Le ton est donné par Denis Broliquier, maire du 2e arrondissement de Lyon, qui en veut un peu à Gérard Collomb. Dans un communiqué publié ce mercredi, l'élu centriste évoque le Grand débat national. Et surtout l'organisation de la Ville de Lyon.
Denis Broliquier est étonné par le message transmis par les services municipaux qui indiquaient que les cahiers de doléances n'avaient pas été installés, faute de "modalités pratiques d'organisation" communiquées par le gouvernement.
"Dans le 2e, comme dans d'autres arrondissements, un cahier de doléances a déjà été ouvert avant Noël ! Nous n'avons pas attendu Gérard Collomb pour recueillir la voix des Lyonnais", rit jaune Denis Broliquier. "Encore une preuve de la pertinence et de l'efficacité des arrondissements dans l'exercice de la démocratie", poursuit-il.
Denis Broliquier annonce enfin qu'il organisera une réunion publique courant février pour accueillir les citoyens souhaitant participer au débat. "Que chacun assume ses responsabilités : les maires pour l'organisation, les Français pour la participation et le président pour l'obligation de résultat !", conclut le maire du 2e.
chacun protege sont portefeuille moi aussi je sait faire maire je prend le budget des francais et hop abracadabra
Signaler Répondreil sert a rien regarder les francais sont pas content en ce moment
Signaler RépondreVous parlez de "agir dans l'intérêt général de Vinci ?"
Signaler RépondreOn connait le prétexte de l'intérêt général pour les grosses sociétés... et ça justement, ce n'est plus possible avec la démocratie réelle directe.
Pas étonnant que vous soyez contre.
:)
Mais vous avez raison, la démocratie réelle directe dans un monde monétaire (gangréné par les conflits d'intérêt), c'est très très très compliqué.
Mais au moins ainsi, les citoyens comprendront les mécaniques de corruption du genre "ZAC" sans impôts etc...
admettons que votre raisonnement soit juste:cela prouvera bien que la démocratie directe est nuisible puisque tous les votes seraient pour des intérêts particuliers comme vous le dites pour la ZAD de Nantes:rien ne vaut la démocratie représentative qui peut agir dans l’intérêt général (idée que vous comprendriez en ayant fait science politique)
Signaler RépondreC'est toute la question de la zone d'impact...
Signaler RépondreComme on est dans un système monétaire, c'est la dictature du fric qui règne. Ainsi, on a fait voter des gens pas du tout impactés par les nuisances, mais qui pouvaient récolter les fruits de cette pollution et de ces destructions, donc forcément, les citoyens votent quoi ?
Ils votent "porte monnaie" !
:o)
et ceux à NDDL qui subissent, ben ils doivent la fermer.
Ceux qui n'aiment pas la démocratie réelle direct, sont curieusement ceux qui sont au pouvoir...
Signaler Répondre"sous-poudrons un peu de proportionnelle pour faire taire certains"...
:)
Le tout dans un système où l'Etat est incapable de garantir que toutes les circulaires arrivent dans les enveloppes électorales...
La bouffonnerie, c'est vous.
:)
Dites moi de quoi vous avez besoin et je vous dirais Comment vous en Passez. Un peu ,comme la vieille RAHLLAH de Christine LAGARDE qui expliquez aux français que l’on pouvait manger avec un euro. Quand elle ministre sous Sarkozy 1er.commét prendre les français pour encore plus con qu’ils ne le sont . Seul, les politiciens ont la recette. Ce débat national c’est du vent pour diviser les mouvements apolitiques des gilets jaunes entre eux . Trop fort, ces politiques.
Signaler Répondrevous parlez de la démocratie directe comme le référendum qui a donné une majorité des habitants de Nantes pour la construction d'un aéroport après des mois de discussion,puis le rejet de ce référendum par le gouvernement face à des marginaux de la ZAD qui vous ressemblent ?!!foutaise!!!
Signaler Répondrevous avez raison,ceux qui parlent de démocratie directe sont toujours ultra minoritaires comme Pm qui ne pourra jamais obtenir une représentation politique avec des scores à faire rire dans ses lubies marginalisés:un pays ne peut se développer qu'avec des idées phares partagés par le plus grand nombre sinon c'est la pure anarchie:un peu de proportionnel pour les partis minoritaires doit par contre être intégré sans en venir à la 4 ème république avec des changements tous les 3 mois de politique!!!
Signaler Répondre"Le président pour l'obligation de résultat". Ah bon !
Signaler RépondreVous n'avez pas lire entièrement la lettre de cadrage.
"on" a de la chance...
Signaler Répondrequi ça "on" ?
Sûr que corrompre les avis de quelques politiciens, (comme par exemple sur les choix en matière de nucléaire), c'est plus facile que de corrompre un ensemble de citoyens qui ne veulent pas de ça chez eux !
:o)
Alors... qui ça "on" ?
Celui qui gueule le plus fort prend le pouvoir en démocratie réelle directe ?
Non. Celui qui prend le temps de paroles des autres est une merde.
Seulement, comme pour tout, il faut une "formation" pour vivre en démocratie réelle direct :
- apprendre à laisser parler tout le monde en liberté mais dans le respect de chacun.
- inscrire les arguments de chacun afin que chacun puisse prendre le temps de la réflexion.
C'est le système "faussement libérale" ou seul le plus puissant économiquement peu parler "le plus fort" qui détruit la démocratie.
" démocratie réelle directe "
Signaler RépondreBien démago tout ça. Vous savez très bien que concrètement ça ne veut rien dire !
La démocratie "réelle" directe ça se met en oeuvre comment ? Par ceux qui gueulent le plus fort ? Par les "gros bras" qui intimident les autres (cf. les multiples exemples parmi les GJ) ?
Je sais qu'aujourd'hui on se fait traiter de tous les noms en disant ça, mais moi j'ai envie de vous dire qu'on a de la chance d'avoir la démocratie libérale représentative qui prévaut depuis depuis deux siècles !
Seule la démocratie réelle directe peut rendre les citoyens conscient du merdier de ce monde monétaire.
Signaler RépondreDéléguer et ensuite se plaindre des magouilles, c'est lamentable.
Les doléances,on les connait ,ce qui.serait pertinent, c est de créer des cahiers de solutions a deux colonnes si je puis dire. D un.côté , les demandes, de l autre les solutions ou idées pour y répondre. Et le débat devrait être utilisé pour savoir quelles solutions devraient être proposées aux citoyens via le ric. Et ainsi, le peuple ne pourra s en.prendre qu à lui.même si.les effets escomptés ne sont pas ceux qu'ils espéraient ou attendaient.
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