Le prévenu, jugé ce mardi devant le tribunal correctionnel, a lui même indiqué être, à l'époque, sous antidépresseurs et ne plus se souvenir des faits qui lui sont reprochés. En août 2017, alors incarcéré au centre de Villefranche-sur-Saône, l'homme aurait outragé, violenté et menacé de mort neuf surveillants pénitentiaires. Ces derniers se sont portés parties civiles dans cette affaire.
L'homme, qui a un casier bien chargé (42 mentions), a admis être "entré en guerre contre eux". Fragile psychologiquement, son état avait entraîné un transfert vers la maison d'arrêt de Corbas, afin de faciliter les soins avec le centre médico-psychologique de Lyon.
Depuis février dernier, l'homme est sorti de prison et ne bénéficiait plus du suivi médical. Le ministère public regrette par ailleurs cette sortie sèche et aurait préféré une réinsertion progressive.
L'homme a donc écopé d'une peine avec sursis assorti de travail d'intérêt général et d'un suivi médical. Il doit également indemniser à hauteur de 650 euros l'officier et 250 les huit autres surveillants.
Le ministere public regrette,..... J ai bien lu?????
Signaler RépondreTant sue les juges ne seront pas responsables de leur decision et ne rendront de compte a personne, nous assiterons a ce genre de delire!!!!
Ce delinquant semble etre malade.... Que fat il seul en liberté? Pourquoi n est il pas en HP??... Ah oui, on a fermé des lits, fermé les accueil de nuits et reduit les effectifs,... Pour ine popularion toujours grandissante
Et parlons des TIG... C est une sanction blague!!! Ils ne sont jamais effectués!!!!!!!!!!!