Cette année, la 23e marche des fiertés avait pour revendication principale la procréation médicalement assistée (PMA) sans condition. Ce samedi, lors du défilé, l'ambiance était festive et 20 000 personnes se sont rendues place Bellecour, du jamais vu à Lyon.
De nombreuses personnes extérieures à la cause de la LGBTI sont venues faire la fête et célébrer un pays libre de pouvoir assumer ses choix. Les syndicats CFDT, CGT et FSU, les partis PCF et PS, ainsi que certains députés LREM sont venus, comme à leur habitude, au rassemblement.
Le passage dans le 5e arrondissement de Lyon, refusé jusque là depuis 2010 par peur de heurts entre membres de la communauté LGBTI et des partisans d'extrême droite, s'est déroulé dans le calme. Seuls quelques incidents mineurs ont été constatés au niveau du Grand Hôtel-Dieu. Certains manifestants, extérieurs au cortège officiel de la LGBTI, ont jeté des sac plastiques rempli de peinture sur les CRS situés devant le bâtiment. Quelques vitres ont également été souillées.
Non ça existera encore, il y a trop de fric en jeu. Les marques, les syndicats, les radios, tu crois vraiment qu'ils vont laisser tomber ça?
Signaler RépondrePerso je ne suis ni inquiet ni rassuré, c'est juste une constatation, c'est tout.
Ça devrait alors te rassurer si c'est vrai dans moins de 10 ans on devrait plus en parler.
Signaler RépondreTu parles! Maintenant il y a peut-être plus d'hétéros que de LGBT dans les gayprides!
Signaler RépondreSans parler des chars des syndicats, des marques de fringues, des stations de radios et j'en passe!!
C'est devenu le truc branchouille/franchouille où il faut être vu pour être tendance et montrer qu'on est soooo open-mind et cool!
Pas étonnant que de plus en plus de gay boycottent!
Pour ton info:
https://www.nouvelobs.com/societe/20180626.OBS8788/je-pense-que-la-gay-pride-renforce-la-haine-ils-sont-gays-et-contre-la-marche-des-fiertes.html
Merci pour ce rappel, mais à lire l’hostilité stupide de bon nombre de commentaires on voit qu'il reste encore beaucoup de chemin à parcourir.
Signaler RépondrePour ceux qui s'émeuvent qu'il n'y ai pas d'hétéro pride, félicitez vous plutôt de ne pas en avoir besoin.
et s'ils pouvaient être tellement discret qu'ils deviendraient hétéro.
Signaler RépondreIl existe la "pride de nuit" depuis quelques années contre la dérive commerciale de la gay pride (et accessoirement les chars de la police pour rappel stonewall en 69 c'était contre les violences homophobes de la polie) qui reprend l'esprit militant.
Après on n'en pense ce que l'on veut mais au moins ça a le mérite d'exister et de ne pas se dire que l'on vit en Tchétchénie.
Tout à fait exact. La discrétion évite la discrimination.
Signaler Répondre'C'est votre point de vu étriqué mais pas celui de la loi.'
Signaler RépondreSous Vichy, d'autres l'avaient remarqué aussi !
Allez, no pasaran ;)
Bravo pour ces témoignes intéressants de gays/lesb/bi à propos de la gay pride:
Signaler Répondrehttps://www.nouvelobs.com/societe/20180626.OBS8788/je-pense-que-la-gay-pride-renforce-la-haine-ils-sont-gays-et-contre-la-marche-des-fiertes.html
Extraits:
Pour d’autres, la Marche des Fiertés est tout simplement devenue "ringarde" – c'était d’ailleurs déjà le titre d'une conférence organisée par Science-Po en 2010 – et dépolitisée.
"Aujourd'hui la Gay Pride attire plus d'hétérosexuels que de LGBTQI+, c'est devenu une mode que de venir défiler dans la bonne ambiance avec un drapeau arc-en-ciel."
"J'ai déjà beaucoup de mal à comprendre la signification de toutes ces lettres [LGBTQI+] et il faut bien avouer que l'extension de la marque LGBT est devenue un peu ridicule", estime David, 31 ans, "gay, athée" et "résolument contre" la Gay Pride."
La liberté guidant le peuple n'est pas voilé, et on dirait bien que ca vous dérange
Signaler RépondreLes photos parlent d'elles-mêmes...
Signaler Répondreoh OUIIIIIIIIII décadons décadons !!!
Signaler RépondreLes photos parlent d'elles-mêmes...
