Autant de patients, victimes d'effets secondaires parfois graves, qui ont assigné le laboratoire Merck, dont le siège est basé dans le 8e arrondissement, pour réclamer des dommages et intérêt.
Les plaignants dénoncent un défaut d’informations lors du changement de la formule du médicament destiné à lutter contre les maladies de la thyroïde, réclament pour cela un forfait de 5 000 euros. Leur avocat, maitre Christophe Lèguevaques, sollicitera également une indemnité de 5 000 euros pour préjudice d'angoisse : "Depuis le début, les malades sont méprisées, déconsidérées. On les traite comme des folles, des affabulatrices. C'est inacceptable parce qu'elles souffrent tous les jours des conséquences de ce changement de formule".
Selon l'avocat, "l'un des objectifs est de se voir reconnaitre ce statut de victimes par la justice pour justement que leur dignité soit retrouvée".
L'audience débutera à 8h30 ce lundi matin, en présence de 200 malades. Le procès est tellement hors norme qu'il a été délocalisé au Double Mixte de Villeurbanne.
Ce n'est pas moi qui radote, c'est le monde qui produit toujours les mêmes problèmes, les mêmes "actualités"...
Signaler Répondremêmes causes produisent les mêmes effets.
:o)
"post monétair" vous radotez toujours !
Signaler RépondreLes labos font quasiment ce qu'ils veulent,
Signaler Répondrepolitique + décideurs économiques = conflits d'intérêts
https://www.marianne.net/politique/le-mari-medecin-de-la-ministre-buzyn-recase-comme-conseiller-juridique-du-gouvernement
les tests coutent cher,
les recours devant la justice coutent cher,
et tout ça, n'existe QUE parce qu'on utilise de la monnaie. La recherche de bénéfice (obligatoire dès qu'on utilise de la monnaie), amènera au chaos total.
Faut-il l'attendre pour enfin poser les problèmes sur la table et construire une civilisation de l'après monnaie ?