L'affaire, rouverte ce vendredi, a jugé les deux militants pour outrage et non pour violences aggravées, comme c'était le cas lors de l'audience du 20 septembre dernier. Le parquet a maintenu ses réquisitions, à savoir, un mois de prison avec sursis. De son côté, la partie civile a réclamé le versement d'un euro symbolique. Enfin, la défense a demandé la relaxe, estimant que les militants ont agi de la sorte pour simplement dénoncer un problème de société. La justice a finalement tranché pour une simple amende avec sursis.
Pour rappel, deux militants s'en étaient pris à David Kimelfeld, le 1er février dernier, en aspergeant le Président de la Métropole de Lyon de farine. Ce geste venait en contestation du budget débloqué pour sécuriser les bâtiments vides, jusque là utilisés par les squatteurs. Des immeubles qui doivent servir habituellement à loger, entre autres, les mineurs immigrés.
et à quand des condamnations pour notre classe politique incompétente
Signaler RépondreUne obligation de soins aurait été plus pertinente.
Signaler RépondreUn mois de prison avec sursis pour outrage !!!
Signaler RépondreHeureusement la peine est un peu adoucie à une amende de 1000 € avec sursis.
De toute façon ces élus roulent les lyonnais dans la farine ,surtout de puis le retour de ConCOMB Cristobal
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