Il y a encore quelques mois, le ministre de l'Intérieur jurait à Jean-Jacques Bourdin que pour lui, Lyon, la Métropole, les élections locales, c'était fini. Et pourtant, le voilà préparant son retour prévu après les européennes pour briguer au choix la mairie ou la Métropole.
Il semblerait que Gérard Collomb s'entende de moins en moins avec son ancien protégé devenu président de la République. Car il ne se gêne plus pour le critiquer ouvertement en petits comités comme le rapporte un journaliste de la Dépêche.
"Nous ne sommes pas nombreux à pouvoir encore lui parler. Ceux qui parlent franchement à Macron sont ceux qui étaient là dès le début : Ferrand, Castaner, Griveaux et moi...", a-t-il indiqué à plusieurs journalistes politiques lors d'un déjeuner place Beauvau. "Les provinciaux, et j'en suis, ont déjà une tendance naturelle à considérer que les Parisiens ont la grosse tête et les snobent, or des expressions comme la nouvelle grammaire de la politique ou la 'start-up nation', ils ne s'y reconnaissent pas", a poursuivi Gérard Collomb, reniant soudainement tout ce sur quoi Emmanuel Macron a fondé son image et sa campagne.
"Il va finir par ne plus me supporter. Mais si tout le monde se prosterne devant lui, il finira par s'isoler, car par nature l'Élysée isole", lance l'ancien maire de Lyon, reprochant aussi à l'exécutif son "manque d'humilité".
Il faut dire que Gérard Collomb est, depuis presque le début, moqué par certains de ses confrères au gouvernement. Il a notamment été affublé de surnoms blessants.
Déjà au Parti Socialiste, Gérard Collomb avait rapidement suivi la ligne qui l'intéressait, la sienne. Est-il en passe de faire pareil à la République en Marche ?
Collomb connaît le contenu du coffre que les flics ont été incapables de saisir sans doute sur ordre supérieur !! Il est donc pas viré de son poste ce qui aurait du être le cas !!!!
Signaler RépondreQuand il est parti prendre son poste je donnais 2 ans et demi / 3 ans avant son retour. Pas besoin d'explications.
Signaler RépondreLa justice enquête sur les indemnités d’un proche d’Emmanuel Macron
Signaler Répondre27 septembre 2018 Par Antton Rouget et Ellen Salvi
Le député Jean-Jacques Bridey, soutien de la première heure d’Emmanuel Macron et président de la commission de la défense à l’Assemblée, est visé par une enquête préliminaire pour concussion. L’élu est soupçonné d’avoir cumulé les indemnités de ses différents mandats au-delà des plafonds autorisés par la loi. Il aurait indûment touché 100 000 euros.
C’est un « marcheur » de la première heure qui est dans le viseur de la justice. Selon nos informations, le député du Val-de-Marne Jean-Jacques Bridey, fidèle soutien d’Emmanuel Macron depuis 2016, fait l’objet d’une enquête préliminaire ouverte il y a plusieurs mois par le parquet de Créteil (Val-de-Marne) pour de possibles faits de concussion, à savoir la perception illicite par un agent public de sommes indues.
L’élu de La République en marche (LREM), qui préside la commission de la défense nationale à l’Assemblée, est soupçonné par la justice de ne pas avoir respecté les règles relatives à l’écrêtement et d’avoir ainsi cumulé les indemnités tirées de ses différents mandats (député, maire et président d’agglomération) au-delà du plafond autorisé par la loi.
Avant la fin du cumul des mandats, en vigueur depuis 2017, les députés ne pouvaient pas toucher plus de 8 231 euros brut par mois, soit 1,5 fois leur indemnité de base de parlementaire.
L’enquête judiciaire, qui a été confiée à la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE), a été ouverte fin 2017 à la suite d’un signalement de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), qui est notamment chargée du contrôle du patrimoine des élus.
Les investigations portent spécifiquement sur trois années (2013, 2014 et 2015), durant lesquelles Jean-Jacques Bridey, rare membre de la majorité à s’être abstenu lors du vote sur le non-cumul des mandats, cumulait les fonctions de maire de Fresnes, de président de la communauté d’agglomération deVal de Bièvre (d’avril 2014 à décembre 2015, et simple conseiller avant) et de député (il appartenait alors au groupe PS). Autant de casquettes – et d’indemnités – grâce auxquelles l’élu aurait encaissé un trop-perçu d’environ 100 000 euros sur trois ans, selon une source proche du dossier.
