant de ce dut genie biologique option ABB, les enseignants, anciens élèves et autres informations sur la formation ont toujours êtes clairs et precisaient bel et bien qu'il s'agissait d'un enseignement OBLIGATOIRE. Alors que ces tp ont mieux depuis plusieurs dizaines d'années, je trouve bizarre le fait que des déclarations de ce genre ne sortent que maintenant, pas vous? Les enseignants ont toujours été derrière nous. Jamais la pour nous forcer, ils nous accompagnent pour réussir à mener à bien les travaux pratiques en respectant le bien être animal (animaux toujours anesthésiés lors des vivisections bien entendu). La réalité de notre société aujourd'hui est que lexperimentation animale se cache derrière chaque médicament et derrière chaque manipulation médicale dont vous pouvez benificier. Le but de ce dut étant de former des techniciens de laboratoire, l'expérimentation est pour nous un bénéfice apporté à notre formation qui nous permet d'intégrer des laboratoires de recherche et de pharmaceutiques qui vous permettent de vous soigner chaque jours... aujourd'hui de moins en moins d'établissement proposent ces formations du à des faux témoignages comme celui-ci et par conséquent de moins en moins de personnes peuvent travailler en expérimentation animale. Quand nous n'auront plus aucun accès aux médicament et autres manipulations chirurgicales, peut être réaliserez vous que cet enseignement n'est pas néfaste mais bien au contraire bénéfique pour tous.
Signaler RépondreSecond point,
Tout au long de notre formation nous recevons des cours de bien être animal et d'éthique pour que l'animal ne souffre pas et soit manipulé dans les meilleures conditions et en ressentait le moins de stress possible.
La plus part des personnes faisant cette formation sont des gens passionés de biologie. Nous apprenons a decouvrir le fonctionnement du corps et des biosphère en général.
Si un seul commentaire tel que celui laissé par cette étudiante existe je pense qui s'agit plus d'une personne frustrée d'avoir loupé son dut ou d'avoir eu des mauvaises notes en tp.
Tout ce qui est réalisé a l'IUT est fait de manière réglementaire avec le soutient professeur/élève nécessaire.
Si vous avez l'impression de voir les mêmes commentaires défendant cette cause, ce n'est peut être pas qu'une seule personne est à la tête de tout cela, mais plutôt parce que 95% des étudiants ont eu un réel bénéfice de cet enseignement ?
Signaler RépondreAlors effectivement c'est bien beau sur un papier d'écrire "Il faut arrêter ce massacre, il y a des alternatives". Mais je serai bien curieux de voir quelles alternatives vous proposez ? In vitro ? Cela ne suffit que pour le test en phase précoce. Modèle informatique ? Le corps humain est tellement complexe et différent qu'il est impossible de faire une corrélation intéressante. Animaux plus petits ? L'animal le plus petit représentant au mieux le corps humain est la souris. Moins d'animaux utilisé ? Vous ne pouvez pas transposer une expérience avec un animal pour en faire une généralité. Il faut impérativement avoir un effectif important pour avoir des résultats significatifs et interprétables : Le comité d'éthique impose des effectifs minimum pour que la publication et les résultats soient acceptables !
Alors oui, il est primordial d'étudier ces techniques, pour ensuite pouvoir réaliser des recherches, qui nous espérons tous, mèneront à un succès futur.
Sans parler des commentaires "Nous sommes encore à la préhistoire". C'est sûrement pour cela que les chercheurs français sont très recherchés dans les autres pays, de part leur technique et leur savoir, et donc tout cela résulte d'un enseignement de qualité.
Avant de critiquer ces méthodes qui vous semblent barbares, mais qui sont bien loin de l'être, renseignez vous sur la vie en laboratoire, sur les avancées scientifiques, et les réelles alternatives : Vous verrez qu'il n'est pas si simple de limiter l'expérimentation animale.
J'ai l'impression que les témoignages défendant l'Université proviennent toute de la même personne.
