Alors qu'il avait arrêté son traitement pour soigner ses troubles bipolaires, il s'était fait remarquer à la caisse réservée aux personnes handicapées d'une grande surface caladoise.
Il expliquera aux juges s'être senti investi d'une "mission pour sauver le monde". Le "leader révolutionnaire" armé de manches à balai avait alors frappé un client qu'il trouvait mal aimable et un policier qui venait l'interpeller.
Aujourd'hui stable car suivant un traitement plus lourd, il a écopé de 2 mois de prison avec sursis et devra verser 800 euros de dommages et intérêts au policier.
Facile de se faire passer pour fou !
Signaler RépondreUn adepte Du monde virtuel des jeux vidéos ou tout est permis ,même de tuer. C’est grave tous ses fous en libertés qui déambulent dans nos rues .
Signaler RépondreC'est dommage
Signaler Répondre...heu, il est condamné pour ne pas avoir pris son traitement ou pour avoir fait nawak alors qu'il n'avait plus tout son discernement ?
Signaler RépondreJe n'encourage pas le comportement de la personne bipolaire ni ne cherche à l'excuser, mais si son psychatre lui avait prescrit initialement un traitement pas assez adapté à sa pathologie et qui semble avoir été renforcé aujourd'hui....quid de sa responsabilité ?
Je pense que le psyl aurait largement les moyens de participer aux dommages et intérêts et ça en inciterait peut être certains à suivre d'un peu plus près leurs patients, pas uniquement pour renouveler les ordonnances tous les 3 ou 4 mois...
Dans son malheur, le client a eu beaucoup de chance que l'individu bipolaire n'ait que des manches à balai !!!
Signaler Répondre:D
Signaler Répondre"justice monétaire."
et le client il n'a droit à rien ?
Signaler Répondre