Selon la CGT Educ'action, FSU ou encore FO, SUD, l'Unef et l'UNL, "les premiers résultats de Parcoursup sont illisibles, incohérents d'une formation et d'un lycée à un autre".
"Les retours montrent de grandes inégalités dans les taux de réponses positives obtenues entre les différentes voies du lycée mais aussi entre les établissements", dénoncent les syndicats, parlant d'élèves "découragés, assommés et en colère".
Les organisations syndicales demandent donc l'abrogation de la loi ORE et l'abandon de Parcoursup et un "investissement massif dans l'enseignement supérieur pour créer les structures suffisantes et le personnel suffisant à l'accueil de tous".
On devrait plutôt s inquiéter du taux d échec en fac et université, qui fait que de nombreux jeunes se retrouvent sans aucun diplôme..
Signaler RépondreLe problème de nos jours, c est que l on fait croire aux jeunes que sans études sup, point d avenir, et ce même si l on sait que bon nombre d entre eux, n ont pas le niveau, ni les capacités, ni la motivation pour faire telles études
Rien qu au lycée, on dit au jeune que tel bac est mieux que tel autre, qu avoir un bac S , c est plus valorisant qu un bac Pro.
Parcours sup, fonctionnerait très bien,si les jeunes savaient vraiment dans quel filières ils veulent aller. Et franchement, quand je vois des jeunes avoir plus de 10 voeux, comprend mieux le taux d échec en première année et ce des le premier trimestre.
Il serait peut être temps de revoir l orientation des jeunes et prendre vraiment en compte le niveau,les capacités et la motivation du jeune a aller vers telles études ou telles autres.