Selon le Parisien, la scientifique à la tête du Remera a été convoquée mardi par les Hospices Civils de Lyon pour son entretien préalable au licenciement.
Le Remera est le plus ancien des six registres des malformations congénitales de France, mais l'Inserm et la Région Auvergne-Rhône-Alpes ont décidé de ne plus financer la structure.
Mme la ministre Agnès Buzin ce matin sur BFM dans Bourdin direct :
Signaler RépondreLe REMERA ne fermera pas, et son étude est complétée par les nouvelles infos de Santé Publique France qui a trouvé 11 nouveaux cas toujours dans cette région !!
Donc il faut maintenant licencier ceux et celles qui ont essayé d'étouffer cette affaire, ces quelques personnes rompues à la magouille politicienne, prenant de surcroit les citoyens que nous sommes pour de simples gogos !!!!!!
« ... la Région Auvergne-Rhône-Alpes ont décidé de ne plus financer la structure« .... Cela voudrait il dire que la région (nos politiques régionaux) cherche (nt) à étouffer le dossier?
Signaler RépondreDes fonctionnaire qui font bien leur boulot ? Mais ça ne va pas, non ? Allez ! Virez-moi ça tout de suite !
Signaler RépondreBen oui depuis des milliers d'années puisque c'est à cause de "l'outil monnaie" ! o:)
Signaler RépondreOui, depuis que le commerce/le fric est roi, il ne faut pas enquêter sur les magouilles, il ne faut pas dépenser de l'argent pour des statistiques de santé, etc.
Signaler RépondreEt ça dure depuis des milliers d'années en plus ! o:)
Signaler RépondreLe savoir et les connaissances reculent, grâce à l'outil monnaie qui gère notre société...
Signaler RépondreUne fois de plus.
Complétez votre affirmation, svp:
Signaler Répondreles autres responsables de l'arrêt des subventions sont Santé Publique France, Inserm et Agence de sécurité du médicament.
Donc le ministère de la Santé est directement responsable de la fermeture du REMERA...
Effectivement on n'y comprend rien je vais aller chercher les infos ailleurs ....
Signaler RépondreComme pour les non productifs qui vont les licencier. Ils voulaient créer une nouvelle espèces de feignants.
Signaler RépondreCet article me semble bien incomplet
Signaler RépondreQue faut il comprendre ?
Que ces licenciements sont consécutifs à une faute des ces scientifiques qui auraient en gros balancé n'importe quoi à la presse
Ou qu'ils sont sanctionnés pour avoir divulgué une vérité qui dérange ?
On aimerait bien savoir