Signaler RépondreQuelle bande de dégénérés, sans plus aucun honneur.
Des décadents !
Vous être parfaitement libre de porter plainte vous même, encore faut il pour cela avoir autre chose que des "on dit" de forum pour que cela soit recevable.
Signaler RépondreIl est interdit de s'exhiber...
Signaler RépondreBeaucoup de "fiertés" ayant défilé sont passibles de condamnations.
Mais qui aura le courage de porter plainte ?
Collomb ?
Képé ?
A vous lire il faudrait admettre que votre conception de la famille est parfaite et immuable.
Signaler RépondreSeulement la réalité n'est pas comme ça,.
La famille est un sanctuaire logiquement.mais ,ils ont tout fait pour la détruire. Aujourd’hui,la famille est redevenue un refuge pour beaucoup et je plains sincèrement ceux qui n’en’ ont pas ou plus.
Signaler RépondreSondage qui fait mal au LGBTIQ!
Signaler RépondreLes français choisissent majoritairement l'intérêt de l'enfant et plebiscitent le rôle du père!
C'est votre point de vu étriqué mais pas celui de la loi.
Signaler RépondreC'est exact mais tentez de faire comprendre cela à des fanatiques c'est illusoire.
Signaler RépondreN'oubliez pas que pendant des siècles la terre était plate et au centre de l'univers pour eux, mal grès toutes les preuves scientifiques.
« On agit comme s’il y avait un droit au sperme » – un entretien avec Marie Jauffret sur la PMA.
Signaler Répondre"À rebours de certains discours défendant un « droit à l'enfant », cette normalienne nous met en garde contre les risques d'une marchandisation du corps humain."
VICE : En 2005, dans son avis 90, le CCNE se déclarait opposé à l'ouverture de la PMA aux couples lesbiens. Aujourd'hui, il est pour. Comment expliquez-vous ce revirement ?
Marie Jauffret : Le CCNE, ce sont des femmes et des hommes. Une partie des membres a changé depuis 2005, notamment en 2013, lorsque François Hollande a choisi d'y nommer des proches. Cela dit, on ne peut pas simplement affirmer que « le CCNE est pour ». Une importante minorité du CCNE a signé un avis divergent. De plus, le CCNE établit une telle liste des difficultés que poserait l'accès de toute femme (dans une certaine limite d'âge, tout de même) à l'insémination artificielle de sperme, qu'on peut se demander si sa recommandation finale n'est pas davantage un affichage politique qu'une conclusion logique.
Y a-t-il un droit des femmes au sperme ? C'est impossible, car ce serait avoir un droit sur le corps d'autrui."
https://www.vice.com/fr/article/j5q8bd/pma-gpa-marchandisation-egalite-interview-marie-jauffret
"homophobe, anti-IVG, masculiniste!"
Signaler RépondreDes invectives, une diabolisation de l'auteur pour le faire taire, vieille tactique des groupes totalitaires!
mais pas de chance pour eux grâce à You tube on peut l'entendre sans que personne ne puisse nous en empêcher à l'abri des groupes fachistoïdes qui refusent le débat dans le respect de ceux qui ont un avis différent!
Ecoutez-le, c'est passionnant!
(Il n'a rien à voir avec La Manif Pour Tous)
Moi j'étais avec mon club : les compagnons de la terre jaune - et on a bien rigoler !!
Signaler RépondreRevendiquer le "droit au respect" en s'exhibant...
Signaler RépondreQuelle caricature !!!
C'était un défilé de vicelards et vicelardes et c'est honteux de montrer ça aux enfants !
Signaler RépondreOrganisée par l'association LGBTI (lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels et intersexes)...et les QUEERS?
Signaler RépondreIls ont oublié le "Q"... lapsus révélateur?
MDR!
Et si au lieu de commenter pour gerber votre haine et dégoûts des autres, vous laissiez les gens vivre comme ils le souhaitent ?
Signaler RépondreQu'est-ce que ça peut bien vous faire qu'il y ait deux papas ou deux mamans ?
Ca remettrait en cause l'éducation que vous apporteriez à vos chiards ?
Parce que les Hétéros sont un modèle d'éducation ?
Les LGBT n'ont pas le droit d'être des parents aux même titre que tout le monde si ils le souhaitent ?
Et si les gays vous font gerber, n'avalez pas si profond.
