Mercredi 11 avril, antifascistes et identitaires se sont affrontés à la sortie d'un concert estampillé "no racism no sexism no fascism". Ce vendredi, sept d'entre-eux étaient convoqués devant la chambre d'instruction.
Au cours de l'audience, le ministère public a réclamé la détention envers deux identitaires, dont le leader du Bastion social, et un antifasciste. Une trentaine de militants d'extrême gauche et une dizaine de membres de l'extrême droite se sont mobilisés devant le palais de Justice pour soutenir leurs partenaires.
La décision de justice est attendue pour le 5 juin.
Si arrêtez quatre à dix fachos pouvait rétablir l’ordre dans ce pays ,ce serait le paradis. Le vrai problème c’est la délinquance des quartiers occupés par une immigration haineuse qui vomissent notre mode de vie. C’est trop facile de stigmatiser quelques fous ,alors que devant le vrai danger qui est l’islamisme ,personnes ou presque ne trouve à redire. C’est pas l’envie sûrement qui vous manquent de le crier haut et fort , mais c’est La peur qui vous tétanise,vous les sendufions..
Signaler RépondreEt les journaleux de Lyon mag se sont aussi mobilisés pour la libération des fascistes que sont les antifascistes?
Signaler RépondreLa justice ? Quelle justice ,celle qui épargne la prison à nos ministres et président ripoux ? Celle qui se préoccupe du sort des barbares de Syrie? La violence doit se combattre de partout,mais ils faut pas se tromper d’ennemis.
Signaler RépondrePas la même justice pour tous.
Signaler RépondrePourquoi autant de haine envers quelques uns et pas envers les autres ???
Pourquoi toujours une justice contre certains et pas les autres ?
Mettez tous ces "individus" dans un stade et laissez les s'expliquer !
Quand ils se seront calmés, vous ramassez et vous emprisonnez.
Il faut donner des heures d'intérêt public (du nettoyage des rues, repeindre les graffitis, etc...).
Tous ces petits travaux coutent chers aux contribuables, car souvent ils sont à la charge des mairies, des collectivités, et souvent ils ne sont pas faits, car par prioritaires.
Comme ce sont les contribuables qui paient les "prisons" autant faire travailler certains détenus. L'argent sera bien utilisé !!!
Qui aura le courage parmi nos élus pour proposer une telle solution ???
le leader du baston social en tole ca nous fera des vacances
Signaler RépondreOn verra si au placard ils auront les mêmes revendications
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