Moussa, dont le vrai nom est Fodé Camara, était jugé pour avoir refusé le 4 mai dernier d'être expulsé vers son pays, la Guinée. Artiste bisexuel débouté définitivement de sa demande d'asile l'an dernier, il dit risquer la mort comme son compagnon en Afrique à cause de son orientation sexuelle.
Ce qui n'a pas ému la justice lyonnaise qui l'a condamné à 2 mois de prison et une interdiction du territoire français de deux ans. Moussa, en larmes, a ensuite été écroué.
Son avocate, Me Florence Alligier, avait pourtant tout tenté pour qu'il puisse bénéficier d'une audience équitable, réclamant la présence d'un traducteur. Car Moussa, arrivé en France en 2015, ne parlerait pas le français, mais uniquement le Soussou.
Une piste rejetée par les juges qui avaient fait appel à une traductrice maîtrisant des dialectes africains mais pas le Soussou, entraînant la colère de l'avocate qui alors réclamé l'intervention du bâtonnier de Lyon Farid Hamel, sans effet.
Me Florence Alligier devrait faire appel, considérant que le refus de fournir un traducteur représente un vice de procédure.
"Notre colère est grande car le tribunal de grande instance de Lyon vient de condamner Moussa à 2 mois d'emprisonnement et 2 ans d'interdiction du territoire", a réagi l'association Lesbian and Gay Pride Lyon, dénonçant une "décision inhumaine". Un sit-in en hommage à Moussa sera organisé samedi avant le départ de la Marche des fiertés.
Attention au régiment LGBT des majorettes Parachutistes.
Signaler RépondreIl n’est pas chinois,mais guinéen.
Signaler RépondreCette "justice" remets en liberté des trafiquants de drogue, des agresseurs de policiers ou pompiers.
Signaler RépondreMais elle conduit à la mort un homosexuel Africain.
En France, la peine capitale est abolie depuis 1981.
Il y en a encore qui ne le savent pas.
Voila la France voulue par des millions de débiles qui ont voter pour macron.
Bravo a Maitre Florence Alligier, qui a vraiment fait tout ce qu'elle pouvais.
Merci à vous Madame.
Non, Moussa ne c’est pas trompé de pays .c’est bien au pays des pervers laïco satanico qu’il est entrée. La renommée de ce pays n’est plus à faire. Il en est même la risée de certains pays matcho ,ou les hommes sont des hommes.
Signaler RépondreLe pire c’est qu’ils sont déjà partout,police ,armées... c’est pour ça qu’en France C’est la merde POUH.....
Signaler RépondreBien sur en tant de guerre ils ont la trouille et sont les folles du régiment !
Signaler RépondreExact, être tolérant envers les homosexuels est une chose .mais qu’ils en’ fassent une propagande de normalité, je ne suis’ pas d’accord. Et pourtant,c’est bien ce qu’il se passent avec LGBT ,fait d’un bien à Bertrand,il te le rend en t’humilianT.
Signaler RépondreIls ont le droit de pas laisser le lobby LGBT faire sa propagande dans leurs pays et de protéger leurs enfants, et l'équilibre de leur société... on voit ce que donne la toute puissance LGBT dans nos pays!
Signaler RépondreIl semble que le lobby LGBTQI... cherche à établir une nouvelle filière d'immigration!
Signaler RépondreLes Juges de la Cour Européenne des Droits de L'Homme comme ceux qui ont jugé Moussa ne se sont pas laissés bernés par un Sierra Leonais qui prenait le même prétexte pour venir s'installer en Europe!
Décision de la Cour de la CEDH
Dans leur décision du 19 décembre 2017, les juges de la CrEDH ont fait valoir, en termes généraux, que la charge de la preuve incombe en principe à la personne qui demande l'asile. (..)
En l'espèce, il est incontesté qu'en Sierra Leone, les actes homosexuels sont interdits par la loi et menacés d'emprisonnement. Mais cette loi ne serait pas appliquée. Cependant, il incomberait de savoir si le retour du requérant constituerait un «risque réel de mauvais traitements» au sens de l'article 3 de la CEDH.
(..)
Selon l'appréciation de la CrEDH, les éléments de preuve présentés contiendraient de nombreuses incohérences et seraient donc insuffisants pour prouver un danger de persécution.
Par ailleurs, la CrEDH relève que le requérant n’a pas été en mesure d’étayer son prétendu militantisme, puisqu’il n’a ni su désigner le siège ni nommer des membres de l’organisation à laquelle il affirmait avoir appartenu. Elle estime également que la prise de position de Queeramnesty ne permettait pas de renforcer la crédibilité du plaignant, puisqu’elle se limite pour l’essentiel à retranscrire le récit du plaignant, sans attester de situations particulières auxquelles l’un de ses membres aurait personnellement assisté.
