Affaire Preynat : Régine Maire refuse que son nom soit cité dans le film Grâce à Dieu

Affaire Preynat : Régine Maire refuse que son nom soit cité dans le film Grâce à Dieu
Régine Maire, au centre, lors du procès Barbarin - LyonMag

Elle a refusé de s'exprimer au procès du cardinal Philippe Barbarin début janvier durant lequel elle était citée à comparaître.

Elle ne veut pas non plus que son nom soit mentionné dans le film évènement à venir de François Ozon, Grâce à Dieu.

Régine Maire a visiblement envie de se faire oublier. L'ancienne bénévole du diocèse de Lyon a, selon des informations de La Vie, mis en demeure le réalisateur du long-métrage sur l'affaire Preynat qui sort le 20 février au cinéma. Son avocat et elle espèrent ainsi obtenir le coupage au montage de son personnage, joué par Martine Erhel.

Sa requête n'a guère de chance d'aboutir, le film a commencé à être présenté au public lors de plusieurs avant-premières.

Régine Maire, si elle veut aujourd'hui s'effacer de l'histoire, a pourtant un rôle essentiel dans l'accueil et la gestion des victimes présumées du père Preynat. Plutôt que de signaler les faits de pédophilie aux autorités, elle avait organisé une prière entre le prêtre et l'une de ses victimes, Alexandre Hezez. Elle jure également lui avoir conseillé de porter plainte.

Pour rappel, l'avocat de Bernard Preynat, Me Frédéric Doyez, s'était également attaqué au film. Il réclamait le décalage de la sortie en salles pour ne pas qu'il soit vu avant le procès de son client, qui devrait se dérouler cette année.

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15 commentaires
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Normalement le 21/02/2019 à 15:31
Psst a écrit le 21/02/2019 à 14h34

Quand on lui montre la lune, l'idiot regarde le doigt.

J'espère que vous aurez réussi à aller au-delà de vos idées préconçues sur l'auteur de cet article ou les sites d'information l'ayant publié !

Quand un site est régulièrement auteur et/ou relayeur de fake news on appel cela de la désinformation, pas de l'information

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je dis ça... le 21/02/2019 à 15:02
Zig a écrit le 21/02/2019 à 12h06

L'auteur de cet article copié/collé est:
Hubert de Torcy est directeur de Saje Distribution, une société qui distribue des films d’inspiration chrétienne.

Et l'article, avant d’atterrir au salon beige, provient de La Croix.
https://www.la-croix.com/Debats/Forum-et-debats/Grace-Dieu-Francois-Ozon-manipulation-2019-02-07-1201000921

En guise de "prise de hauteur" ce n'est pas fameux, forcément que Monsieur Torcy et La Croix ne voient pas d'un bon oeil la sortie du film de Ozon
Et trés probablement qu'ils en ont fait une critique partisane prochretienne visant à démontrer là où il n'y en a pas une manipulation de la part de Ozon

On peut dire la même chose de tous les autres journaux, qui très probablement ont fait une critique partisane antichrétienne de ce film visant à démontrer qu'il n'y a aucune manipulation de la part de Ozon, alors qu'elle est très claire et évidente.

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Psst le 21/02/2019 à 14:34
A défaut de penser par soit on en est réduit à répéter ce que d'autres ont pensé pour vous a écrit le 21/02/2019 à 11h29

Plutôt que de faire bêtement du copié / collé ayez au moins le courage de citer le salon beige (le blog des catholiques traditionalistes et intégristes) d’où proviens ce texte.

Quand on lui montre la lune, l'idiot regarde le doigt.

J'espère que vous aurez réussi à aller au-delà de vos idées préconçues sur l'auteur de cet article ou les sites d'information l'ayant publié !

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Zig le 21/02/2019 à 12:06
A défaut de penser par soit on en est réduit à répéter ce que d'autres ont pensé pour vous a écrit le 21/02/2019 à 11h29

Plutôt que de faire bêtement du copié / collé ayez au moins le courage de citer le salon beige (le blog des catholiques traditionalistes et intégristes) d’où proviens ce texte.

