Le tout jeune futur président du nouveau parti "Mouvement Radical - Social et Libéral" s’entretient avec les journalistes. Un militant s’en approche, chapeau de soleil et grand sourire pour rappeler que les choses sérieuses commencent. Faisant mine de prendre le journaliste présent pour un futur encarté du nouveau parti, le militant apostrophe l’homme du jour : "Jonathan tu vas être élu, pas la peine de faire des cartes [recruter des adhérents "fictifs" qui votent pour celui qui les as recrutés, ndlr] dans la rue".
Jonathan Bocquet sourit : "C’est vrai que si je suis élu avec le vote d’Edouard Herriot ça va faire bizarre". Derrière le trait d’humour, la référence à Edouard Herriot n’est pas anodine. Maire de Lyon de 1905 à 1957, il est aussi et surtout une figure historique d’un parti radical et radical socialiste qui fut une force centrale de la IIIème et IVème République.
Mais depuis 1972, le parti d’Edouard Herriot né en 1902 avait fini par se diviser entre les radicaux de gauche (aujourd’hui Sylvia Pinel) et les radicaux valoisiens ("de droite", Laurent Hénart). Ces 47 années de scission auront pris fin dans l’ensemble de la France en décembre 2018, et dans la Métropole et le Nouveau Rhône ce 7 juillet 2018. Les militants de la Métropole entérinent ce jour l’arrivée d’un nouveau président - Jonathan Bocquet pour la Métropole - et une nouvelle, Nadine Baudet, pour le Nouveau Rhône.
Après l’élection des Président(e)s, les bureaux sont aussi soumis au vote. Le bureau de la Métropole comptera ainsi deux nouveaux Vice-Présidents : Patrice Schoendorff et Jean-François Auzal, une secrétaire générale, Katia Buisson et une trésorière, Marjorie Mullin.
Dans son discours de profession de foi, Jonathan Bocquet (seul candidat au poste de Président de la fédération du nouveau parti après que Xavier Simond, le dynamique mais râleur adjoint au sport du Maire du 6e arrondissement Pascal Blache, eut décidé de ne pas concourir) rappelait les grandes lignes de son programme : "le parti radical a longtemps été un laboratoire d’idées, où la gauche et la droite ont puisé abondamment les rares innovations politiques de ces dernières années (…) Nous pourrons exister en avançant des idées fortes autour de nos principes fondateurs (l’éducation et de la laïcité, des libertés individuelles et de la justice sociale)".
Vaste programme pour une possible renaissance lyonnaise.
Tout cela est lamentable.
Signaler RépondreBoquet, en tant que Président de l'insignifiante fédération Radicale Métropolitaine est désormais tout seul. Il n'y a plus personne dans son exécutif; ils sont tous partis ou ont été exclus.
Signaler RépondreAuzal,le vice-président, après avoir tout détruit avec son compère Fialaire a démissionné.
Schoendorff, autre vice-président, a été exclu.
La trésorière a démissionné
La secrétaire générale est aux abonnés absents
Alors Boquet ,il est où et avec qui ? et qu'elle est la politique de son mini parti ?
avec D.Tazdait, recrutée par Collomb à la mairie centrale, avec Simond, adjoint de Blache ....bref, que des élus qui aiment la bonne soupe .
Lors du Congrès du 9 mars, les motions suivantes ont été adoptées :
Signaler Répondre" ce fut sans doute une erreur d'avoir acté la réunification en 2017 sans décider en même temps d'un véritable programme.....nous demandons que soit réaffirmée l'autonomie politique des fédérations dans le choix de leur stratégie électorale aux municipales"
Comme on n'a pas de programme et de projet - ce qui était prévisible-chacun fait ce qu'il veut dans son coin.Ici, on s'allie avec la France Insoumise ou le PS, là, avec le droite ou divers droites, ailleurs avec les écolos...du grand n'importe quoi !!
Par ailleurs, les petits élus et autres parasites Lyonnais qui ont semé la haine et la discorde en se faisant élire à la fédération Lyon-Métropole ont été totalement absents lors de cette manifestation!
Ils sont plus nuls que nuls.
Guillaume Lacroix , vice-président du Parti démissionnaire avoue "un manque de cohérence, idéologique et stratégique au sein du Mouvement qui n'est pas parvenu à organiser la convergence des idées".
Signaler RépondreDommage qu'il ne s'en soit pas aperçu avant de semer la pétaudière .
Son compère Hénart a bien fait le vide chez MRSL.
