Sa famille et ses proches entendent marcher pour "la dignité et l'honneur" de la victime, dont le meurtre pourrait rester impuni.
Il faut dire que le principal suspect dans cette affaire, mis en examen en juin 2016 et qui avait avoué le meurtre, a été remis en liberté, à la suite d'une décision de la cour d'appel de Lyon.
Car la justice a estimé que le crime était prescrit au bout de 10 ans. Ce qu'avait refusé l'an dernier la chambre de l'instruction, estimant que le crime était "occulte" car le corps avait été dissimulé - un "acte interruptif" qui reporte le délai de prescription -, retardant la poursuite des investigations.
Sans oublier que les policiers ont longtemps cru, sur la base de témoignage et d'une amende SNCF à son nom en 2002, que Mohamed Abdelhadi avait refait sa vie.
Si la famille de la victime n'a pas pu obtenir gain de cause, c'est aussi parce que tous les procès-verbaux de l'enquête ont été perdus par les tribunaux de Villefranche et Châlon-sur-Saône. Impossible pour elle de prouver noir sur blanc que les investigations ont duré jusqu'en 2008. Et que le crime n'est donc pas prescrit.
A noter que la famille Abdelhadi a formé un nouveau pourvoi en cassation avec l'appui de son avocat David Metaxas.
MARTIN, et les marches blanche pour Maelis ou les joggeuses. Ta haine t’aveugle
Signaler RépondreL ancêtre de l iPod
Signaler RépondreMagistrats pourris : la honte.
Signaler RépondreLa pratique de la "marche blanche" commence à m' insupporter sérieusement. Cette pratique se systématise et est, très souvent, le vecteur d'un communautarisme remettant en causes les autorités, en l'espèce l'autorité judiciaire et policière : on n'est pas content, et on fait alors une "marche blanche".
Signaler RépondreC'est un homme qui marche je crois..
Signaler RépondreC'est quoi un Walkman ?
Signaler Répondrehonte a la justice
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