Par conséquent, la CrEDH estime qu’il n’y a aucun motif sérieux laissant croire que le plaignant serait exposé à des traitements inhumains ou dégradants en cas de renvoi en Sierra Leone. Pour les mêmes motifs, elle estime encore qu’il n’était pas nécessaire de traiter séparément l’article 14 CEDH (Interdiction de discrimination). Par la décision du 19 décembre 2017, le recours du plaignant a été rejeté comme manifestement mal fondé.
https://www.humanrights.ch/fr/droits-humains-suisse/cas-credh/cas-suisses-expliques/credh-article-3-cedh-ik-v-suisse
Moussa devrait aller voir SOROS...
C'est pas moi qui le dit...MOUSSA aurait dû aller en Côte d'Ivoire ...
Signaler RépondreEnsuite que certains pays veuillent se protéger de la débauche... et ne veulent pas voir défiler des hommes en laisse et muselière...
La France ça fait loin pour se "réfugier", alors qu'à côté de la Guinée, on trouve la Gambie, le Sénégal, le Mali, la Sierra Leone, Le libéria, la côte d'Ivoire!!!
Signaler RépondreIl nous prend vraiment pour des billes ce Moussa!
Merci à "Propalestinien" d'avoir fourni la preuve que les allégations de Moussa sont bidons!
Signaler RépondreBravo les juges!
Il ne suffit pas d'indiquer un lieu qui démontre l'inverse de ce que prétend "L'artiste bisexuel" à savoir "risquer la mort" quand on lit dans votre lien "Les Country Reports 2016 rapportent qu'aucune discrimination basée sur l'orientation sexuelle ou l'identité de genre n'a été officiellement signalée, mais que [traduction] « la stigmatisation sociétale pourrait avoir empêché les victimes de signaler un abus ou du harcèlement » (É.-U. 3 mars 2017, 25). Selon le MIDI, « [d]es personnes de minorités sexuelles sont parfois victimes de crimes et de stigmatisation, bien qu'aucun cas de condamnation n'ait été rapporté » (Québec 2017, 31). Le CGRA signale que « l'homosexuel peut être victime d'actes isolés de violence par son entourage ou par les forces de l'ordre, lorsqu'il transgresse l'ordre social établi » (Belgique 22 juin 2015)."
Signaler RépondreArtiste, Guinéen et bisexuel! Y'en a qui n'ont pas de chance...
Signaler RépondreImaginez l’inverse un français qui irait demander l’asile en Guinée parce que bisexuel...arrête tes sornettes soussou et rentre sagement chez toi t’occuper des tiens
Signaler Répondre3 ans ici sans parler français, c'est courant. J'ai eu des personnes, naturalisés, qui ne parlent pas un seul mot de notre langue. Enfin, seulement 2... "Donne argent ", ils savent très bien le dire!
Signaler Répondretrois ans qu'il serait en France, et il ne parlerais pas encore le Français..
Signaler RépondreJe suggère d'annuler la peine de cette personne et de l'envoyer faire un stage de 4 mois à la légion. Pourquoi 4 mois, parce que c'est le temps qu'il faut à un engagé pour apprendre le français dit courant..
D'ailleurs on devrait envoyé tous les réfugiés qui ne parle pas français , faire un stage à la légion, afin d'apprendre la langue et les valeurs de la France..
Vérifie tes sources espèces de c*nn*rd
Signaler Répondrehttp://www.refworld.org/docid/5a09abe64.html
Sortir WIKIPEDIA comme source, c'est plutôt ca qui est MDR
"Artiste bisexuel débouté définitivement de sa demande d'asile l'an dernier, il dit risquer la mort comme son compagnon en Afrique à cause de son orientation sexuelle." MDR!
Signaler RépondreIl suffirait de se dire "bisexuel" (et attention je veux continuer à me faire des meufs!) pour avoir droit à l'asile!
Surtout que l'homosexualité est légale en Guinée!
https://fr.wikipedia.org/wiki/Droits_LGBT_en_Guinée-Bissau
Bravo à la Justice d'avoir fait pour une fois son travail... et j'espère qu'il ne sera expulsé dès sa sortie de prison, sinon aucune chance qu'il reparte!
C'est bien une preuve de l'intolérance dans de nombreux pays africains que beaucoup feignent d'ignorer.
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