Il est désormais le seul candidat à la présidence de ce micro parti autoritaire, comme dans une république bananière.
Lors des prochaines échéances électorales, tout cela devrait voler en éclats.
Mr ou Mme « vide » développe un argumentaire saisissant et déterminant.
Signaler RépondreOn pourrait dire d’une manière plus élégante à ce correspondant, que force est de constater qu’MRSL en général et le Métropolitain en particulier ont bien fait « le vide » chez lui et autour de lui. C’est pour cela que les authentiques Radicaux, fidèles à leur sensibilité de centre droit ou de centre gauche ne peuvent « s’en foutre ».
Cette réunification forcée a fait éclater ces mêmes Radicaux en groupuscules qui n’ont plus aucune signification : le PRG, Les Radicaux de gauche, le Mouvement Radical, les anciens du Parti Radical valoisien etc…Par exemple,à la manifestation contre l’antisémitisme, personne ne s’y reconnaissait. Pas besoin de faire partie d’une élite pour admettre l’échec et en saisir la nullité.
« Il faut se méfier de laisser du vide, parce que les gens le remplissent » ( J.P. Bacri)
t'as rien d'autre à foutre ?
Signaler RépondreAu fait, faut-il en rire ou en pleurer de cette fédération indéfinissable et réduite à sa plus infime expression ?
Signaler RépondreLe Mouvement Radical Social Libéral est mort !!
Signaler RépondreLa co-présidente nationale Sylvie Pinel et son vice-président Lacroix ont rejoint le Parti Radical de Gauche qui contrairement au Parti Radical Valoisien n'avait pas été dissous.
Tout ce qui avait été dit sur cette fusion inadaptée et nauséabonde se réalise!
Pour l'ex Parti Radical Valoisien, , honte à leur ancien président national Laurent Hénart qui a vendu ses troupes pour des ambitions personnelles .
Honte aussi sur le plan Lyonnais, à B. Fialaire et 2 ou 3 sbires élus ou anciens élus de l'ex Parti Radical qui ont joué un jeu pestilentiel et se sont livrés à des coups bas envers leurs camarades.
S'ils ont encore un peu d'honneur et de courage, qu'ils ou qu'elles reconnaissent leurs erreurs et leurs mauvaises conduites.
Et Bocquet, ex PRG, président actuel du MRSL Lyonnais, élu après des coups tordus dénoncés au moment voulu, aura-t-il l'honnêteté de démissionner ?
Quel gâchis !
G.Lacroix, vice-président du nouveau Mouvement Radical déclare que son co-président L. Hénart lorgnerait de manière trop opportuniste et lourde vers la majorité présidentielle.
Signaler Répondre"l'ambition personnelle à parfois ses limites....le 9 mars prochain, lors du congrès MRSL, les Radicaux de gauche pourraient mettre un terme à la réunification."
Mais, grand bien lui fasse et que ce divorce soit rapidement prononcé.
Stop a cette duperie qui traîne depuis plus d'un an.
https://www.leprogres.fr/ain-01/2019/01/29/politique-guillaume-lacroix-(prg)-allume-ses-allies-valoisiens
Signaler RépondreQuand on voit un vice-président national parler ainsi de son co-président national , on dit qu'on n'est plus aux fissures prévues par certains mais à un séisme prédit par les Radicaux Valoisiens lucides et notamment par les lyonnais qui toutefois auront du mal à plaindre L. Hénart qui dès le départ les a abandonnés au profit de quelques personnes dont le sens éthique n'est pas recommandable.
Oui, les troupes ont été décimées mais la mascarade doit enfin cesser.
Quand la " journaliste" qui fait l'interview est du même parti ( élue et encartée) que le politique interviewé , ça ne redore pas le blason du monde médiatique ....ou alors, il faut annoncer la couleur dès le départ.
Signaler Répondremais il paraît que les français ne veulent plus de ça !
A la tête de veau, on est copain comme cochon
Signaler RépondreCe n'est pas une photo de famille, mais le rassemblement des "vieux francs- mâchons" du coin et des ultra-radicaux de la IV° République.
Le tout sponsorisé par une radio locale où le mouvement radical est " copain comme cochon" avec l'interwiever....belle objectivité journalistique !
Parti Radical , tu es vraiment tombé très bas !
Comme au Mouvement Radical, on n'a rien à dire parce que dès le départ les dés étaient pipés, on ne sait faire qu'une seule chose à Lyon : se réunir pour ripailler à la tête de veau et à la cochonnaille !