Signaler RépondreQuelle naïveté et quelle ignorance LyonMag ! Également étudiante à l’IUT, je peux vous assurer que l’élève n’a pas seulement dit son ressenti, elle a totalement exagéré les faits, les nombres et elle a beaucoup généralisé. Il aurait peut-être fallu se renseigner auprès des autres élèves et directement auprès des professeurs et du personnel de l’animalerie voir prendre rendez-vous pour assister à un TP avant d’aller publier les propos malintentionnées d’une seule étudiante dont le but est clairement de baffouer la réputation de l’établissement et de nous faire passer pour des monstres. Les TP de l’IUT sont très réglementés pour le bien-être de l’animal et ils n’ont lieu que si il y a approbation du comité d’éthique et lorsqu’il y a défaut, du ministère de la recherche donc il n’y a absolument pas de boucherie ou je ne sais quelle autre absurdité. Remttons les points sur les i, les professeurs sont hautement compétentes et qualifiées et elles ne nous ont JAMAIS forcer à manipuler pour les TP.
Signaler RépondreMerci de bien vouloir cesser la désinformation.
Mettez la en sourdine au lieu de balancer vos fariboles. Il y a plus de quinze ans, j'étais dans cette université deug d' écologie et on nous demandait de faire des vivisections pour illustrer le phénomène d'osmose au niveau de l'intestin (chez le rat). Je me souviens avoir refusé et lancer à la prof, je suis en écologie pas en boucherie charcuterie. C'était du n'importe quoi, alors pour un iut génie biologique cela ne m'étonne guère ce que raconte cette étudiante...
Signaler RépondreJe suis étudiant dans cette iut et je suis choqué de ce que je lis. Premièrement oui nous somme informé c’est marqué en GRAS sur le site de l’IUT que des manipulations sur les animaux seraient pratique donc bon Lisa n’est pas très maline mais bon ensuite les animaux n’arrive pas en TP dans le coma ils sont parfaitement éveillé et en bonne santé. Secondement l’IUT nous apprennent à Savoir aimer ces animaux qui nous aident, ainsi limiter la mauvaise utilisation qu'on peut en faire.
Signaler RépondreJe crois aussi que l'expérimentation animale est bien moins condamnable que toute l'industrie alimentaire qui est elle une horreur. Nous ne sacrifions pas des animaux par plaisir au contraire le pour l’instant les solutions qui sont des alternatives n’es sont pas assez performantes
Faute de son hypersensibilité maniaque , elle aurais pas du faire génie bio !!
Signaler RépondreÉtant étudiant de l'IUT Lyon 1 je fous confirme que ce témoignage n'a rien a voir avec la réalité ! La formation du département génie bio est excellente , ce qui fait qu'il soit classé meilleur département d'iut en France ,
La formation en physio pharmacologie et tout les travaux pratiques sont approuvés par la comité d'éthique et sont appliqués avec soins pour le meilleur apprentissage de l'étudiant !!!!!!!!
Je suis prochainement diplômé de l'iut lyon 1 c'est du gros foutage de gueule, un article juste bon pour faire du clic.
Signaler RépondreOn limite au maximum la souffrance animale et nos professeurs sont des experts très compétents. Il faut bien apprendre pour pouvoir un jour pratiquer... la plupart d'entre nous sont actuellement en stages dans des laboratoires de recherche où l'expérimentation animale reste aujourd'hui un passage obligatoire dans le développement d'un traitement.
Voyez plus loin que le bout de votre nez. Des millions de personnes cherchent des remèdes à leurs maladies.
Si l'on ne veut pas faire d'expérimentation animale, si l'on n'est pas intéressé par le secteur pharmaceutique, comme la madame, je conseille d'aller faire de la mécanique, c'est bien la mécanique
Sympatoche leurs TP encore les premiers à avoir fait ces expériences (ou ceux qui sont les pionniers de la médecine) ils ont leur raison mais là pas vraiment ... Ca ressemble plus à du SAW Animaux & co
Signaler RépondreLA direction de l'université n'a qu'à se porter volontaire pour ces expérimentations.
Signaler RépondreBizarre les associations L214 et autres extrémistes laissent faire. C'est plus facile de s'en prendre aux éleveurs qui n'ont pas les moyens de se payer un service de sécurité comme celui du campus.