Dans sa déclaration d’intérêts, Jean-Jacques Bridey déclare avoir touché, en complément de son traitement de député, une indemnité nette de 1 400 euros à la mairie de Fresnes (27 000 habitants) lors de la précédente législature. Ce à quoi il convient d’ajouter diverses rémunérations dans plusieurs syndicats intercommunaux, qui ne sont pas soumis aux règles d’écrêtement.
Le député a également perçu une indemnité en tant que conseiller communautaire, puis président de la communauté d’agglomération. Selon une délibération votée à l’unanimité le 22 mai 2014, son niveau était de 3 706,36 euros brut par mois. Mediapart n’a pas trouvé de délibération relative à l’écrêtement de cette indemnité du président deVal de Bièvre, agglomération qui a depuis été dissoute pour intégrer, au 1er janvier 2016, la métropole du Grand Paris.
Interrogé par Mediapart, Jean-Jacques Bridey, qui n’a pas encore été entendu par les enquêteurs, exprime sa « surprise » face à l’ouverture d’une enquête judiciaire. « C’est aux collectivités d’écrêter, je pense que je l’ai été », se contente-t-il de répondre, indiquant ne « pas pouvoir en dire plus pour l’instant ».
Surtout qu'un ministre de l'intérieur a accès à tous les dossiers et tous les services des renseignements, ça change pas mal de chose même si avec son réseau, le grand maître Collomb avait déjà la main par exemple sur les petits maires pour devenir chef de la métropole sans avoir de majorité.
Signaler RépondreVoyons voyons ... stratégie conjointe,qui convient donc aux 2 . Sinon, Macron a largement de quoi faire tomber COLLOMB à LYON, et vice versa . ;-)
Signaler RépondreMais, qu'il reste bien à Paris, nous n'avons plus besoin de lui à Lyon, Vite à la retraite le papy…..
Signaler RépondreOn est tous au courant que Micron a le melon!
Signaler RépondreOn a tous aussi bien vu le mepris que ce personnage a pour la France
Mais en tant que Lyonnais, on connait tous Collomb.... Et carrieriste comme il est, il n a pas pu lacher des vacheries sur son maitre en pleine chute dans les sondages,.... Avant de le lacher
Je ne suis aucunement l'ami de monsieur Collomb.
Signaler RépondreMonsieur Collomb a critiqué Jupiter pour se venger de son comportement envers lui.
La mise à l'écart de monsieur Collomb est probablement liée à son comportement dans l'affaire Benalla.
Je n'ai pas écrit que Jupiter avait trahi monsieur Collomb ; j'ai simplement évoqué sa traîtrise.
Les propos tenus par monsieur Collomb à l'encontre de Jupiter sont emprunts de vérité. Il n'est jamais trop tard pour ouvrir les yeux.
vous savez, il n aura pas besoin de beaucoup forcer!
Signaler Répondrevous avez vu le candidat loose des LR??? Etienne Blanc!!!! un mec qui n habitent pas la métropole... et même pas le département!
de qui se moque t on?
Gégé doit se fâcher avec Macron sinon il ne sera pas elu a Lyon aux municipales ! C'est uniquement une stratégie de vieux crocodile !!
Signaler RépondreEt Caro dans tout ça qu est ce qu’elle en pense deu retour de papy Collomb
Signaler RépondreAdieu la belle vie !!!
Contrairement à ce que vous prétendez, ce n'est pas macron qui à trahi colon.
Signaler RépondreC'est le contraire !!
Le 6 septembre votre ami lyonnais critique son ami macron devant des journalistes.
Critiques sévères sur sa politique mais aussi sur l'homme.
A la mi septembre ces propos arrivent aux oreilles de macron.
Fou de rage il le convoque a un diner.
Le lendemain votre ami annonce sa démission...
En fait macron l'a viré.
Normal il l'a trahie et sali.
Les faits matériels sont là pour étayer mon propos.
Monsieur Collomb a la fâcheuse habitude de détruire ses protégées quand celles-ci ont l'outrecuidance de marcher sur ses plates-bandes.
Signaler RépondreMaintenant la roue tourne.
Jupiter s'est servi de monsieur Collomb pour arriver au pouvoir.
Pour service rendu, Jupiter lui a offert un poste de ministre, poste qu'il n'aurait jamais eu dans un autre gouvernement.
