Arrivés il y a des décennies, les deux retraités âgés de 56 et 58 ans ont appris il y a peu qu’ils avaient été condamnés à neuf années de prison dans leur pays d’origine pour esclavagisme.
Selon Le Progrès, ils avaient été invités en 2014 en Espagne, chez le frère du retraité, qui tient une exploitation vinicole dans la Rioja. Ils avaient alors aperçu des employés qui logeaient dans un hangar. Un séjour qui durera, selon le quotidien local, vingt jours.
Deux ans après, au Portugal, un baptême se termine comme dans un film de Francis Ford Coppola : par un vaste contrôle de police. Le couple est alors auditionné durant un long moment et comprend que le frère du retraité est soupçonné de trafic d’êtres humains et de travail clandestin.
Pour le frère en Espagne pas de quoi s’inquiéter. Mais dans le dos de ceux qui habitent désormais Vaulx-en-Velin, un procès se déroule. Le frère n’hésite pas à tout mettre sur le compte des retraités, présentés comme les patrons du réseau. Le couple est lourdement condamné tandis que le frère est relaxé.
Les voies de recours seraient aujourd’hui épuisées. Seule chance pour les deux Portugais de ne pas se retrouver un jour en prison : une révision de l’affaire.
Tous ses esclavagistes ont étaient retrouvés grâce aux polis qu’ils ont laissés sur leur routes.
Signaler RépondreLa justice portugaise ne cherche pas plus loin que sa moustache !
Signaler RépondreCool l'age de la retraite au Portugal !
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