Alexis Escudero (Auteur de Gauche - voire d'extreme-Gauche auteur d'un des meilleurs livres sur la PMA https://www.amazon.fr/reproduction-artificielle-lhumain-Alexis-Escudero/product-reviews/B00NM50BWW/ref=dpx_acr_txt?showViewpoints=1)
Signaler Répondre(Suite et fin)
La critique de la PMA est d’ordinaire réservée à la droite conservatrice et/ou homophobe…
Une partie de la droite défend un ordre social issu d’un ordre naturel fantasmé. Mais nature et ordre naturel ne sont pas la même chose.
Pour critiquer - avec raison - ces positions conservatrices, la gauche rejette non seulement l’ordre naturel, mais également toute idée de nature.
On ne peut pourtant pas ignorer nos déterminismes biologiques, nos limites naturelles.
En matière de reproduction, certains couples hétérosexuels ne pourront jamais avoir d’enfant, deux hommes ou deux femmes ne peuvent concevoir ensemble. Oui, la nature est contraignante. Mais elle n’est ni bonne ni mauvaise.
S’émanciper de la nature n’est pas forcément synonyme de liberté.
A l’ère du capitalisme technologique, refuser certaines contraintes naturelles, c’est se soumettre au technocapitalisme, à la médecine et à la génétique.
Est-ce si indigne que cela d’accepter des contraintes naturelles ?
En revanche, accepter ou non les techniques PMA-GPA [gestation pour autrui] est une question d’ordre politique et moral.
Vous questionnez là le désir d’enfant…
Je pose surtout la question des rôles sociaux que la société accorde à ceux, nombreux, qui n’ont pas d’enfant.
Des statuts comme ceux de parrain, marraine, oncle, tante peuvent permettre de jouer un rôle important dans l’éducation, sans pour autant être parent.
Ce sont des choses que je voudrais voir creuser.
De même que le sort réservé à l’adoption.
Si le désir d’enfant titille tant les gens, pourquoi ne pas adopter ? Pourquoi la gauche ne s’attelle-t-elle pas à ce gigantesque chantier qui consisterait à faciliter les procédures afin de donner des parents aux enfants qui en sont privés.
Que vous inspirent les dernières avancées médicales qui permettent aux femmes nées sans utérus d’enfanter ?
On en revient à la question du désir d’enfant. Pourquoi des femmes sont-elles prêtes à de tels sacrifices ?
Se faire implanter l’utérus d’une femme ménopausée ou en état de mort cérébrale, c’est subir une opération de greffe extrêmement lourde avec des traitements d’immunosuppresseurs pendant des années, c’est donc prendre des risques considérables pour sa santé.
Sans oublier qu’après avoir servi, cet utérus sera retiré, au prix d’une nouvelle opération, afin d’éviter les risques de rejet.
L’injonction sociale à la reproduction pèse évidemment beaucoup plus lourd sur les femmes que sur les hommes.
C’est cette injonction qu’il faut dénoncer. Faire un enfant ne devrait pas être synonyme de réussite sociale. D’autant que nous vivons déjà dans un monde surpeuplé.
Facebook et Apple ont annoncé qu’ils financeraient la congélation d’ovocytes de leurs employées qui le désirent.
Cette fausse solution ne résout pas le véritable problème : la mise en concurrence des hommes et des femmes sur un marché du travail de plus en plus compétitif.
Elle oblige des femmes capables de procréer de manière autonome à recourir à des traitements hormonaux, à la fécondation in vitro, au diagnostic pré-implantatoire : à se soumettre à l’institution médicale.
Enfin, je ne crois pas que donner à des enfants des parents toujours plus vieux soit un progrès social.
Et cela vaut pour ces pères qui font des enfants après 50 ou 60 ans, tout en sachant que c’est leur femme, plus jeune, qui s’en occupera.
Vous évoquez également des recherches dignes d’un livre de SF : l’utérus artificiel…
C’est l’objet d’un livre d’Henri Atlan, paru en 2005 (1). L’utérus artificiel - ou ectogénèse - fait partie du discours de certaines cyberféministes depuis les années 70. L’horizon de cette technique, c’est la désincarnation, l’affranchissement du corps.
On rejoint là le fantasme ultime des transhumanistes : le transfert du cerveau humain dans un ordinateur, ce que l’on appelle aussi la convergence entre sciences cognitives, biologie, informatique et nanotechnologies.
Les transhumanistes ne sont plus ce groupe marginal des années 70. Ils détiennent un réel pouvoir, de l’argent et investissent sans complexes les campus, aux Etats-Unis mais aussi en France.
Ainsi, Google a investi dans la célèbre université de la Singularité, fondée par Ray Kurzweil.