L'auteur de cet article copié/collé est:
Hubert de Torcy est directeur de Saje Distribution, une société qui distribue des films d’inspiration chrétienne.

Et l'article, avant d’atterrir au salon beige, provient de La Croix.
https://www.la-croix.com/Debats/Forum-et-debats/Grace-Dieu-Francois-Ozon-manipulation-2019-02-07-1201000921

En guise de "prise de hauteur" ce n'est pas fameux, forcément que Monsieur Torcy et La Croix ne voient pas d'un bon oeil la sortie du film de Ozon
Et trés probablement qu'ils en ont fait une critique partisane prochretienne visant à démontrer là où il n'y en a pas une manipulation de la part de Ozon

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A défaut de penser par soit on en est réduit à répéter ce que d'autres ont pensé pour vous le 21/02/2019 à 11:29
La Plume Libre a écrit le 21/02/2019 à 08h37

Prenez un peu de recul...

Voici quelques éléments qui vous permettront de prendre un peu de recul sur ce film qui "tombe à pic", en évitant les louanges des intégristes laïcards, ravis de pouvoir bouffer du curé à peu de frais...

Incontestablement, il y’avait un vrai sujet de cinéma possible, autour de cette « affaire Preynat », avec tout le questionnement moral qui s’impose, tant du coté des victimes ("jusqu’où puis-je aller pour obtenir la condamnation d’un prédateur") que du côté de celle qui est mise au banc des accusés dans le film, l’Eglise catholique, qui voudrait pouvoir toujours espérer que le pire des monstres puisse avoir changé, quand le monde soutient : « pédophile un jour, pédophile toujours ».

Ce qui est malheureux, c’est que François Ozon lui-même, dans le dossier de presse, pressent qu’il y’a là un questionnement intéressant: « Est-ce dû (…) à la nature même de la religion catholique, qui est une religion du pardon ? Barbarin dit : « Il y aura toujours une porte ouverte aux pécheurs », tout en affirmant que Preynat doit être sanctionné. Ce discours du « en même temps » est ambigu. »
C’est bien regrettable qu’il ait préféré la caricature plutôt que d’aborder ce qu’il perçoit comme une ambiguïté. On assiste alors au règlement de compte d’un cinéaste avec l’Eglise et avec la Foi. Le summum étant atteint avec ce grossier plaidoyer final pour la débaptisation.

Pourtant, François Ozon ne cesse de s’en défendre : «L’idée n’était pas de faire un film à charge contre l’Eglise».
L’expression est répétée telle un mantra pas moins de 5 fois dans le dossier de presse et chaque comédien est prié de la répéter en chœur. Cette insistance plus que suspecte est en réalité un aveu. Quelle que soit l’issue du procès en cours, l’Eglise aura perdu médiatiquement. Il aurait été plus juste d’attendre que la justice se soit prononcée avant que de livrer cette œuvre sur grand écran.

En quoi consiste la manipulation de François Ozon ?

Il nous fait croire qu’il a fait quasi œuvre documentaire, affirmant avoir repris textuellement les contenus des messages échangées (« Je tenais absolument à les utiliser, même si toutes ces voix off faisaient peur aux financiers »).
L’insistance sur les lectures de ces courriers en voix-off est indigeste, mais c’est une bonne manière d’endormir le spectateur en lui faisant croire que tout ce qu’il voit est vrai. Tous les noms, côté Église, sont d’ailleurs les vrais : le père Preynat, le cardinal Barbarin et Régine Maire. A l’inverse, tous ceux de la Parole Libérée ont été changés, alors que c’est la seule matière sérieuse à laquelle le réalisateur ait, de son propre aveu, eu réellement accès. Si Ozon avait pris la peine de rencontrer la partie adverse, il aurait découvert d’autres mails, révélés en janvier lors du procès : celui d’Alexandre, par exemple, remerciant le cardinal d’avoir été « le supporter de sa démarche, y compris au plan judiciaire ».

