Après avoir saucissonné les employés, ils étaient repartis avec deux semi-remorques, dont l’un contenait des sacs Louis Vuitton estimés au total à 3,5 millions d’euros.
Balancés le jour-même par un coup de fil anonyme, les braqueurs n’ont jamais été retrouvés mais leur butin a été découvert dans sa totalité dans un entrepôt de Vénissieux.
Ce vendredi, la cour d’assises du Rhône se penchait sur ce dossier qui aurait peut-être mérité une enquête plus poussée. Car seule une condamnation a été prononcée : un homme âgé de 41 ans, dont la trace ADN a été retrouvée sur le pistolet d’un braqueur, a écopé de 4 ans de prison ferme. Mais pour association de malfaiteurs, puisque le doute plane toujours sur sa participation au braquage ou à la préparation de ce dernier.
Un autre accusé, qui lui avait manipulé le fil d’un brouilleur d’ondes, a été relaxé. De quoi ravir son avocat Me David Metaxas qui lui évite trois ans de prison.
Quant à la véritable identité des quatre braqueurs de sacs Louis Vuitton, elle reste un mystère.
Des menaces ?
Signaler RépondreJuste en lisant cet article, on constate que maître Metexas défend un voyou.
Point.
Ferez gaffe quand même, ça s'appelle de la diffamation et vous n'êtes pas anonyme sur le Net....
Signaler RépondreAh Me Metaxas, toujours dans les bons coups à défendre les pires voyous lyonnais, c’est à lui qu’il faudrait s’intéresser aussi, il doit en brasser des sommes en espèces celui-là !
Signaler RépondreC'est peut être pour financer la campagne de LREM pour les Européennes....au cas ou le "grand débat" soit démasqué....
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