Maintenant, n'ayant plus besoin de monsieur Collomb, Jupiter le snobe.
Que pouvait espérer de mieux monsieur Collomb quand on a pu constater la traîtrise de Jupiter envers l'ex-président.
L'envie d'être ministre rend aveugle.
Il est incroyable ce personnage dans l’art de retourner sa veste et maintenant il va de nouveau sévir sur la région Lyonnaise c’est à peine croyable
Signaler Répondrele plan est simple : Caroline a la mairie / Papy a la metropole
Signaler Répondre... mais le mode de scrutin a changé... d'ou la communication anti-macron de Collomb...
les électeurs doivent se poser les bonnes questions, et bien regarder ce qu on fait leur candidat
Mais Collomb est tranquille! la machine a perdre des LR est en marche!! ils ont fait venir Etienne Blanc... illustre inconnu a Lyon dans le Rhone, maire de Divonne-les-bains dans l Ain
... de la a penser que ça arrange Wauquiez ...
oups!!..!il va devenir socialiste collomb??non...il a sa place chez les lr ....encore un effort gégé...tu les aura tous fait!!!!
Signaler RépondreLe vrai pouvoir n’est pas à la Mairie de Lyon mais à la Présidence de la Métropole... comment va-t-il magouiller pour avoir les 2 ????
Signaler RépondrePersonne ne se pose la question, à quoi sert le maire de Lyon ? Que fait il exactement ?
Signaler RépondreVous n'avez rien compris, collomb prépare sa campagne pour la mairie de Lyon.
Signaler RépondreIl sait que pour avoir une chance de gagner il doit faire croire qu'il s'oppose à Macron, car les sondages montrent que la grande majorité des gens sont mécontents de Macron.
S'il se présente sous l'étiquette En marche, Collomb sait qu'il a perdu d'avance. Son seul espoir, faire croire aux gens qu'il n'est plus copain avec Macron.
C'est Gérard Collomb qui se lasse de Macron, ou l'inverse? je pencherais plutôt pour la deuxième hypothèse. Mais présenter les choses comme ça lui permet de justifier son retour à la mairie de Lyon, par la grande porte. Je me trompe?
Signaler RépondreCOLOJ?N, un dissident de LREM ?
Signaler RépondreIl ne supporte pas la contestation dans ses rangs, mais la provoque chez les autres
ce baronnet de pacotille, qui a créé sa cour qui attend les miettes, est capable de tuer père et mère pour conserver le pouvoir et les dérives qui vont avec quand la corruption s'installe à cause de la l'accroc à ce pouvoir qui devient, naturellement, excès de pouvoir et se foutant de la démocratie et de l'intérêt général
non, colombe a tout fait pour avoir un poste de ministre... je pense franchement qu il n a pas de conviction politique...
Signaler Répondrearretez de faire chier mon gégé
Signaler RépondreCollomb se fiche du monde. Il a tout fait pour aider Macron et comme il chute dans les’ sondages maintenant il le dezingue
Signaler RépondreC est un vrai opportuniste
Bientôt il retourne au PS avec Kimelfeld
-- Déjà au Parti Socialiste, Gérard Collomb avait rapidement suivi la ligne qui l'intéressait, la sienne. Est-il en passe de faire pareil à la République en Marche ? -
Signaler RépondreEt oui, alors il est temps qu'il s'en aille, suivre sa ligne de vis personnelle, hors de tout mandat politique !
2020, dehors !
C est de la comm!
Signaler RépondreDansle fond, collomb n en a rien a faire de la France! Concretement, en tant que ministre il fait quoi? Il est minsitre des cultes... Quelle action?
Comme toujours, collomb va trahir son partis et ceux qui l ont aidé a arriver au pouvoir
Ce type est une honte pour nos institutions
Comme toujours, nous n avons pas de nouvelles concernant l affaire Empereur, ou encore le financmen de confluence, de la campagne,... Ou encore le job trouble de sa femme, qui depuis son bureau parisien de juge administratif, arrive a s imposer comme leader LREM
Une petite enquete serait de bon ton!?
É. Macron se serait il servi de G. Collomb pour se faire élire et mettre ses vassaux sur le territoire ? Manipulation copiée sur la méthode lyonnaise... Gégé, l’arroseur arrosé ? Pas grave. Il aura sa retraite de ministre
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