L’organisme dresse sur tout le pays des estimations d’incidence et de mortalité pour 24 cancers en s’appuyant sur des cas recensés entre 2007 et 2016.
Alors que les Hauts-de-France, les Pays de la Loire et la Bretagne sont les régions les plus touchées selon cette étude, Auvergne-Rhône-Alpes se distingue par ses cas moins nombreux.
La situation globale est "favorable chez les hommes et chez les femmes par rapport à la France métropolitaine", peut-on lire dans le rapport régional qui précise qu’Auvergne-Rhône-Alpes connaît "des niveaux d’incidence et de mortalité parmi les plus bas de France métropolitaine pour des cancers qui partagent le tabac et/ou l’alcool comme facteur de risque : poumon, œsophage, larynx et lèvre-bouche-pharynx". Le risque est en revanche plus élevé pour les cancers du pancréas, des ovaires ou encore de la thyroïde.
Auvergne-Rhône-Alpes enregistre environ 42 400 nouveaux cas de cancer chaque année entre 2007 et 2016. Les hommes (55%) sont plus touchés que les femmes.