Samedi, des casseurs ont pris pour cible le centre-ville de Saint-Etienne, ravageant de nombreuses boutiques et assiégeant même la mairie.
Pour le maire LR de la ville, l'Etat a manqué de discernement. Celui qui réclamait l'annulation de la Fête des Lumières pour permettre de répartir plus équitablement les forces de l'ordre dans la région estime que le ministère de l'Intérieur a fauté. "Je déplore cette attitude parce que le devoir de l'État, c'est d'assurer la sécurité d'abord des personnes et des biens partout, sans exception et sans préférence", aréagi Gaël Perdriau après de France Bleu Loire.
"Les policiers ont assisté au pillage des magasins. Ils ont débarqué une demi-heure après parce qu'ils n'étaient pas assez nombreux pour intervenir puisque les effectifs de CRS ont été déployés sur Paris et sur Lyon", a poursuivi l'élu stéphanois.
Je croyais qu'il n'y avait que du foot à Saint-Etienne.
Signaler RépondreOn m'aurait menti ?
Les fêtes des illuminés dont tu fais parti,sont terminées,donc il n'y a plus lieu de raconter ta vie !
Signaler Répondrest etienne est une ville qui a une histoire et une région le pbl c la racaille des cités
Signaler RépondreDes commentaires lamentables dans ce fil. M. Perdriau a évidemment raison ; mais il y a beau temps qu' "égalité" a été rayé du fonctionnement de la ripoublique.
Signaler RépondreQue voulez vous Gégé est poto avec Manu donc les policiers étaient à Lyon pour la fiesta à Gégé
Signaler RépondreOu alors comme au foot st Etienne ou Lyon c est pas le grand amour monsieur perdriau pour moi vous faite de la polémique pour rien en tentant de vous justifiez derrière votre incompétence cordialement monsieur
Signaler RépondreToujours en train de chialer ces stéphanois.
Signaler RépondreQuand c'est pas la faute l'arbitre, c'est la faute à l'état.
ou bien il vire ses racailles en Lacoste des quartiers perdus par la ville
Signaler RépondreNormal, on ne mélange pas torchons et serviettes.
Signaler RépondreSt Etienne et Lyon, c'était toujours un peu comme les Serbes et les Croates. Ou les Anglais et les Irlandais : pas d'amour perdu, là.....
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