Le CNESER maintient l'interdiction d'exercer du professeur et la privation de son salaire.
Pour rappel, l'universitaire aurait eu un comportement inadapté et déplacé envers sa jeune doctorante. Il lui aurait même indiqué un document comportant des références sexuelles explicites. C'est la section disciplinaire de l'Université de Lyon II qui avait demandé cette sanction. L'enseignant a fait appel de cette décision devant le CNESER et réfute catégoriquement les accusations en affirmant que sa doctorante a agi ainsi dans le seul but de lui nuire car en cinq ans, elle n'avait pas grogressée sur sa thèse, tout en ayant besoin parallèlement de se réinscrire chaque année en doctorat pour conserver son titre de séjour.
Ce recours a été rejeté ce mardi par le CNESER.