La décision a été communiquée ce lundi soir par la présidence de l'université, alors que les examens prévus ce lundi matin n'ont pas pu se tenir en raison du blocage des campus des Berges et de Bron par des opposants à la loi Vidal.
"Les forces de l'ordre sont intervenue pour libérer un des accès au campus des quais. Dans ces circonstances, les examens ne pouvaient se dérouler de manière satisfaisante et les étudiants ne pouvaient composer sereinement", explique la présidence dans un communiqué.
"Face au risque de voir le scénario se reproduire dans les prochains jours, nous avons décidé de ne pas tenir les épreuves sur table prévues entre le 15 et le 29 mai", peut-on encore lire.
Des modalités alternatives aux examens seront communiquées aux étudiants mardi. "Elles reposeront à la fois sur le contrôle continu et sur des devoirs à la maison", précise l'université Lyon 2.
Les étudiants travailleurs se rattraperont, les autres qui ne devraient pas être là (bac-cadeau) iront après pôle emploi rejoindre les zadistes et autres cgtistes pour faire leur vie!
Signaler Répondrele mal est fait et l'image de l'université écornée dans l'opinion publique hélas:A trop vouloir laisser la "parole" à tous,le laxisme sans autorité devient incontrôlable : la preuve!!
Signaler RépondrePrécisions: les evaluations auront bien lieu, mais pas dans les formes prevue. Et les correcteurs sauront ne pas "brader" les notes. (un enseignant).
Signaler RépondrePour finir dans la manutention, ou la logistique, ces partiels ne sont pas indispensables. Pourquoi ne pas donner des diplômes qui ne valent rien et n'intéressent aucun recruteur en dehors de la fonction publique ?
Signaler RépondreQuand les entreprises recevront des CV avec diplômes obtenus à Lyon 2, nul doute qu'elles embaucheront à pleines portes tous ces glandeurs.
Signaler Répondrele vrai par rapport au faux, , la passivité intellectuelle et la réflexion, l'esprit critique et le formatage ! tout ça quoi !
Signaler RépondreHonteux !!!
Signaler RépondreUne minorité a gagné. Les fainéants vont pouvoir valider leur année d'université sans travailler.
Le ministre de l'éducation ne réagit pas... lui aussi il va plier face à une minorité ?
Pourquoi je me suis inscrit dans cette université... un an de perdu. Une orientation à revoir...
Démission Mme la présidente !
Honteux, une bande de crasseux payants futurs punks à chiens rsastes qui empêchent la majorité de VRAIS étudiants
Signaler RépondreDe passer leurs examens pour lesquels ils ont bossé
Comme les syndicats du cancer généralisé du travail qui pourrissent la vie de millions de VRAIS travailleurs
Très choquant qu'une poignée d'étudiants (?) manipulés pour certains, voire la plupart, imposent par la violence leur opinion. Est-cela la démocratie?
Signaler RépondreUne honte! Ces futurs cégétistes peuvent déjà se laisser pousser la moustache sauf que la mode a changé et ils s’en sont pas rendu compte! 60 000 personnes à la fête à Macron pour 60 millions d’habitants ça fait 0,1% de la population... qui veut faire la loi!
Signaler RépondreSimplifions, simplifions, imprimons le diplôme à l’inscription et donnons-le avec la carte étudiante, on gagnera du temps, de l’argent et on évitera les blocages avec en prime l’égalité parfaite.
Signaler RépondreL’annulation des examens me choque beaucoup . Selon moi on ne doit pas céder à une minorité de grévistes perturbateur. En agissant de la sorte, la présidence de l’université cède et devient complice Je m’étonne également du silence de la ministre par rapport à de tels événements inacceptables
Signaler RépondreFaudra comparer le taux de réussite de cette année avec celui de l année dernière. Et ainsi,on saura si les diplômes ont été bradés ou pas.
Signaler RépondreEspère pour ma part que tous les étudiants qui ont empêchés les autres de passer leur partiels seront recalés . Même si je sais que bon nombres d entre eux sont des fils et filles à papa pour qui les études et le travail ne sont pas vraiment une priorité.