Dès le début du film, François Ozon fait comprendre au spectateur qui est le méchant hypocrite dont il faut se méfier. C’est tout l’art du jeu (ou plutôt l’absence de jeu) du comédien qui interprète Barbarin. Il déclame ses textes comme quelqu’un qui réciterait un discours extérieur à lui, avec le charisme et la chaleur d’une huître.
D’ailleurs, pour ceux qui n’auraient vraiment pas compris le message, quand le personnage apparaît, une petite musique inquiétante s’insinue comme pour nous confirmer que le « méchant » entre en scène. On ne saura rien du cas de conscience, des questionnements ou de la sincérité du Cardinal dans cette affaire. De bout en bout dans le film, il manipule et endort son monde avec une froideur calculée.

Le vrai mérite du film consiste en revanche dans la description précise de ce qu’ont vécu les victimes jusqu’en 1991, du silence des familles et des répercussions dramatiques pour chacun.
De ce point de vue, c’est un film nécessaire pour ouvrir les yeux et ne jamais s’habituer à l’horreur indicible. De courage, la plupart de ces hommes incontestablement n’en ont pas manqué.

Mais au final, on reste vraiment déçu. Déçu que des comédiens aussi talentueux se soient compromis dans cette arme de destruction naïve.
En particulier Melvil Poupaud, dont la foi semble sincère (« Je pense que Jésus est mon sauveur ») et qui d’ailleurs remarque finement que les valeurs de l’Evangile sont inversées jusqu’au bout, à travers cette affirmation que le réalisateur met dans la bouche de la femme d’Alexandre :‘’Si tu lui pardonnes, il fait de toi sa victime à vie’’.
Melvil Poupaud explique dans le dossier de presse : « Pour moi, si on a la foi, on ne peut pas dire une chose pareille. Une vraie croyante dirait plutôt : « prions pour que tu trouves la force de pardonner. » Car ce n’est pas nous qui accordons le pardon à l’autre (…), c’est une grâce de Dieu qui nous dépasse et nous rend capable de pardonner même l’impardonnable. Ce qui n’empêche pas (…) une action en justice. Le pardon et la justice sont deux choses différentes. »
Quel dommage que François Ozon n’ait pas écouté son comédien, qui résume en quelques phrases ce qui aurait pu être le début d’un grand film.

Plutôt que de faire bêtement du copié / collé ayez au moins le courage de citer le salon beige (le blog des catholiques traditionalistes et intégristes) d’où proviens ce texte.

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Bonne journée le 21/02/2019 à 08:58
les lyncheurs n’en n’ont jamais assez! a écrit le 30/01/2019 à 18h08

Pauvre bénévole... qu’elle se rassure le film d’ozon (le lynchage ?) fera certainement un bide.. mais permettra aux lyncheurs médiatiques de répéter, répéter, répéter

Un bide??? alors qu'il vient hier de réalisé le meilleur démarrage:

http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18679209.html

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La Plume Libre le 21/02/2019 à 08:37
CQFD. a écrit le 30/01/2019 à 19h42

Merci pour votre témoignage qui démontre que les vérités que les victimes dénoncent dérangent les bien pensant.

Prenez un peu de recul...

Voici quelques éléments qui vous permettront de prendre un peu de recul sur ce film qui "tombe à pic", en évitant les louanges des intégristes laïcards, ravis de pouvoir bouffer du curé à peu de frais...

Incontestablement, il y’avait un vrai sujet de cinéma possible, autour de cette « affaire Preynat », avec tout le questionnement moral qui s’impose, tant du coté des victimes ("jusqu’où puis-je aller pour obtenir la condamnation d’un prédateur") que du côté de celle qui est mise au banc des accusés dans le film, l’Eglise catholique, qui voudrait pouvoir toujours espérer que le pire des monstres puisse avoir changé, quand le monde soutient : « pédophile un jour, pédophile toujours ».