Signaler Répondrec'est peut- être ça, la nouvelle politique à la sauce radicale !
La co-présidente S. Pinel déclare :
Signaler Répondre« l’œuvre d’union est engagée et chacun y a sa place… »
Elle est , soit aveugle, soit vieille langue de bois politique ou les deux à la fois, Madame.
Sur Lyon-Métropole où on n'a pas rasé gratis mais sabré ou exclu les personnes et les têtes dites " gênantes" pour des gauchistes et autres suceurs de pouvoirs, sans foi ni loi, on est très loin du compte !
Comme rien ne peut se passer dans cette fédération marquée par les coups bas de quelques élus sans aucune éthique, ils essayent maintenant d'instrumentaliser quelques jeunes en quête de gloire éphémère.
Signaler RépondreLe séisme qu'ils ont créé est une cicatrice profonde et durable.
Oui, arrêter de vous moquer des gens en vous situant comme un mouvement centriste.
Signaler RépondreAvouez que vous êtes un groupuscule de bonne gauche comme l'ancien Parti Radical de Gauche ( PRG) et les choses seront plus claires pour tout le monde.
Comme cette classe politique rejetée par les citoyens, arrêtez de vous foutre de la gueule du peuple.
Alors que tout le monde est mobilisé et préoccupé par les questions de "pouvoir d'achat" soulevées par " les gilets jaunes", à la fédération de LYON du Mouvement Radical, on ne sait que parler d'une chose: la laïcité.
Signaler RépondreQuand on n'a aucun fond politique et donc rien à proposer, on utilise la laïcité comme tarte à la crème et bouche-trou.
C'est digne du Père Ubu et même cruel pour les défenseurs d'une laïcité pertinente et intelligente.
La preuve ?
Signaler RépondreA la dernière assemblée fédérale, une dizaine de personnes se bousculaient au portillon et si vous enlevez le président et ses parents, la densité devient ridicule.
ce serait à mourir de rire si la politique n'était pas rabaissée et discréditée à ce point;
Au fait quelques rares élus locaux se réclament encore de ce Mouvement mais on ne les entend jamais.Auraient-ils honte de cette arnaque ?
Les activistes de l’extrême gauche ayant été placés à la gouvernance du Mouvement Radical, on ne s’étonnera pas sur Lyon de voir un certain totalitarisme s’exprimer par une forme de purgation consistant à éliminer autoritairement des éléments indésirables. Certains évoqueront même une forme de totalitarisme n’admettant aucune forme de contestation ou de différence. Le parti Radical réformiste n’existe plus, vive la fédération libertaire !
Signaler RépondreLamentable et sulfureux.
Déjà, ils sont peu nombreux et ne représentent plus rien sur l'échiquier politique et en plus ils s'éparpillent en chapelles et en cellules : radical canal historique, alternative radicale, cercle du Tigre Lyonnais etc...
Signaler RépondreIls feraient mieux, une fois pour toutes de reconnaître qu'ils n'ont rien à faire ensemble et que leur pseudo union sous la bannière Mouvement Radical Social Libéral (MRSL) n'est qu'une farce, une mascarade, une contrefaçon de mauvais goût.
Pour paraphraser la chanson :"Mais qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer MRSL ?"
Les quelques apparitions publiques récentes de ce Mouvement Radical ne sont que le fait d'anciens du Parti Radical de Gauche (PRG).
Signaler RépondrePourquoi ne sont-ils pas restés au PRG ?
Réponse : pour anéantir le vrai Parti Radical, prendre sur le plan national, ses locaux et son fric.D'ailleurs, on n'entend plus L. Hénard, l'ancien président national du Parti Radical Valoisien.Il a disparu dans les oubliettes, poussé par la Présidente du Parti Radical de Gauche.
Sur le plan local, on n'entend pas et on ne voit pas non plus ,la Trésorière -seule personne de la fédération du parti radical valoisien métropolitain qui après avoir comploté, s'est faite élire dans l'exécutif métropolitain.Aurait-elle honte de ses actes ?...bizarre
Les élus locaux peu nombreux et qui se comptent sur les deux mains sont éparpillés sur tout l'échiquier politique : l'un flirte avec l'UDI, l'autre est dans la majorité de Colomb, l'autre avec le PS (nouvelle formule), un autre avec la France Insoumise, un autre avec l'indépendant Blache, un autre prête sa table à qui voudra afin de tirer au moment opportun quelques marrons du feu au moment opportun etc...De toute façon, le Président de la fédération a fait voter une motion qui indique que chacun peut faire ce qu'il veut dans son coin .
