Outre cette peine, Jean-Marc Desperon a écopé de cinq ans de suivi socio-judicaire avec une interdiction d'exercer une activité professionnelle ou bénévole avec des enfants, selon le Progrès.
Pour rappel, il était poursuivi pour agressions sexuelles sur mineur de moins de 15 ans, puis de plus de 15 ans entre 2005 et 2009 à Toulouse, Paris, Gordes ou encore Frouzins. Son cousin, la victime n'avait jamais porté plainte. C'est Médiapart qui avait révélé l'affaire en 2016.
A l'audience, le prêtre reconnait des "caresses sur le corps, les fesses, pouvant toucher le sexe", mais c'était, selon lui, "de simples caresses sans désir sexuel". La victime s'est adressée directement à son agresseur à la barre : "Je t'ai dit non Jean-Marc. Rien ne t'a freiné, c'était une relation physique obligée. On a vécu une relation amoureuse dans laquelle tu étais seul Jean-Marc".
A noter qu'un juge d'application des peines décidera de la manière dont la sanction sera appliquée.
Quel dommage que la justice soit intervenu dans cette affaire.
Signaler RépondreBarbarin allait le nommer doyen en charge de la jeunesse.
Un prêtre ..... avec son cousin en plus.
Signaler RépondreC'est certainement un complot christianophobe !
dieu merci les faits ne sont pas prescrits
Signaler Répondre« de simples caresses sans désir sexuel », ah bon bah ça va, c’était juste comme ça quoi comme on peut dire bonjour, serrer une main etc bah là c’est juste une caresse comme ça. Belle défense, pareil pour un viol, non non c’était un viol mais sans désir sexuel..
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