World Transhumanist Association (WTA) compte près de 6 000 membres, parmi lesquels des académiciens réputés, essentiellement issus de l’informatique, de la robotique ou des nanotechnologies…
Ils répandent l’idée qu’une amélioration génétique de l’humain est inévitable. Après tout, puisque nous subissons déjà tout un tas de déterminations à cause de nos origines, de nos parents, de notre culture, alors qu’est-ce qu’une détermination supplémentaire ?
Ils sont la véritable extrême droite de notre époque, celle qui entend créer une race d’humains supérieurs en s’hybridant avec la machine.
(1) «L’Utérus artificiel» d’Henri Atlan, Seuil, 215 pp, 19,30 €.
Dessin Yann Legendre
Laure Noualhat
La Reproduction artificielle de l’humain d’Alexis Escudero Editions Le Monde à l’envers, 7 €.
C'est sur qu'avec Alexis Escudero vous allez trouver votre bonheur:
Signaler RépondreAnti-IVG, homophobie et masculinisme sont au programme de ses livres.
Quitte à racler les bas fonds ça fait un petit moment que vous nous avez pas citez Zemmour.
Il y a un sanctuaire là-bas ???
Signaler RépondreOn peut y organiser une procession. Voir comment réagissent les habitants de Vaulx-en-Velin. Ceux qui s'étrangleront le plus de rage et de haine seront sans doute les gens comme vous... qui seront indignés que les cathos osent encore prier une fois par an dans les rues de Lyon.
Vous promettez de ne pas râler ?
Très sympa, cette techno-parade à Lyon. La zic boum-boum à donf'. Il y a bien eu des incidents et dégradations, mais surement des djeuns qui avaient trop consommé de substances, ça va avec, pas grave quoi...
Signaler RépondreComment ça c'était pas la techno-parade? ah oui il n'y en a pas à Lyon en fait... c'était la fierté des LGBTI? ah bon. Pas bien vu la différence.
Boom, boom boom boom, la fiesta à Lyon.
Alexis Escudero (suite)
Signaler RépondreVotre livre est aussi une attaque en règle de la gauche [ c'était en 2014 sous Hollande] au pouvoir qui délaisse les questions de société et occupe l’espace public avec un problème qui n’en est pas un…
Je suis très énervé face à cette gauche qui, au motif de défendre la liberté et l’égalité pour tous, fait avancer des idées précisément contraires à ces principes.
Historiquement mené par la gauche, le combat pour l’égalité était social, politique, économique et faisait fi des différences biologiques.
Dans le débat sur l’extension de la PMA aux couples de lesbiennes, l’égalité défendue devient biologique.
Ce qui est demandé, c’est la possibilité pour des personnes de même sexe de faire des enfants ensemble.
On parle bien de faire advenir, par la technologie, une capacité biologique identique à celle des couples hétéros. C’est loin d’être un détail.
D’abord cette conception de l’égalité est celle des transhumanistes.
Elle confie à la technologie le rôle d’effacer les différences biologiques. Selon elle, seules les biotechnologies, les manipulations génétiques et l’hybridation de l’homme avec la machine permettront d’atteindre l’égalité.
C’est une forme de pessimisme libéral, un renoncement à la vie politique.
Notre société étant incapable de permettre aux hommes et aux femmes de vivre selon leurs différences, on confie cette tâche au marché et à la technologie.
En quoi ces technologies font-elles avancer des idées contraires aux principes d’égalité et de liberté ?
La PMA est avant tout un gigantesque marché.
Consécutivement à la baisse de la fertilité due à la pollution industrielle et à nos conditions de vie - obésité, stress, tabagisme -, un supermarché mondialisé de l’enfant a émergé.
Il pesait déjà 3 milliards de dollars aux Etats-Unis en 2007.
Dans ce supermarché, la liberté si fièrement revendiquée n’est qu’une liberté de consommateurs. Et si le produit acheté ne vous convient pas, vous pouvez toujours déposer une réclamation auprès du service après-vente. Un couple de lesbiennes américaines vient de porter plainte parce que leur fille, née suite à un don de sperme, est métisse. Le sperme d’un homme noir a été confondu avec celui d’un homme blanc.
La PMA, c’est l’irruption des inégalités sociales et économiques dans le ventre des femmes : aux Etats-Unis, les ovules d’une diplômée de Yale sont beaucoup plus onéreux que ceux d’une étudiante de l’université d’Oklahoma. Avec des femmes qui mettent leur ventre à disposition en Inde, en Ukraine ou en Thaïlande, des couples australiens, néerlandais ou français accèdent à un hard-discount reproductif. Avec le diagnostic préimplantatoire, des couples fertiles aisés «sélectionnent» leur futur enfant. Ces inégalités se doublent d’inégalités biologiques.
