Un pendentif qui rappelait furieusement le défunt Johnny Hallyday. Selon le Progrès, le buzz a été très important, même si l'artisan refuse de communiquer ses chiffres de vente.
Il n'y a d'ailleurs pas que nos confrères qui lui ont demandé. L'avocat d'Universal Music France avait contacté Antonio de Matos pour lui demander ces chiffres. La mise en demeure l'obligeait également à cesser la production du bijou.
Mais le San-Priot a fait valoir ses arguments, démontrant qu'il était impossible de prouver que son "rocker à la guitare" était inspiré de Johnny Hallyday. Son nom n'est pas utilisé, et le visage du bijou est trop grossièrement réalisé pour reconnaître qui que ce soit. Pour finir, il avait été créé en 2011, et non pas opportunément à la mort de l'idole des jeunes.
Universal Music France a donc abandonné sa procédure. Et le bijoutier a lancé trois autres modèles réduits pour satisfaire ses clients et les commandes qui s'accumulaient à cause de la mise en demeure.
Les vautours veillent. Ils sont là, ils tournent et se précipitent sur le moindre truc qui brille.
Signaler RépondreA vrai dire; les vautours sont plus bien utiles et sympathiques que "ces gens-là".