Ainsi, Pizza Pino et son avocat évoquent la loi Godard, qui prévoit une répartition du pourcentage service entre les salariés, pour justifier l'absence de montant fixe au salaire versé à ses employés. Car, en effet, selon le salarié plaignant, les feuilles de salaire rédigées affichaient une rémunération de 1 700 euros, contre un salaire net à payer de 0 euro.
Ce même salarié indique qu'un maître d'hôtel était chargé de remettre les enveloppes, contenant des espèces, aux différents salariés. Des enveloppes dont le montant pouvait varier de 800 à 900 euros.
Mais pour le responsable du syndicat Sud commerces, Pizza Pino a oublié un amendement qui précise que les pourboires ne doivent pas remplacer les salaires. Ainsi, l'homme accuse l'employeur, qui « avait recours à des fiches de paie fictives, et le salarié, (qui) lui, payait des impôts sur de l’argent non perçu et n’avait pas droit aux APL. », relate le Progrès.
Pour information, la SAS Pino Élysées a déjà été condamnée en février dernier dans cette même affaire. La conseil des prud'hommes avait exigé le versement des rappels de salaire des mois d'octobre 2014 à mai 2015, soit 11 922 euros. Lors de la dernière audience, la rupture conventionnelle du contrat de travail a donc été requalifiée en licenciement sans cause réelle et sérieuse. Pizza Pino a décidé de faire appel du jugement.
Depuis 2016, la société a décidé d'arrêter la répartition des pourboires. En effet, selon l'avocat de l'entreprise, "les sommes déclarées par les salariés étaient moins élevées que ce qu’ils percevaient".
Le syndicat Sud commerces envisage de se rassembler, ce samedi midi, devant la Pizza Pino, pour informer le public du jugement rendu. De son côté, l'employeur prévoit la venue d'un huissier, pour évacuer la troupe au besoin.
La qualité de la nourriture a baissé, à 14 euros la pizza c'est difficilement excusable. Après l'accueil est plutôt bien, les serveuses affables, faut pas non plus tout dénigrer.
Signaler RépondreLes conditions de travail, par contre, ça laisse pantois, à lire cet article.
Ils traitent leurs salariés comme ils traitent leurs clients.
Signaler RépondreOn peut comprendre qu'on y travaille mais y manger !...
Oui mais en réalité ils ne sont pas salariés comme les conventions collectives le précisent mais agents commerciaux payés uniquement à la commission alors qu'ils travaillent à l'agence et qu'ils ont un lien d'insubordination avec le titulaire de carte transactions qui leur donne delegation ! Et ils sont des milliers en France !! Qu'attend l'urssaf pour les requalifier en salariés ?
Signaler RépondreLes commerciaux de l immobilier sont sous le statut de vrp immobilier, et sont salariés. Ils bénéficient de l’ani 75 Vrp.
Signaler RépondreSi des commerciaux dans l’immobilier ne sont pas déclarés, il faut faire comme ont fait les salarié de pizza pion et traîner leurs employeur aux prud’hommes. Mais quand les salariés ne sont pas syndiqués et organisés dans leurs entreprises les patrons sont roi.
Pizza Pino pizzeria rigolo degueulasse leur bouf à l'image du traitement infligé à leur salarié.
Signaler RépondreLes commerciaux dans l'immobilier ne sont pas déclarés du tout alors qu'ils devraient être salariés ! C'est tout bénéfice pour le patron de l'agence qui ne paie pas de charges sociales !! Alors que fait donc l'urssaf ?
Signaler RépondreUn peu comme toi! Ils sont partout.
Signaler RépondreLe salarié le savait. Car chez Pino tu te fais Piner.
Signaler RépondreCet établissement réussit la performance de faire des pizzas... pas bonnes !
Signaler RépondreLa dernière fois que j'y suis allé, dimanche 12h15, pas de papier dans les WC, pas de savon dans les lavabos.
Fuyez, pas très loin il y a la rue Mercière et la rue des Marronniers.
De toute façon, c'est pas bon.
Signaler RépondreJe n'ai jamais compris les longues queues d'attente pour manger aussi mal.
Les délinquants multi récidivistes ne sont pas toujours ou l'ont crois.
Signaler Répondrepizza sicilia napolita mafiosi
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