Ce qui est malheureux, c’est que François Ozon lui-même, dans le dossier de presse, pressent qu’il y’a là un questionnement intéressant: « Est-ce dû (…) à la nature même de la religion catholique, qui est une religion du pardon ? Barbarin dit : « Il y aura toujours une porte ouverte aux pécheurs », tout en affirmant que Preynat doit être sanctionné. Ce discours du « en même temps » est ambigu. »
C’est bien regrettable qu’il ait préféré la caricature plutôt que d’aborder ce qu’il perçoit comme une ambiguïté. On assiste alors au règlement de compte d’un cinéaste avec l’Eglise et avec la Foi. Le summum étant atteint avec ce grossier plaidoyer final pour la débaptisation.

Pourtant, François Ozon ne cesse de s’en défendre : «L’idée n’était pas de faire un film à charge contre l’Eglise».
L’expression est répétée telle un mantra pas moins de 5 fois dans le dossier de presse et chaque comédien est prié de la répéter en chœur. Cette insistance plus que suspecte est en réalité un aveu. Quelle que soit l’issue du procès en cours, l’Eglise aura perdu médiatiquement. Il aurait été plus juste d’attendre que la justice se soit prononcée avant que de livrer cette œuvre sur grand écran.

En quoi consiste la manipulation de François Ozon ?

Il nous fait croire qu’il a fait quasi œuvre documentaire, affirmant avoir repris textuellement les contenus des messages échangées (« Je tenais absolument à les utiliser, même si toutes ces voix off faisaient peur aux financiers »).
L’insistance sur les lectures de ces courriers en voix-off est indigeste, mais c’est une bonne manière d’endormir le spectateur en lui faisant croire que tout ce qu’il voit est vrai. Tous les noms, côté Église, sont d’ailleurs les vrais : le père Preynat, le cardinal Barbarin et Régine Maire. A l’inverse, tous ceux de la Parole Libérée ont été changés, alors que c’est la seule matière sérieuse à laquelle le réalisateur ait, de son propre aveu, eu réellement accès. Si Ozon avait pris la peine de rencontrer la partie adverse, il aurait découvert d’autres mails, révélés en janvier lors du procès : celui d’Alexandre, par exemple, remerciant le cardinal d’avoir été « le supporter de sa démarche, y compris au plan judiciaire ».

Dès le début du film, François Ozon fait comprendre au spectateur qui est le méchant hypocrite dont il faut se méfier. C’est tout l’art du jeu (ou plutôt l’absence de jeu) du comédien qui interprète Barbarin. Il déclame ses textes comme quelqu’un qui réciterait un discours extérieur à lui, avec le charisme et la chaleur d’une huître.
D’ailleurs, pour ceux qui n’auraient vraiment pas compris le message, quand le personnage apparaît, une petite musique inquiétante s’insinue comme pour nous confirmer que le « méchant » entre en scène. On ne saura rien du cas de conscience, des questionnements ou de la sincérité du Cardinal dans cette affaire. De bout en bout dans le film, il manipule et endort son monde avec une froideur calculée.

Le vrai mérite du film consiste en revanche dans la description précise de ce qu’ont vécu les victimes jusqu’en 1991, du silence des familles et des répercussions dramatiques pour chacun.
De ce point de vue, c’est un film nécessaire pour ouvrir les yeux et ne jamais s’habituer à l’horreur indicible. De courage, la plupart de ces hommes incontestablement n’en ont pas manqué.

Mais au final, on reste vraiment déçu. Déçu que des comédiens aussi talentueux se soient compromis dans cette arme de destruction naïve.
En particulier Melvil Poupaud, dont la foi semble sincère (« Je pense que Jésus est mon sauveur ») et qui d’ailleurs remarque finement que les valeurs de l’Evangile sont inversées jusqu’au bout, à travers cette affirmation que le réalisateur met dans la bouche de la femme d’Alexandre :‘’Si tu lui pardonnes, il fait de toi sa victime à vie’’.
Melvil Poupaud explique dans le dossier de presse : « Pour moi, si on a la foi, on ne peut pas dire une chose pareille. Une vraie croyante dirait plutôt : « prions pour que tu trouves la force de pardonner. » Car ce n’est pas nous qui accordons le pardon à l’autre (…), c’est une grâce de Dieu qui nous dépasse et nous rend capable de pardonner même l’impardonnable. Ce qui n’empêche pas (…) une action en justice. Le pardon et la justice sont deux choses différentes. »
Quel dommage que François Ozon n’ait pas écouté son comédien, qui résume en quelques phrases ce qui aurait pu être le début d’un grand film.