Signaler RépondreQuand à l'ancien président du parti radical valoisien, il a sombré dans l'oubli.
Nul de nul et peu respectueux pour les rares adhérents restants.
La plupart sont en fait des PRG et le sont restés
Où sont-ils ?
Signaler RépondrePar un coup de force, on leur a donné l'ordre d'aller à gauche, supporter les gens du Parti Radical de Gauche ( PRG).
La très grande majorité se sont sentis trahis et ont rendu leurs cartes et un groupuscule minoritaire sans valeurs et sans convictions est resté pour cachetonner. Hou hou, les vendus !
C'est tellement vrai que dans un certain nombre de médias locaux, ils sont toujours étiquetés "PRG" alors que ce Parti officiellement n'existe plus.
Une causerie insignifiante sur le radicalisme vient de ridiculiser la fédération lyonnaise du Mouvement radical qui n'avait pas besoin de ça pour confirmer son inconsistance.
Signaler RépondreEt encore, heureusement que des représentants de la fédération voisine du Nouveau Rhône étaient là, car les rares présents locaux du Parti Radical de gauche se seraient enivrer sur le rouge servi.
Mais où étaient donc les membres de l'ex Parti Radical valoisien ?
- J.Bocquet s'associe au PS à Villeurbanne pour sauver sa place en 2020(S'il voulait faire ce qu'il veut, il ne fallait pas qu'il se fasse élire récemment dans des conditions troublantes à la présidence de la fédération Mouvement Radical SL Lyon Métropole)
Signaler Répondre- Une autre siège désormais à la majorité municipale à la mairie centrale de Lyon
-d'autres encore sont à "Poing Commun" bras armé de la "France Insoumise"
- d'autres aussi siègent dans des groupes opposés dans les assemblées territoriales
Encore, heureusement qu'ils ne sont pas nombreux car ce trapèze volant ne rentrerait pas sous un seul chapiteau ! quel cirque !
Il apparaît que certains et non des moindres, au titre du vrai talent,ont eu l'honnêteté de partir de cette bouillie innommable car elle n'est plus centriste.
normal, tout vient du Collomb
Signaler RépondreLa preuve :
Signaler Répondredes élus de l'UDI se sont étonnés qu'au récent grand raoult de l'UDI/Synergie des élus du Mouvement Radical Social Libéral de la majorité du 6ème arrondissement soient présents en tant qu'acteurs et organisateurs de ce rassemblement alors que l'UDI a officiellement exclu ce Mouvement Radical.
Pendant ce temps, d'autres élus MRSL complotent et flirtent avec "Poing Commun" , le Ps ou "France Insoumise".
Oui, c'est vraiment la sauce Radicale de mauvais goût.
Ce Mouvement est un ramassis d'élus locaux et non un parti de militants.Après ses magouilles récentes des élections internes, il a perdu la plupart de ses adhérents.C'est le renouveau, sauce radicale.
Signaler RépondreIls osent ensuite vouloir professer sur les fondements du Radicalisme basé sur l'humanisme et la loyauté.
Le congrès national de ce WE qui a réuni une assemblée clairsemée à Montpellier démontre parfaitement ce vide de fond politique.Après un mariage forcé, voici 1 an, on assiste aux prémices d'un divorce bien que des éléments matériels et financiers dans le partage des biens retardent cette échéance.
Signaler RépondreQuand on entend Hénart, co-président, dire que de toute façon, d'ici la fin de l'année tous les départements réfractaires ( et ils sont nombreux) seront mis au pas, il y a de quoi frémir !
Leur soit disant humanisme est à la hauteur de leur autoritarisme et de leur déni de la démocratie interne
Pour raisons de recomposition politique, les ultras des Radicaux Lyonnais ont écrabouillé les héritiers légitimes centristes du Parti Radical au profit donc de l'ultra gauche radicale.Ce Mouvement n'est plus un Parti Centriste.
Signaler RépondrePour sauvegarder leurs postes présents et à venir tant au niveau des élus qu'à celui du nouvel exécutif, certains se sont même prêtés à ce jeu vicieux , nauséabond et pervers .....ils ou elles méritent plus qu'un bonnet d'âne.
MRSL : Mouvante Radicale de sectaires laïcards
Signaler RépondreAucun projet, aucune cohésion politique....rien, le néant, à l'image de leurs propres croyances !
