Pour le maire de la capitale des Gaules, l'élection dans son pays d'origine était très importante. D'où son message de félicitations "très chaleureuses" adressées à Nikol Pachininian, nouveau Premier ministre arménien.
L'issue du scrutin "a ouvert une page d'espoir pour l'Arménie", poursuit Georges Képénékian dans son communiqué, se réjouissant que "la jeunesse ait pu exprimer sa voix pour le futur de ce pays".
Dans son message adressé à Nikol Pachininian, le maire de Lyon a confirmé qu'il souhaitait que sa ville poursuive sa coopération avec l'Arménie dans le futur.
Cher compatriote,
Signaler RépondreMon texte était mon histoire personnel mais j'aurai pu ne pas parler d'arménien mais dans l'article c'était celui en cause.
La dernière ligne de mon texte est la plus importante.
C'est celle que défendent tous nos frères de la Légion Étrangère.
Retenez le mot ÉGALITÉ.
mais pour vous mon dernier mot sera
Fraternellement
Vous avez raison ,mais les époques ont changé ainsi que les mentalités. Et les valeurs dont vous parler sont derrière. Notre société actuelle est individualiste et formatée pour le rester. Je suis moi aussi d’origine étrangère,mais je ne me reconnais plus dans la société actuelle. Nous avons perdus énormément de libertés et ce n’est pas finit. De nos jours ,on nous imposes sans nous demander notre avis..... la patrie a oublié tous ses enfants et ils se sentent pour beaucoup apatrides. Enfin, sa nous empêches pas de vivre et souhaiter à tous les armeniens notre sincère amitié.
Signaler RépondreJe vous parie que vous n'étendrez pas la même ouverture envers les ressortissants maghrébins qui ont participé dans les deux guerres mondiales en Europe du côté de Paris. Seulement 'certaines' nationalités ont le droit de s'afficher en étant 'françaises' tout en manifestant un intérêt passionnel et parfois déraisonnable pour le pays de leurs ancêtres. Soyons lucides, on évolue dans un monde d'injustice.
Signaler RépondreMon père réfugié arménien à l'époque de la guerre de 39 45 ne s'est pas posé la question que vous vous posez.
Signaler RépondreSon frère était alors prisonnier français comme ses camarades de régiment en Allemagne.
Il a participé comme FTP à la Résistance française pour servir et libérer la France, son pays d'accueil, comme ses amis étrangers comme lui et ceux du groupe de l"Affiche Rouge".
Il m'a élevé dans l'amour de la France par patriotisme et non pas par nationalisme. Ce mal qui l'avait rendu apatride.
Né en 1939 à Lyon, je n'étais donc pas français. Mon père, ma maman également réfugiée arménienne ont demandé à être naturalisés français avec moi.
Votre remarque me blesse. Doit on oublier ses origines et ne pas vouloir le bien pour ses "cousins" qu'ils soient canadiens ou arméniens.
Un enfant adopté peut adorer ses parents adoptifs qui l'ont élevé dans l'amour et rechercher sa maman biologique. Est ce un crime?
Vive la France avec ses valeurs de Liberté, d'Égalité et de Fraternité.
Il a raison et toutes les communautés font de même. Voilà ,pourquoi aujourd’hui, les français sont minoritaires. En premier nos racines,la France passe après pour tous.
Signaler RépondreComme on peut voir, certaines formes du 'communautarisme' sont plus tolérées que d'autres, selon les origines de l'individu. M. Képénékian ne respecte pas le pacte républicain en faisant une référence si appuyée à la politique intérieure du pays de ses ancêtres. A un certain moment, il faut savoir où l'on vit et choisit son camp !
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