Dans un courrier adressé à la présidente Nathalie Dompnier, il rappelle que des chiffres sont déjà sortis pour les universités de Grenoble (1 million d'euros), de Rennes (500 000 euros) ou encore Toulouse (430 000 euros). Mais que Lyon II n'avait pas encore indiqué le montant de la facture pour prendre en charge les dégradations des étudiants et opposants à la loi Vidal.
L'UNI rappelle que les campus de Bron et des quais du Rhône avaient notamment été ciblés par des tags, du mobilier détruit et une serrure bétonnée.