Du côté de la Croix-Rousse, de la Presqu'île ou de Saint-Vincent, un logement ancien coûte même 15,3% plus cher qu'il y a un an. Dans les quartiers Bellecour, Ainay et Sainte-Blandine, la hausse atteint 14,1 %.
La flambée est plus raisonnée dans le 8e arrondissement : "De la rue Gaston Brissac au boulevard de Tchécoslovaquie, en passant par l’impasse Paul Cazeneuve, les prix des appartements anciens augmentent de 4,1 %", précise Se Loger.
En moyenne, les prix immobiliers lyonnais varient entre 4 500 et 6 000 €.
"les taux d'intérêt sont bas car les prix de l'immobilier sont délirants"
Signaler RépondreParce que vous croyez vraiment que pour fixer sa politique monétaire et ses taux directeurs, la BCE a les yeux rivés sur le marché immobilier lyonnais ?
Vous donnez l'impression de ne rien comprendre au monde économique qui vous entoure, mais malgré tout vous vous permettez de donner des conseils...
Le matraquage a fonctionné, non, acheter maintenant à Lyon = être le pigeon ultime. Les taux des prêts sont bas, achetons ! Mais pourquoi ils sont bas à votre avis les gogos, parce que les prix sont complètement délirants !
Signaler Répondreencore un qui parle sans savoir....! va faire un tour à Saint-Etienne et après on reparle...
Signaler RépondreMais non le secteur de l'immobilier ne se porte pas bien du tout !
Signaler RépondreNe vous fiez pas à ce chiffre unique et allez sur le terrain rencontrer les promoteurs et agents
Cette augmentation est uniquement liée à une pénurie de logements due aux multiples blocages sur Lyon dont le plus lourd est le nouveau PLUH toujours pas en vigueur
Les premières victimes sont les lyonnais qui ne parviennent plus à se loger
Ce marché est malsain au possible et vous dites que tout va bien... c'est fou