Mais c'est pour une raison cocasse, qui a coûté la place du PDG de la Provence, que 80 personnes ont été refoulées du stade de l'OL à Décines.
Selon le Figaro et le Canard Enchaîné, Jean-Christophe Serfati avait demandé à la régie du quotidien marseillais d'organiser la vente de packs à leurs annonceurs. Contre l'achat d'encarts publicitaires et 6900 euros, ils pouvaient ainsi repartir avec 2 places pour la finale. Et contre 30 000 euros, ils avaient même droit à 6 précieux sésames.
Mais le problème, c'est que la régie publicitaire est passée par une agence non agréée par l'UEFA pour acheter les billets. Et qu'en plus, le règlement de l'organisme en charge de la billetterie place hors-la-loi tout ticket cédé lors d'une opération de "publicité, promotion ou levée de fonds".
Sur les 120 annonceurs qui s'attendaient à passer la soirée de l'année à Décines, seulement 40 ont réussi à rentrer. Les autres ont vu leurs billets être rejetés par l'UEFA qui les avaient ciblés au préalable.
Avant de démissionner, Jean-Christophe Serfati a tenté de désamorcer la situation en invitant prochainement les annonceurs au circuit automobile du Castellet. Il a ensuite été remplacé temporairement par Franz-Olivier Giesbert qui a annoncé avoir porté plainte avec l'UEFA contre l'agence qui avait vendu les billets à la Provence.
"les marseillais" ? Non, le monde du foot.
Signaler RépondreEh oui, vouloir s'affranchir des règles, encore et toujours, copinage, absence de process, on sait mieux que les autres, on rigole, rien n'a d'importance, on fait en dépit du bon sens... belle leçon pour ces clowns!
Signaler RépondreLes marseillais, ces amateurs...
Signaler RépondreCes marseillais une vraie caricature d'eux-même.
Signaler RépondreDes escrocs pieds-nickelés comme leurs footballeurs pieds-carrés.