Ce rejet rend probable un "hard Brexit", soit une sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne sans accord au 30 mars 2019. Pour les 30 000 PME françaises, cela risque d’être un problème. La CPME du Rhône met en garde toutes celles qui travaillent avec le Royaume-Uni.
Pour éviter le désastre, la confédération conseille aux PME lyonnaises "de protéger leurs marques, dessins et modèles auprès de l’IPO (Intellectual Property Office). La seule protection communautaire s’avérera brutalement inefficace au Royaume-Uni". Toutes les autorisations obtenues au Royaume-Uni devront être transférés dans l’UE, tout comme le seront les qualifications professionnelles. Les douanes sont aussi dans le cœur des inquiétudes des CPME.
pour une fois que Pm fait un commentaire sans démagogie,c'e's si rare !!!
Signaler RépondreA l approche des élections européennes,les gilets ont donné du miel au RN anti européen croyant que les maux viennent de l'Europe : Suivre l'épisode des anglais qui ont déjà vu fuir des sociétés financières ...vers la France ou de la perte de 15% de la valeur de la livre sur les autres monnaies ,ne sont que le début de ce qu'il pourrait arriver avec la mise en place du Brexit (coût de 50 milliards mini pour en sortir...) prévu fin mars à moins que....
Petit rappel:malgré le tourment de nos voisins, la GB n'a pourtant pas besoin de changer de monnaie comme la France si on devait faire le Franxit:mais certains pensent qu'on peut avoir le beurre et l'argent du beurre (sortir de l Europe et conserver l'euro!!!!On va avoir pleins de fakes news d'ici mai comme on a a depuis 2 mois!!!
Une excellente chose qu'un "brexit dur", qui montre enfin au plus grand nombre que le nationalisme économique n'est qu'un leurre !
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