Cet individu, récemment interpellé par les gendarmes en France, avait ouvert dans son pays natal une agence d'intérim. Et avait ainsi monté un réseau de travail au black, inondant le Rhône et l'Ain de travailleurs polonais destinés aux exploitations agricoles. Une vingtaine d'entre eux évoluaient dans les deux départements.
Les enquêteurs ont estimé qu'entre 2012 et 2016, les agriculteurs qui avaient fait appel aux services des Polonais avaient économisé 2,5 millions d'euros de charge sociale.
De fortes sommes d'argent ont d'ailleurs été saisies lors des perquisitions chez la dizaine d'individus interpellés en début de semaine : environ 400 000 euros en liquide au total.
Cerné par les preuves contre lui, le patron du réseau de travail illégal a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire strict pour éviter qu'il ne retourne en Pologne. Quant aux six maraîchers concernés, ils sont loin d'être tirés d'affaire car les enquêteurs les reconvoqueront prochainement.
non des "au black"
Signaler RépondreC'est des Polonais d'Abidjan ?
Signaler RépondreEt vous feriez la même chose à leur place.
Signaler RépondreC'est des polonais pas des migrants.
Signaler RépondreC'est pour cela que l'Europe a été créée, pour exploiter la misere de l'europe de l'est.
Cerise sur la gateau, la libre circulation en Europe fait qu'on ne peut pas accuser les gens qui viennent des pays de l'est d'être des immigrants illégaux.
Les partis de droite comme de gauche vous ont bien eu.
L'article dit bien des travailleurs polonais.
Signaler RépondrePourquoi fixez vous sur Abidjan ? Pas la peine de répondre je sais !
A abidjan un employé de maison est payé 80 € par mois sans charges sociales ! Les mêmes qui sont migrants illégaux en France multiplient leur salaire par 12 au minimum !! On comprend qu'ils ne veuillent pas retourner chez eux !
Signaler RépondreTous ses clandestins qu’ils rebaptisent migrants,vous les retrouvez dans les champs, la restauration,le bâtiment ect...pour le business juteux de l’exploitation humaine sous payes ou pas du tout comme beaucoup entassés chez les marchands de sommeil. Et après, ils font Leur numéro médiatique humanitaire,quelle pourriture.
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Signaler RépondreComme le medef toujours en train de pleurer mais en fait ils s'en mettent plein les poches. Des vrais patrons.
Signaler Répondre700 euros d'aides PAC à l'hectare sans compter leur chiffre d'affaire.
Signaler Répondre87% de déduction forfaitaire de leur chiffre d'affaire pour calculer leur revenu et c'est pas encore assez !!??
Je conseille à tout le monde de regarder cette vidéo : Un système bovin allaitant dans l'Autunois.
Signaler RépondreEBE : 60000 euros par associé
Revenu par associé : 40000 euros !!!
Et c'est les éleveurs eux même qui le disent. Vous allez les accuser de raconter n'importe quoi aussi ??
Que c'est beau de vous voir vous engluer dans vos arguments économiques du "je veux pas payer, c'est trop !" "ha mais on n'a plus de services publics !" "ha mais c'est d'la faute des autres" !
Signaler RépondrePas de doute, on est à Lyon avec Gnafron et Guignol...
Vous dites ça mais sur le fond ils ne fessaient ça que pour payer les charges qui les asphyxies.
Signaler RépondreGagnez encore plus d’argent ? Grâce aux clandestins ,réfugiés,migrants et tous les miséreux de la planète. Venez chez nous ,on vous exploitera .
Signaler Répondreles agriculteurs ont toujours été cupides et souvenons-nous des farines animales ...
Signaler Répondrepeut être qu un jour notre cher et tendre gouvernement comprendra que nos charge sont un poids pour notre économie!!!
Signaler Répondre... mais pour le moment, elles participent a financer le train de vie de l'Etat... et non les retraites, le chômage... et toutes les indemnités qui sont réduites au profit du monarque!
On attend la réaction officielle de la FNSEA !
Signaler RépondreCe sont les mêmes agriculteurs qui bloquaient le port Edouard Herriot et la raffinerie de Feyzin la semaine dernière...?
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