C'est le cas à l'ENS Lyon du directeur Jean-François Pinton. Il a trouvé un moyen moins contondant que des CRS pour décourager les protestataires contre la loi Vidal. Il refuse de débloquer l’armoire électrique qui permet d’éteindre la lumière dans l’amphithéâtre occupé.
Les étudiants qui passent la nuit sur place sont obligés de dormir les yeux ouverts et la lumière éclairée.
À défaut d’éveiller leur conscience, il a choisi de les empêcher de dormir.
Personne ne les oblige à dormir les yeux ouverts, si ?
Signaler Répondreou des berceuses chantées par Wauquiez
Signaler Répondre« C'est le cas à l'ENS Lyon du directeur Jean-François Pinton. Il a trouvé un moyen moins contondant que des CRS pour décourager les protestataires contre la loi Vidal. Il refuse de débloquer l’armoire électrique qui permet d’éteindre la lumière dans l’amphithéâtre occupé. »
Signaler RépondreManque de bol, il s'agit pas d'un amphithéâtre. Il ne s'agit par ailleurs pas d'étudiants grévistes, mais d'étudiants qui occupent une salle qui sert normalement à passer des examens (qui par ailleurs n'ont rien à faire là, puisque pour la plupart même pas étudiant de l'ENS de Lyon (on dit « ENS de Lyon », pas « ENS Lyon », au fait).
Et, oui, laisser des « étudiants » mettre les mains dans une armoire électrique, on a fait mieux.
"Les étudiants qui passent la nuit sur place sont obligés de dormir les yeux ouverts et la lumière éclairée."
Signaler RépondreLa lumière éclairée, je veux bien car c'est le sujet de l'article, mais les yeux ouverts je pense qu'ils sont quand même libres sur ce sujet.
Et pour leur inculquer une bonne culture, une vraie musique à fond, du Wagner, par ex, Offenbach, etc.. bref du bon son en boucle par haut parleur
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