L’Américaine s’est inclinée face à la japonaise Naomi Osaka, mais a surtout été victime selon elle d’un arbitrage défavorable et "sexiste".
Selon Serena Williams, notamment sanctionnée pour "coaching" et pour avoir brisé sa raquette, Carlos Ramos n’aurait pas pris ces décisions si elle avait été un homme.
Les images de la championne de tennis invectivant le Portugais ("menteur", "voleur") ont fait le tour du monde.
Et Carlos Ramos, au centre de la polémique, n’en est pas à sa première polémique. L’an dernier, il avait subi le courroux de Rafael Nadal. Après deux avertissements obtenus lors d’un match à Roland-Garros, l’Espagnol avait lancé à l’arbitre : "Tu vas devoir me donner beaucoup d'avertissements pendant ce match. Donne-moi les avertissements que tu peux car tu ne m’arbitreras plus".
Carlos Ramos va devoir se faire oublier quelque peu. Pour cela, il reviendra vivre là où il s’est installé depuis 1996, à Saint-Genis-Laval, au sud de Lyon.
SW est une joueuse grossière et vulgaire.
Signaler RépondreUne mauvaise perdante.
Étonnant qu'elle n'ait pas traité l'arbitre de "raciste", tant qu'à faire...
Respect pour ces arbitres moi qui ai joué a un haut niveau j ai pu constater pas mal d erreurs grossières dans mon sport mais en ce temps là jamais au grand jamais on aurait osé pleurer comme ses tristes personnages pourris par le fric et surtout qui sont mis sur un piédestal journalistique ce qui est nuisibles pour eux c est pour ça que je ne regarde plus le tennis
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