Si la PMA existe, c’est d’abord et avant tout parce qu’elle engraisse médecins, généticiens, biologistes, patrons de start-up, juristes, avocats, banquiers en sperme ou en ovules. Des centaines d’entreprises prospèrent dans ce secteur, et un nombre grandissant est coté en Bourse. La gauche fait semblant de ne pas le voir.
Tous donneurs si la loi passe!
Signaler RépondrePourquoi payer alors qu'on n'a fait que satisfaire leur besoin d'enfant? D'ailleurs si ce n'était pas le cas elle aurait avorter! Alors fini les pensions si la loi passe, pourquoi payer alors qu'on leur aura éviter beaucoup de frais beaucoup de souffrances ?
C'est elles qui devront dire merci et payer quand le don de sperme ne sera plus gratuit!
Il vous répond par ça :
Signaler RépondreAnti LGBT comme vous ?
L'absence de père ne pose pas de problème particulier pour la vie de l'enfant?
Signaler Répondre100% des juges aux affaires familiales sont d'accord. (Les juges pour enfants sont majoritairement des femmes)
Laissez les faire leurs affaires entre elles, cela evitera que les hommes aient a payer des pensions alimentaires.
Alexis Escudero : «La PMA est avant tout un gigantesque marché»
Signaler RépondreExtraits de l'article paru dans "Libé" :
Faire un enfant, «l’absolu à la portée du caniche», comme dirait l’autre… Sauf que fabriquer le petit d’homme n’est pas à la portée de tous. Certains, envers et contre leur destin biologique, persévèrent, techniques à l’appui. Ainsi sont nées PMA, FIV et autre acronymes de l’enfantement.
Dans un essai documenté, un jeune chercheur en sciences politiques propose de réfléchir au sens que l’on donne à la vie.
Faut-il tout tenter pour enfanter ?
Ni écolo réac ni homophobe grimé en vert, Alexis Escudero (c’est un pseudo) propose de réfléchir aux techniques reproductives quand celles-ci répondent à l’infertilité organisée.
Congeler ses ovocytes, accéder à la procréation médicalement assistée (PMA) quand on est un couple lesbien, louer un ventre à l’autre bout du monde… le (super)marché est ouvert.
Ni professeur dans une université ni philosophe ou sociologue, Alexis Escudero, auteur de la Reproduction artificielle de l’humain, se présente comme un simple citoyen capable de penser par lui-même. Il conduit une thèse sur les oxymores de la croissance verte.
Selon vous, la PMA n’a rien à voir avec l’égalité des droits : elle doit être combattue en tant que telle, et non pas pour son extension aux homosexuels…
La PMA soulève des questions politiques de premier ordre, qu’elle soit pratiquée par des hétéros ou des homos : marchandisation du vivant, eugénisme, exploitation du corps des femmes. La question ne se situe pas là. Si l’on considère que les couples homos sont aussi aptes que les couples hétéros à aimer et élever des enfants, on ne peut la refuser aux uns sans la refuser aux autres. C’est la position que je défends dans le livre : la PMA ni pour les homos ni pour les hétéros.
Ceci étant dit, il est évident que l’ouverture de la PMA aux couples de lesbiennes fertiles signifierait avant tout l’ouverture de la PMA à toutes les femmes, fertiles ou infertiles, homos ou hétéros.
En somme, le passage d’une technique médicale à une technique de «convenance».
Bien sûr, les partisans de la PMA n’aiment pas ce mot. Ils ont raison de rappeler que la PMA n’est jamais une partie de plaisir. Et pourtant aux Etats-Unis, où elle est ouverte à tous et à toutes, un nombre grandissant de couples parfaitement fertiles recourt à la fécondation in vitro [FIV].
Certaines cliniques permettent, grâce au diagnostic pré-implantatoire, de sélectionner les embryons porteurs de certaines caractéristiques génétiques. Les parents peuvent ainsi s’assurer que leur progéniture sera exempte de plus de 400 maladies. Ils peuvent également choisir le sexe du bébé. Et demain, la couleur des yeux ? La FIV pour tous et toutes ouvre la voie au «design» de l’enfant parfait.
