À tout juste quarante ans, le maire de Villefranche et vice-président du Département du Rhône reconnaît avoir "eu la chance d'avoir été élu assez jeune en tant qu'adjoint en 2008". "J'ai essayé de suivre un parcours normal avec de l'enthousiasme. Mais c'est vrai que c'est plutôt un avantage, on est en pleine force de l'âge et c'est intéressant de pouvoir œuvrer à ce moment-là de sa vie."
La proximité de la métropole lyonnaise, un frein ? Par forcément, selon Thomas Ravier : "Toutes les situations ont des bons et des mauvais côtés. Mais on a quand même la chance d'être côté d'une métropole européenne et je ne suis pas sûr qu'on pourrait aller beaucoup à l'opéra si l'on était tout seul au milieu d'un département très rural. Donc cela nous apporte quand même beaucoup de choses. Lyon a une attractivité économique et touristique sur laquelle on doit être capable de capitaliser, de se mettre en synergie. Mais il vrai que cela peut aussi parfois jouer le rôle d'aspirateur. Et c'est là tout l'enjeu. Il faut savoir être sur son segment, à proximité de Lyon, et en même temps savoir jouer pleinement son rôle."
Politiquement, le maire de Villefranche est aujourd'hui sans étiquette. "C'est une vraie liberté. Je fais partie de la famille de la droite et du centre et ça reste ma philosophie. Je suis un libéral avec une vraie conviction sociale. (…) Mais j'ai un peu de mal à m'y retrouver entre les radicaux de gauche et de droite. Je suis un vrai Français lambda et ça me va bien comme cela", assure ce dernier.
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" J'ai un peu de mal à m'y retrouver entre les radicaux de droite et de gauche..."
Signaler RépondreQue Thomas Ravier se rassure, il n'est pas le seul !! Les pâles représentants actuels du radicalisme Lyonnais eux même ne comprennent plus rien à la politique qu'ils proposent !
Entre un J. Bocquet qui semble suivre les consignes sans les comprendre , une A.Bonnell plus experte en Champagne qu' en politique et un L. Hénart qui visiblement choisit ses représentants à chifoumi , les amateurs de vraie politique ont de quoi être déçus !!!
N'importe quoi! Thomas Ravir est un jeune ambitieux
Signaler RépondreDégager la brochette Benard Fialaire, Aude Bonnell, Xavier Simond ils sont nuls et ont tué le MRSL !!!
Signaler RépondreA lyon, la situation est désastreuse, le parti radical, MRSL n'existe plus la faute en revient à Laurent Hénart principalement qui a fait confiance a 2 toquards: Xavier Simond qui en effet mange à tous les râteliers et soutient maintenant Etienne Blanc et Aude Bonnell qui est une jet setteuse qui il y'a quelques mois travaillait avec les équipes de Wauquiez et qui fout le bordel partout où elle passe.
Signaler RépondreLe parti radical lyonnais aujourd'hui est mort à Lyon
Un "Français lambda" dans une ville où les conscrits ne sont que des blancs, un beaujolais idem avec de surcroît des mâts supportant des drapeaux français un peu partout.
Signaler RépondreQuand "tristesse" écrivait cela voici 1 an, certains pensaient qu'il se trompait.Malheureusement, les événements écoulés démontrent que non seulement il avait raison mais même qu'il était en dessous de la vérité. Depuis, Auzal, après avoir saccagé le Parti radical local, s'est retiré sur la pointe des pieds en ricanant du mauvais coup fait à ses cousins Radicaux. Bocquet après s'être fait élire Président de la fédération du Mouvement Radical Lyonnais et constatant sa totale incompétence, est reparti vers le PRG moribond. Fialaire, l'âme damnée de Hénart , le Président National, venu , on ne sait pas pourquoi de la fédération voisine, a fait le sale travail que son ami Hénart lui avait commandé.
Signaler RépondreAujourd'hui, un groupuscule persiste et signe, dans l'ignorance totale de la démocratie interne : Simond qui a goûté à tous les rateliers se prend pour le président fédéral alors qu'il n'en a aucune légitimité, tandis qu'une poignée de gougnafiers essaye encore de sucer le sang séché espérant y trouver encore matière à survivre.
Mais où est passée la florissante et inventive fédération lyonnaise née en février 2016 ?
Ce n'est plus de la tristesse mais du dégoût, de la répugnance et de la nausée.
Inquiétant !!!
Signaler RépondreC'est quoi cette histoire de saturnisme à Villefranche ?
C'est tout à fait vrai
Signaler RépondreDes méthodes éculées; des personnages ringards peu fiables ; une association bâtarde;le PRV Lyonnais absent par boycot parisien....Herriot doit se retourner dans sa tombe !
Le Parti Radical Valoisien (PRV) s'est perdu en décembre dernier en convolant avec le Parti Radical de Gauche ( PRG) pour créer le Mouvement Radical Social Libéral, au seul motif qu'ils étaient encore ensemble voici 45 ans. Or, entre temps, les uns ont gouverné avec la gauche voire avec les communistes et les autres avec les partis de droite et du centre droit.Beaucoup de militants et adhérents du PRV et le maire de Villefranche en fait partie ne s'y reconnaissent plus, ont quitté le parti et ils ont eu mille fois raison. Un mouvement sans fond et sans ligne politique fait fuir et n'attire personne sinon quelques carriéristes prêts à se mettre à table avec n'importe qui. En plus, quand on voit la situation dans le Rhône où Fialaire et Auzal veulent faire la loi en bravant les principes basiques de la démocratie interne par des moyens plus que douteux, on n'a envie que d'une chose : partir et aller respirer un air plus sain ailleurs !
Signaler RépondreÀ part ça, le dossier traitant du saturnisme à Villefranche toujours aussi « lambda »?... ah oui , la lambada d’abord....
Signaler RépondreSalut cher Thomas,reste tel que tu es.Apparemment tu as l'air d'être bien apprécié dans ta bonne ville de Villefranche!! Tu en as fait du chemin depuis les Jeunes Radicaux.
Signaler RépondreBravo, ne changez rien. Votre ville de Calade est attrayante et agréable. Surtout n’écoutez pas les sirènes collombines qui génèrent aujourd’hui la désillusion des maires du mouvement Synergie... attirés par un personnage voulant régner sur Lyon et la Métropole en écrasant ceux pris dans ses filets
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