MRSL = Mouvement Radical des Socialistes Laïcards
Signaler Répondreça sent la III ou IV République
Ayant aucun fond et cohésion politique, ce Mouvement Radical lyonnais hétéroclite ne peut avoir qu'un seul mot d'ordre au rite des Echevins : " tous à Fourvière "pour salir la mémoire historique Lyonnaise.
Signaler RépondreIl n'a que son anticléricalisme radical, activiste et fanatique pour exister.
Avec vous, les 3 quartiers ( Saint Georges, St Jean et St Paul ) du vieux Lyon, haut lieu touristique et historique lyonnais changeront de nom et s'appelleront : la quartier de la libre pensée, le quartier de laïcité et le quartier du "bouffe curé".
Oui à la laïcité, oui à la culture historique et non au fanatisme
On est vraiment loin de la conception radicale centriste du président Borloo et de ses prédécesseurs
Arrêtez d'injurier E.Herriot en vous réclamant sans cesse de lui.
Signaler RépondreQu'avez-vous fait voici 2 ans pour sauver son patrimoine historique , rue d'Algérie ? rien et même pire, vous avez arrêté et torpillé le financement immobilier parce que dans des élections internes , vous aviez été battu par le renouveau.
Quant au PRG local, qu'a-t-il fait pour sauver les meubles ? rien.
On ne peut que s'étonner d'ailleurs que des gens qui ont été les victimes ou les acteurs de ces machinations soient encore présents au premier rang et dans l'exécutif.
Sans cohérence et sans idée de fond politique, Ils représentent si peu que leur importance est à la hauteur de la poussière que l'on ramasserait avec le balais.
Signaler RépondreCe n'est qu'un petit saladier de vieux crabes momifiés et de jeunes sectaires sans envergure.
Signaler RépondreDu balais !
Et B.Fialaire, le délégué pour la fédération Métropole-Lyon, on ne l'entend plus.
Signaler RépondreAprès avoir fait et accepté de faire le sale boulot d'évincer un vrai représentant valoisien lyonnais et avoir offert sur un plateau le trône au couple Boquet/Auzal, il s'est retiré de honte sur ses terres beaujolaises, dans sa fédération du Nouveau Rhône de laquelle il n'aurait dû jamais sortir.
Lyon est très attaché aux sagas familiales . Après celle des Collomb, la cohorte des assistants, collaborateurs et autres attachés familiaux plus ou moins rémunérés, voici, en format lliliput, celle des radicaux Boquet/Auzal.
Signaler RépondreTout est bon pour que vive la famille
Vive la démocratie interne monarchique !
C'est qui ces radicaux ?
Signaler RépondreUne poignée qui ne sont pas assez nombreux pour aller au-delà du nombre d'élus dans le bureau.Il se murmure même qu'ils se réunissent dans une cabine téléphonique et se partagent une andouillette lyonnaise.
Si les quelques élus locaux PRG sont restés pour ronger l'os, les personnes intéressantes non élues ont rapidement compris qu'elles serviraient uniquement de faire-valoir à ces petits personnages sans fond politique avoué et ont pris rapidement la poudre d'escampette
bizarre, bizarre ....
Le vénérable"parti radical et radical-socialiste" dont se réclame ce nouveau parti/Mouvement Radical, faisait figurer l'humanisme parmi les 5 points de sa profession de foi.
Signaler RépondreAujourd'hui, ce n'est qu'une profession de foi vide car le totalitarisme de cette fédération lyonnaise et en particulier l'élection de son Bureau et de son Président est manifestement le contraire de ce qu'elle pourrait revendiquer.
L'humanisme pour le discours de façade et le totalitarisme dans son fonctionnement
Alors que le renouveau politique impose l'horizontalité de la société civile, cette nouvelle fédération et son Bureau se sont constitués à partir d'élus en quête d'un renouvellement de postes en 2020; et ce n'est pas une question d'âge car des quadragénaires sont présents.La ringardise frappe à tout âge.
Signaler RépondreSauf à prendre des" bénis-oui, oui"dans le Bureau, Ils ont par contre rejeté l'apport de la société civile vierge de tout mandat.Il est vrai que d'accepter des personnes plus compétentes n'est pas une évidence pour ces gens-là.
Ce vieux "machin" est ridicule.
