Ce quadragénaire était jugé devant le tribunal correctionnel d'Annecy pour bigamie, faux en écriture publique et privée, usage de faux et escroquerie.
L'homme avait une famille en Haute-Savoie, et une autre à Lyon. Et il justifiait ses absences par sa (fausse) profession d'agent secret de la DGSE.
C'est en se rendant à la CAF que la première femme de l'individu avait découvert le pot-au-rose. Elle avait alors appris qu'elle était divorcée depuis 2012. Mais les documents avaient été falsifiés par le mari.