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lol le 31/01/2019 à 17:23

Si c’est vrai qu’elle a dit une prière ... on se croirait dans la vie est un long fleuve tranquille avec marie Thérèse .... mais je vous jure Madame ....

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CQFD. le 30/01/2019 à 19:42
les lyncheurs n’en n’ont jamais assez! a écrit le 30/01/2019 à 18h08

Pauvre bénévole... qu’elle se rassure le film d’ozon (le lynchage ?) fera certainement un bide.. mais permettra aux lyncheurs médiatiques de répéter, répéter, répéter

Merci pour votre témoignage qui démontre que les vérités que les victimes dénoncent dérangent les bien pensant.

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Zig le 30/01/2019 à 19:14
les lyncheurs n’en n’ont jamais assez! a écrit le 30/01/2019 à 18h08

Pauvre bénévole... qu’elle se rassure le film d’ozon (le lynchage ?) fera certainement un bide.. mais permettra aux lyncheurs médiatiques de répéter, répéter, répéter

Les films de Ozon sont du Ozon, on aime ou pas, quelque soit le sujet d'ailleurs

Moi je ne suis pas un fan de Ozon, donc je ne prévois pas d'aller le voir pour me faire des frissons sur des histoires horribles et réelles dont je devine l'ampleur.

Mais par conte, cette fois ci, c'est qui le soit disant Lynché de l'Histoire?

Les victimes qui apparaissent dans le film?

Le pédophile?

Régine?

Barbarin (encore lui!)?

Mickaël?

On ne vous a pas donné, du côté de l'Opus Dei ou de Monseigneur la consigne de ne pas parler de ce film sur le net?
Cela pourrait susciter des envies d'aller le voir vous savez!

Il y a un film bien aussi en ce moment, mais trés peu en parlent ici, c'est "le phallus et le néant", parait qu'il faut aller le voir!

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Papimouzo le 30/01/2019 à 18:48

Moi je respecte les croyances quelles que soient adeptes mais là où je suis révolté et bien c est très simple c est qu une autre religion qui va surement se reconnaître par l intermédiaire du fric se permette et j ose le dire de donner son accord a ces gens qui feraient bien de balayer devant sa cour et si vous voulez des preuves chercher les vous les trouverez en dehors de la France et d une autre qui n en est pas une car c est une secte et rien d autre pour moi qui prône la montée de la haine contre l islam afin de vouloir une guerre civile dont l objectif final est la destruction du christianisme et ensuite la fin de l islamisme !!!! de toute façon je leur dit a ces gens là que ce ne sera pas nous qui vous détruiront mais si ils sont vraiment croyants c est ceux là même qui vous soutiennent qui le feront ::;; moi en ce qui me concerne je suis en paix avec moi-même et n oubliez pas ce qu avait dit quelqu un que je respecte et je cité ( de faux prophètes se feront connaitrent et entraîneront avec eux etc !!!!!! maintenant reste a savoir si je vais être publié ?

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les lyncheurs n’en n’ont jamais assez! le 30/01/2019 à 18:08

Pauvre bénévole... qu’elle se rassure le film d’ozon (le lynchage ?) fera certainement un bide.. mais permettra aux lyncheurs médiatiques de répéter, répéter, répéter

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Bonjour le 30/01/2019 à 16:11

Faux jeton jusqu’ au bout

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Complice le 30/01/2019 à 12:59

Plus facile d'attaquer en justice pour cela que de dénoncer à la même justice les prêtres violeurs d'enfants.

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Barbara le 30/01/2019 à 12:12

Cette personne n'a pas été jugée coupable.
Son nom n'a donc pas à être jeté en pâture...

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