Le Mouvement Radical Lyon-Métropole est ramené à un tropisme ultra minoritaire de gauche. Sa fédération n'est pas l'endroit de la métropole où l'on est le plus heureux. Tous les maux qui affaiblissent les microcosmes les plus fragiles y sont représentés :pas de troupes, pas de fond politique, clanisme exacerbé, démocratie interne inexistante, charisme introuvable, méthodes d'un monde heureusement perdu.
Signaler RépondreEt X.Simon qui apparaît sur la photo et qui est cité dans l'article ;adjoint et majorité Présidentielle.P. blache dans le 6 ème, il se situe où pour dévorer une part de gâteau ?de partout et nulle part ?avec un "Poing Commun ",une virgule ou des points de suspension ? et son maire P. blache, il dit quoi ?
Signaler RépondreLe caméléon Simon se présentait autoritairement sans l'aval et le vote de son Bureau fédéral du Parti Radical et donc en dehors de tout processus démocratique interne. Et surtout qu'il n'aille pas dire qu'il voulait se présenter en candidat libre ;cela ferait Rire notre Mariane.
Créé en 2015 par le chef de file lyonnais de la France Insoumise l'association "Poing Commun "à laquelle J.Boquet a rapidement adhéré et pour laquelle il a écrit des textes publics est identifié comme force d'appoint de la bonne gauche et se situe dans la mouvance d'autres groupes comme "Esprit laïque Lyon ","Force laïque 69 " ou "la fédération de la libre pensée ".
Signaler RépondreC'est "Sens Commun "d'un côté et "Poing Commun "de l'autre.... Du sectarisme sur toute la ligne.
Toutefois, il paraît que ce nouveau Mouvement Radical ne se situait ni à droite ni à gauche mais plutôt au Centre.
Si vous êtes de la bonne gauche radicale et sectaire, restez ;les autres, fuyez.. On vous a trompé ou vous avez été trahis.
Yes, le quintuor exécutif mis en place est une véritable arnaque !
Signaler RépondreLes vrais Radicaux (surtout Valoisiens) ont été ébranlés par le passage aux forceps et les méthodes déshonorantes des anciens du PRG... Mais il paraît que c'est ça, la nouvelle famille du Mouvement Radical.
Avec la complicité de quelques leaders nationaux c'est la verticalité et la radicalité du pouvoir dans sa manifestation la plus crue.
L'exécutif ? Une bande de piranhas dans un ruisseau qui bouffe ses propres congénères. Auzal et Boquet se sont constitués un cinq majeur "godillot " auquel il faudrait ajouter un autre piranha, de la fédération voisine du Nouveau Rhône, B.Fialaire trop content de se débarrasser de sages lyonnais Valoisiens de son propre camp qui auraient pu lui faire de l'ombre en 2020.
Signaler RépondrePour un nouveau Mouvement, c'est un ancien monde archaïque qui renaît de ses cendres.
Les conditions dans lesquelles cette fédération de Lyon métropole a vu le jour sont troublantes à l'image de cette pratique politique rejetée désormais par les français.
Signaler RépondreL'âme des Radicaux et hommes honnêtes a été dégradée.
De toute évidence, compte tenu de son incapacité originelle d'avoir une ligne politique lisible, son attraction sera nulle et il en sera bien ainsi
Didier Deschamps est devenu champion en créant une équipe et aventure collective.
Signaler RépondreBoquet et son exécutif ont fracturé par des tacles et des coups, bien avant les éliminatoires, le parti ou le Mouvement Radical déjà squelettique.
N'est pas Dechamps qui veut !
J'elimine par tous les moyens même inavouables celles et ceux qui par leur éthique et leurs compétences pourraient me faire de l'ombre, puis je proclame être le rassembleur de ceux qui ne seront plus des géneurs, dociles et serviles et qui ne me feront plus de l'ombre.
Signaler RépondreTelle est la méthode éculée de la gauche radicale et sectaire et la technique ringarde du PRG et du clan Boquet. Et pourtant en 2018, certains se laissent prendre à cette tromperie.
Compte tenu de ce qui s'est passé, ils n'auront jamais l'autorité morale pour rassembler les Radicaux qui déjà relèvent d'un nombre peu enviable.
Victoire dans un bain de boue et d'insultes.
Signaler RépondreUne vingtaine de personnes réunies en assemblée générale pour élire les présidents et le bureau de 2 fédérations (Nouveau Rhone et lyon métropole). Certains élus ne sont même pas adhérents ou l'ont été la veille.
Au delà de cette charlotade, le constat d'un programme totalement invisible car impossible est une imposture.
Certains parlent d'un grand jour historique !