Créé dans le Rhône en 1946 par Henri-Charles Geffroy, La Vie Claire est la plus ancienne enseigne de magasins bio de France. C'est aujourd'hui 353 boutiques qui sont implantées dans l'hexagone, dont trois dans la grande métropole lyonnaise. "Trois nouveaux magasins sont prévus d'ici avril, un rue Morisot, l'autre à Guillotière et le dernier rue de l'Université", annonce la présidente du Directoire, Brigitte Brunel Marmone. Ce sont en moyenne 50 magasins, franchisés ou non, qui sont ouvert chaque année en France.
L'entreprise affiche un chiffre d'affaire de 300 millions d'euros sur l'année passée, soit une hausse de 12% par rapport à 2017. Le marché du bio en général affiche une hausse de 8% sur un an. "Le marché du bio se développe énormément, mais il faut rappeler que notre marché représente que 5% de la consommation des français. L'offre évolue plus vite que la demande. Il faut se démarquer, pour faire venir de nouveaux consommateurs", affirme la présidente du directoire de La Vie Claire".
En effet, la marque propose 1900 produits de sa propre marque dans ses rayons. Et 214 nouveaux produits sont arrivés l'année dernière, comme le lait de coco ou encore une gamme de céréales muesli.
Au vu du développement de la société, la marque prévoit d'investir dans une nouvelle plateforme logistique. L'actuelle de 15 000 m2 est située à Montagny, "l'objectif est d'en trouver une de 30 000 m2, pour satisfaire la demande", affirme Brigitte Brunel Marmone.
Vous avez la possibilité de venir avec vos bocaux.
Signaler RépondreC'est plus lourd, mais si vous n'utilisez pas de voiture ou de transport qui bouge avec du pétrole, ça sera bénéfique :)
Tout à fait d'accord à propos du suremballage! Quand on voit les tonnes de plastiques utilisés! Et quand on voit la taille du paquet pour ensuite voir la taille de ce qu'il y a dedans.
Signaler RépondreAlors il y a de l'espoir qu'un jour les citoyens comprennent que les "prix chers" équivalent à un "non accès" et que ce non accès (aux produits bio) est nocif pour l'humanité tout entière ?
Signaler Répondre:)
Vous avez entièrement raison, et vous pouvez même ajouter le suremballage.
Signaler RépondreMais d'une part les magasins ne peuvent pas se substituer à la conscience des clients (ils sont adultes la plupart) et de plus, au même titre que le sevrage tabagique ne se fait pas en arrêtant net, la conscience du consommateur ne change pas du jour au lendemain.
Pour ma part cela a été dur d'arrêter de manger des avocats ou simplement des tomates l'hiver, faute à une habitude depuis tout petit.
C'est bien mon pote! Continue à taper sur les bobos qui se nourrissent mieux que la moyenne.... Et qui par conséquent coutent moins cher en soins à la société.
Signaler RépondreHeureusement que le manque d'intelligence n'est pas remboursé lui...
Les bobos vont être contents.
Signaler Répondrea quand des produits d autres régions tel le citron fin de Menton et non de Sicile sans trop de jus et peau trop epais , l échalote grise de St Pol de Léon et l agneau de SISTERON ou salé de la Somme ou de l Île de Noimoutier. Les arbousiers de Gap Briancon et les sorbets associés ' le miel vincesini au maqis corse et le bleu de Sasenage et le jambon de Bayonne et la véritable tome de Brebis et le Maroille et les myrtilles d Auvergne
Signaler RépondreMagasin utile pour essayer d'échapper aux pesticides si français. mais magasin qui invente quand meme le bio pas ecolo, à proposer des noix de coco du Brésil, des legumes hors saison.... et à des prix redoutablement chers. Encore des progrès à faire...
Signaler RépondreVous voulez dire que dans un marché monétaire, pour qu'un commerce ait des clients, il faut qu'il les prenne à un autre commerçant ?
Signaler RépondreSans blague ! :D
Comme beaucoup de magasins,ça finira la clé sous le paillasson !!!!
Signaler RépondreCes supérettes de quartiers se multiplient aussi vite que des trottinettes mais il n'y a pas de place pour tout le monde
Signaler RépondreDéjà, nombre d'entre elles sont vides de clients et tournicotent plus ou moins bien
Bref, c'est comme à l'époque des boutiques de téléphones portables ou de cigarettes électroniques : un marché complètement livré à lui même avec beaucoup de dégâts à la clé