Avant de te prendre pour Dieu revois tes maths 25% de 15000 = 3750 pour obtenir les 5000 en question il faut considérer 33.33%
Signaler Répondre:D
Signaler Répondre"L'année prochaine, s'ils sont suffisamment fiers, ils partiront du plateau des Minguettes." D'un côté j'ai jamais vu les types du GUD la bas non plus...
Signaler RépondreTOURAINE et ISAAC SIBILLE tout deux Pro PMA sans père [ tout comme les 20000 moutons de panurge agglutinés derriere le Bus de Radio Scoop et les canons à mousse et tous les Pro PMA sans père] sont au service du lobby qui voudrait ouvrir ce marché en France avec le Jackpot du remboursement par la Sécu ce qui n'existe nulle part ailleurs pour les femmes seules et les lesbiennes!
Signaler Répondre"Loin d’abolir les inégalités, la PMA les aggraverait. De l’exploitation du corps des femmes aux fantasmes transhumanistes, Alexis Escudero recense dans un ouvrage les risques de la reproduction artificielle."
http://www.liberation.fr/terre/2014/10/31/la-pma-est-avant-tout-un-gigantesque-marche_1133584
"Le père on s'en fiche" (dixit la fille des MENESSON sur France 2)
Signaler RépondreStromae tout comme les français n'est pas d'accord!
Papaoutai est une chanson au style house, avec des influences de pop, rythmes africains (proches de ceux du Congo), et on peut même y déceler un brin de variété, au début du 1er couplet notamment. Stromae raconte dans la chanson l'absence d'un père, histoire qu'il a lui-même vécue.
Sacré Mickaël que j'aime vous lire quand vous vous servez de la protection de l'enfant (pour l'instant imaginaires) pour assouvir les volontés que d'autres vous ont mis dans la tête.
Signaler RépondreDommage que vous (et vos amis) restiez si cruellement silencieux quand il s'agit de protéger les enfants (bien réels) violés par des prêtres pédophiles protégés par des archevêques.
A la question :
Signaler Répondre"le con, c'est le voisin ou c'est vous ?"
99 % des français répondent "c'est le voisin"
1% n'a pas compris la question.
TOURAINE (comme ISAAC SIBILLE) sont les "amis des labos"... bizarre tous deux sont pour la PMA Sans Père remboursée par la Sécu...
Signaler RépondrePour le plus grand bénéfice de qui?
même pas honte!
https://www.rue89lyon.fr/2018/02/13/isaac-sibille-et-touraine-deux-deputes-du-rhone-en-lien-avec-les-labos-pharmaceutiques/
L'absence de père ne pose pas de problème particulier pour la vie de l'enfant?
Signaler Répondre85% répondent "pas d'accord"!
https://www.ifop.com/wp-content/uploads/2018/06/115621-Rapport-V2.pdf
61% des français privilégient l'enfant et refusent l'extension de la PMA aux femmes seules et aux couples de femmes!
TOURAINE, le lobby Medicopharmaceutique de la reproduction artificielle de l'humain et les "idiots utiles" LGBT sont clairement désavoués!
Va de demander à barbatruc si sa prochaine procession du 8 décembre y passera?
Signaler RépondreA la question suivante :
Signaler Répondre"Sur la PMA pour les femmes seules ou les couples de femmes, c'est à dire la conception d'un enfant sans père, de laquelle de ces deux affirmations vous sentez-vous le plus proche?
les français répondent à 61% [ 72% des pères] :
"Il faut privilégier le besoin de chaque enfant d'avoir un père en réservant la PMA aux couples homme-femme ayant un problème d'infertilité"
https://www.ifop.com/publication/les-francais-et-la-paternite/
Gagné !
Signaler Répondre@je dis ça... se reconnaitra.
Maintenant qu'ils savent qu'il ne se passera rien dans le Vieux-Lyon, les gens se fichant royalement de ce défilé de décérébrés, les organisateurs ont prévu que l'édition de l'an prochain partira de Vaux en Velin.
Signaler RépondreEn période de ramadan...
15 000 personnes attendues 20 000 présentes ça va énerver l'ayatollah catholique de Lyonmag
Signaler RépondreSondage IFOP sur la PMA Sans Père : "l'absence de père peut entrainer chez l'enfant des difficultés personnelles"
Signaler Répondre85% des français répondent "OUI"
C'est une évidence... cependant contestée par TOURAINE le lobby LGBT et le lobby de la reproduction artificiel de l'humain qui voudrait bien que le marché français s'ouvre! "Le père ils s'en fichent" ce qui compte c'est le max de fric qu'ils vont pouvoir se faire!